Tenture Murale : Le Guide Complet pour Créer ou Choisir la Vôtre (Secrets d’Atelier Inclus)
Transformez vos murs en œuvres d’art vivantes ! Découvrez comment les tentures murales peuvent réchauffer votre intérieur avec style.

Quand j'ai accroché ma première tenture murale, j'ai ressenti une connexion profonde avec la tradition artisanale. Chaque pièce raconte une histoire, mêlant couleurs et textures qui réchauffent l'atmosphère. Les tentures murales ne sont pas juste des décorations ; elles sont le reflet de notre créativité et de nos émotions. Plongez dans cet univers fascinant et laissez-vous inspirer !
On les voit partout, des magazines de déco aux feeds Instagram les plus inspirants : les tentures murales sont de retour, et franchement, ça fait du bien ! Mais au-delà de la jolie photo, il y a tout un monde de fibres, de nœuds et de techniques. Comment choisir la bonne ? Et si on osait la faire soi-même ?
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J’ai passé des années les mains dans les fils, et je peux vous dire une chose : une tenture murale, c’est bien plus qu’un poster en tissu. C’est un objet qui apporte de la chaleur, de la texture et qui peut même transformer l’acoustique d’une pièce. Oublions un instant l’inspiration pure pour plonger dans le concret : les matières, les vraies techniques et les petites erreurs qui peuvent tout gâcher. Le but ? Que vous puissiez choisir ou créer une pièce qui vous plaira pendant des années.
1. Le secret est dans la fibre : l’âme de votre tenture
Tout commence ici. Le choix du fil n’est pas un détail, c’est ce qui va définir le tombé, le toucher, le poids et la durée de vie de votre création. Chaque fibre a sa propre personnalité, un peu comme nous !

Les fibres naturelles : les reines incontestées
Honnêtement, pour une pièce d’intérieur, rien ne vaut le naturel. C’est une question de toucher, de rendu, et même de bien-être.
- La laine : C’est la star des tentures tissées. Elle est chaleureuse, ses couleurs sont profondes et, petit plus non négligeable, c’est un excellent isolant phonique. Une tenture en laine épaisse dans un salon un peu bruyant, et vous sentirez tout de suite la différence sur la réverbération. Attention, elle peut attirer les mites, mais on verra plus tard comment s’en protéger.
- Le coton : C’est le chouchou du macramé. Il est solide, stable et se noue à merveille. Pour débuter, une corde de 3 ou 4 mm de diamètre, c’est parfait. On en trouve partout, des merceries créatives aux boutiques en ligne. Une bonne bobine pour démarrer coûte généralement entre 15€ et 25€.
- Le lin : Plus brut, plus sec, le lin a un tombé lourd et incroyablement chic. Je l’adore pour des pièces au style minimaliste. C’est une fibre noble, très résistante, mais un peu plus exigeante à travailler.
Bon à savoir : Le Match des Fibres pour faire votre choix

- Laine :
Le + : Chaleur, isolation phonique, couleurs riches.
Le – : Peut attirer les mites, budget plus élevé (comptez 8€ à 20€ la pelote de qualité).
Idéale pour : Les tissages texturés et douillets. - Coton :
Le + : Abordable, solide, parfait pour les nœuds.
Le – : Moins de propriétés isolantes.
Idéal pour : Le macramé, sans hésiter. - Lin :
Le + : Aspect brut et élégant, très durable.
Le – : Se froisse, plus difficile à travailler.
Idéal pour : Les créations épurées et contemporaines.
Et les fibres synthétiques ?
L’acrylique ou le polyester sont peu chers, c’est vrai. Mais franchement, on perd tout le charme. Le toucher n’est pas le même, l’aspect est souvent un peu trop brillant, et on dit adieu aux qualités d’isolation. À réserver pour un projet en extérieur, à la rigueur, pour leur résistance aux intempéries.
2. Les techniques expliquées (sans prise de tête)
Une fois qu’on a la bonne matière, comment lui donne-t-on forme ? Il y a deux grandes familles : le tissage et le macramé. Deux philosophies différentes, mais tout aussi passionnantes.

Le tissage : l’art de croiser les fils
Le principe est simple : des fils sont tendus à la verticale (la chaîne) et on vient passer un autre fil à l’horizontale (la trame) dessus, dessous, dessus, dessous… La magie, c’est la tension ! Une chaîne trop lâche, et votre tissage va se déformer. Elle doit être tendue, mais sans excès, un peu comme une corde de guitare.
L’astuce qui sauve un projet : Comment savoir quelle quantité de laine acheter ? Pour la trame, une bonne règle de base est de prévoir environ le double de la surface à tisser en grammes. Par exemple, pour une petite pièce de 30×40 cm (soit 1200 cm²), prévoyez environ 200 à 250 grammes de laine. Mieux vaut en avoir un peu plus !
Et à la fin, on fait quoi ? C’est l’angoisse du débutant ! Pour détacher votre tissage de son cadre, coupez les fils de chaîne en haut et en bas, mais en laissant une bonne longueur (au moins 10-15 cm). Ensuite, nouez-les deux par deux, bien serré contre le bord de votre tissage. C’est cette étape qui verrouille tout votre travail. Ouf !

Le macramé : la poésie des nœuds
Ici, pas de cadre, juste des cordes et des nœuds. La bonne nouvelle, c’est qu’avec trois nœuds de base, on peut quasiment tout faire.
Le fameux nœud plat, en 30 secondes :
Imaginez que vous avez 4 brins de corde devant vous. Prenez le brin tout à gauche et formez un « 4 » en le passant PAR-DESSUS les deux brins du milieu. Maintenant, prenez le brin tout à droite, passez-le sur la queue du « 4 », puis SOUS les deux brins du milieu, et faites-le ressortir DANS la boucle du « 4 ». Tirez doucement sur les deux brins extérieurs. Vous avez fait la moitié ! Il suffit de refaire la même chose en inversant (le « 4 » partira de la droite) pour avoir un nœud plat complet.
L’erreur N°1 à éviter : Mal calculer la longueur des cordes. Un grand classique ! Pour un macramé fait de nœuds plats, une corde doit mesurer environ 4 à 5 fois la longueur finale désirée. Mon conseil perso : j’ajoute toujours une marge de sécurité de 15%. Croyez-moi, il vaut bien mieux couper un surplus à la fin que de devoir tout recommencer parce qu’il manque 10 cm…

3. Styles et influences : trouver son inspiration
La tenture est un art universel. Chaque culture a développé son esthétique, souvent liée aux ressources locales.
- La grande tradition de la tapisserie française : C’est une approche très picturale, presque comme une peinture en fil. Les œuvres sont complexes, narratives, et demandent un savoir-faire incroyable et des mois de travail.
- Le style scandinave : Ici, on privilégie la simplicité. Des formes géométriques, des matières naturelles comme la laine écrue, et une fonction importante d’isolation phonique. C’est beau et utile.
- L’esprit bohème : Le royaume du macramé ! On utilise du coton brut, du bois flotté… Les formes sont organiques, libres, avec de longues franges. C’est un style qui respire la décontraction et la chaleur.
- L’inspiration japonaise : Pensez à l’art de valoriser l’imperfection (wabi-sabi). On peut s’inspirer du Boro, cet art de rapiécer les textiles, pour créer des tentures à partir de morceaux de lin teints, assemblés avec des coutures visibles. La texture et l’histoire du matériau priment sur la perfection.

4. Le guide pratique : de l’idée à la fixation au mur
Vous voulez vous lancer ? Par où commencer ?
Pas la peine d’investir des centaines d’euros pour essayer !
- Projet de départ en macramé : Un petit porte-plante ou une mini-tenture sur une jolie branche. Il vous faut : une bobine de corde de coton 3 mm (environ 15€ sur des sites comme Etsy ou dans les grandes enseignes de loisirs créatifs), une branche trouvée en forêt (gratuit !), une paire de ciseaux et un mètre ruban. C’est tout ! Comptez une bonne après-midi pour réaliser votre première pièce.
- Projet de départ en tissage : Pas besoin d’un métier à tisser ! Prenez un carton bien rigide de 30×40 cm. Faites des entailles tous les centimètres en haut et en bas. Tendez-y votre fil de chaîne, et voilà, vous avez un métier à tisser de fortune pour vous exercer au point de base.

Quand faut-il plutôt faire appel à un artisan ?
Le DIY a ses limites. Parfois, il est plus sage de confier son projet à un professionnel.
- Pour les très grandes pièces : Une tenture de plus de 1,50 m de large demande un équipement et une technique irréprochables pour ne pas se déformer sous son propre poids.
- Pour un projet sur mesure : Vous avez une idée très précise de couleurs, de motifs ? Un artisan saura la traduire en textile. Pour une pièce sur mesure, les prix varient énormément. Attendez-vous à un budget entre 150€ et 400€ pour un macramé de taille moyenne (ex: 50x80cm), et bien plus pour un grand tissage complexe (parfois plus de 1000€). C’est le prix des heures de travail, de l’expertise et des matériaux de qualité.
- Pour un lieu public (restaurant, hôtel, bureau) : La sécurité incendie est primordiale. On en reparle juste après.

5. Sécurité et entretien : les détails qui changent tout
Une tenture, c’est un investissement en temps ou en argent. Il faut en prendre soin et, surtout, l’installer correctement.
La fixation au mur : le point à ne JAMAIS négliger
C’est ma plus grande mise en garde. Une grande tenture en laine ou en coton épais peut peser très lourd (parfois plus de 10 kg). Si elle tombe, c’est dangereux.
- Pour un mur en placo (plaque de plâtre) : Oubliez la simple vis, elle s’arrachera. Utilisez IMPÉRATIVEMENT des chevilles à expansion, comme les fameuses chevilles Molly. Elles s’ouvrent derrière la plaque et assurent une fixation solide. Vérifiez toujours la charge maximale indiquée sur l’emballage.
- Pour un mur plein (brique, béton) : Des chevilles classiques et des vis adaptées suffiront.
- Mon conseil d’or : Quelle que soit la nature du mur, si votre tenture pèse plus de 5 kilos, utilisez au moins deux points de fixation bien espacés pour répartir la charge. La sécurité avant tout !

La sécurité incendie : un sujet sérieux
Dans un logement privé, c’est une question de bon sens : on évite de placer sa tenture juste à côté d’une cheminée ou de bougies. Mais pour un projet dans un lieu recevant du public (ERP), la loi est très stricte. Les textiles doivent être classés non-feu (souvent M1). Cela demande un traitement ignifuge réalisé par un professionnel, qui doit vous fournir un certificat. Ce n’est pas une option, c’est une obligation.
L’entretien au quotidien
C’est simple ! Dépoussiérez une fois par mois avec un plumeau ou la brosse douce de l’aspirateur (à puissance minimale). En cas de petite tache, tamponnez délicatement avec un chiffon humide et un peu de savon de Marseille. Ne frottez surtout pas ! Et pour la laine, des petits sachets de lavande ou du bois de cèdre à proximité tiendront les mites à distance.
Pour finir…
J’espère que ce petit tour en coulisses vous a plu. Vous l’aurez compris, une tenture murale, c’est un bel objet qui demande un peu de connaissance pour être apprécié à sa juste valeur. Le travail du fil est une incroyable école de patience, mais la satisfaction de créer quelque chose de ses propres mains est immense.

Alors, n’ayez pas peur. Commencez petit, soyez indulgent avec vous-même, et profitez du processus. La seule erreur serait de ne pas essayer !
Galerie d’inspiration


Le support, c’est la signature : Ne sous-estimez pas la branche ou la tringle qui porte votre tenture. Un bois flotté ramassé sur la plage raconte une histoire, une barre de cuivre apporte une touche industrielle chic, et une simple branche d’eucalyptus peut même parfumer délicatement la pièce.

Plus qu’un plaisir pour les yeux, une grande tenture en laine ou en feutre épais agit comme un piège à sons. Dans une pièce à l’acoustique un peu ‘froide’ avec du carrelage ou de hauts plafonds, elle absorbe la réverbération, rendant l’ambiance instantanément plus feutrée et intime. C’est le secret des intérieurs cosy.


- Secouez délicatement votre tenture à l’extérieur une fois par saison pour la dépoussiérer.
- Utilisez l’embout brosse de votre aspirateur à la plus faible puissance pour un nettoyage en douceur.
- Pour des franges impeccables, passez un peigne à dents larges pour les démêler et les réaligner.

Saviez-vous que les plus grandes tapisseries médiévales, comme la Tenture de l’Apocalypse à Angers, servaient non seulement à décorer mais aussi à isoler thermiquement les murs froids des châteaux ?


Quelle taille choisir pour ma tenture ?
La règle d’or est celle des deux tiers. Votre tenture devrait idéalement occuper environ deux tiers de la largeur du meuble qu’elle surplombe (canapé, lit, buffet). Si elle est seule sur un grand mur vide, n’ayez pas peur de voir grand ! Une petite pièce sur un immense mur aura l’air perdue.

Bois flotté : Idéal pour un look bohème, naturel et unique. Chaque pièce est différente. Son inconvénient : peut être moins droit et plus fragile.
Tringle en laiton : Parfaite pour un style moderne ou Art Déco. Apporte une ligne nette et un éclat sophistiqué.
Le choix dépend entièrement de l’âme que vous voulez donner à votre mur.


Envie de vous lancer dans le macramé ? Maîtrisez ces trois nœuds de base et le champ des possibles s’ouvre à vous :
- Le nœud d’alouette : pour fixer vos cordes sur le support. C’est le point de départ de tout.
- Le nœud plat : pour créer des surfaces et des motifs géométriques.
- La demi-clé : pour réaliser des lignes diagonales et des spirales.

Selon une étude Etsy, les recherches pour des ‘articles faits main’ ont augmenté de plus de 20% en deux ans.
Cette tendance de fond montre un désir de retour à l’authentique. Posséder une tenture d’artisan, c’est faire entrer chez soi un peu de l’âme et du temps de son créateur, à l’opposé des productions de masse.

- Des couleurs qui ne virent pas au premier rayon de soleil.
- Des teintes profondes et uniques qui durent des années.
Le secret ? La teinture végétale. En utilisant des peaux d’avocat (rose poudré), des oignons (ocre) ou de l’indigo (bleu), les créateurs obtiennent des nuances subtiles et écologiques. Un vrai plus pour une pièce durable.


La tendance ‘Wabi-Sabi’ s’invite sur nos murs. On recherche la beauté dans l’imperfection : des tissages irréguliers, des bords non finis, des fibres brutes comme le chanvre ou le lin non traité. Ces pièces ne cherchent pas la perfection géométrique mais l’émotion d’un objet qui a une âme.

L’erreur à ne pas commettre : Accrocher votre tenture avec un simple clou. Le poids, même léger, finira par déformer la pièce et tirer sur une seule fibre. Utilisez toujours une tringle, une branche ou une cheville qui répartit le poids sur toute la largeur supérieure de la tenture.


Un point lumineux fait toute la différence : N’hésitez pas à diriger un spot orientable vers votre tenture. La lumière rasante révélera les textures, les reliefs des nœuds et la profondeur des fibres, transformant votre pièce en une véritable œuvre d’art le soir venu.

« Le fil est un langage universel. » – Sheila Hicks
Cette phrase de la célèbre artiste textile américaine résume tout. Qu’elle soit en macramé, tissée ou brodée, une tenture murale raconte une histoire sans mots, simplement par le jeu de ses matières et de ses couleurs.


Une tenture dans une salle de bain, bonne ou mauvaise idée ?
C’est possible, mais avec précautions ! Évitez les fibres naturelles comme la laine qui moisiraient. Privilégiez de petites pièces en fibres synthétiques ou en coton mercerisé, et placez-les loin des projections d’eau directes. Une bonne aération est indispensable.

Laine mèche (Roving) : Volumineuse et ultra-douce, idéale pour des tissages très texturés et un look ‘chunky’. Attention, elle est fragile et peluche facilement.
Corde de coton peigné : Parfaite pour des franges lisses et soyeuses en macramé. Les cordes de la marque Bobbiny sont une référence pour leur qualité.


Sortez des sentiers battus en intégrant des éléments inattendus à votre création. Des perles de bois brut pour un esprit ethnique, des tubes de laiton pour une touche Art Déco, ou même des fragments de céramique. C’est ce qui rendra votre pièce absolument unique.

Le toucher est le premier sens que nous développons. Intégrer des textures variées dans notre décor (laine bouclée, coton lisse, lin brut) stimule notre bien-être.
Une tenture n’est pas qu’un objet visuel, c’est une invitation sensorielle. Sa présence adoucit l’espace, le rend plus ‘humain’ et répond à notre besoin fondamental de matières réconfortantes.

Pour des fibres qui sortent de l’ordinaire, explorez ces pistes :
- Les filatures artisanales : Cherchez des laines teintes à la main aux coloris uniques.
- Les boutiques spécialisées en ligne : Des sites comme ‘We Are Knitters’ ou ‘Phildar’ proposent des gammes de fils recyclés ou aux compositions originales.
- Les brocantes : On y déniche parfois des écheveaux vintage au charme inégalable.


- Un tombé lourd et droit, sans ondulations.
- Des franges qui restent parfaitement alignées.
Le secret ? La vapeur. Une fois votre tenture terminée, utilisez un défroisseur vapeur (steamer) à distance. La chaleur humide va détendre les fibres et leur donner un aplomb parfait, comme par magie.

- Détricotez de vieux pulls en laine pour récupérer le fil.
- Utilisez des lanières de vieux t-shirts en jersey pour un effet ‘trapilho’ très tendance.
- Récupérez les ficelles et cordages de colis pour un look rustique et durable.


Votre kit de démarrage pour le tissage mural :
- Un métier à tisser (on en trouve de très bons chez Perles & Co, de la taille S à XL).
- Un ‘peigne’ de tissage pour tasser les rangs de manière uniforme.
- Une grande aiguille à laine ou un passe-laine pour les finitions.

Pensez au-delà du mur du salon. Une tenture murale peut servir de tête de lit originale et douce dans une chambre, créer un point focal accueillant dans une entrée, ou même habiller un couloir un peu long. Dans une chambre d’enfant, elle apporte une touche poétique et sécurisante.


Le jute, une fibre souvent sous-estimée, est l’une des plus écologiques. Sa culture nécessite très peu de pesticides ou d’engrais.
Pour une tenture au style brut et naturel, pensez au jute. Sa couleur dorée et sa texture rustique se marient à merveille avec les plantes vertes et les matériaux comme le rotin ou le bois clair.

Comment ranger une tenture sans la plier ?
Ne la pliez jamais, les marques seraient quasi impossibles à enlever ! La meilleure méthode est de l’enrouler délicatement autour de son support ou d’un rouleau en carton. Conservez-la ensuite à plat, à l’abri de la lumière et de l’humidité.
Pour un accord parfait avec la couleur de votre mur :
- Mur blanc ou beige : Osez une tenture très colorée (terracotta, vert sapin) pour créer un contraste saisissant.
- Mur de couleur vive : Jouez la carte du ton sur ton ou optez pour une tenture aux tons neutres (écru, ficelle) pour calmer le jeu.
- Mur en brique : Une tenture en grosse laine écrue ou en macramé créera un dialogue de textures sublime.