Lorsque j'ai posé les pieds à Biarritz pour la première fois, j'ai ressenti l'excitation de l'océan. Cette ville, véritable sanctuaire pour les passionnés de surf, offre des paysages à couper le souffle et une culture vibrante. Les vagues ici ne sont pas seulement pour les pros ; même les débutants peuvent se lancer avec confiance.
Je me souviens encore de ma toute première vague. C’était à la Côte des Basques, dans la lumière dorée d’une fin de journée. L’odeur du sel, la cire collante sous mes mains… Cette sensation de glisse, même totalement maladroite, a été une révélation. Pour moi, Biarritz, c’est bien plus qu’une jolie ville au bord de l’eau. C’est mon terrain de jeu, mon bureau, mon lieu de ressourcement.
Beaucoup voient les affiches, les surfeurs stylés, et pensent que c’est facile. Mais, entre nous, l’océan ici a son petit caractère. Il peut être incroyablement généreux, mais il est aussi très exigeant. Ce n’est pas un guide touristique de plus que vous lisez. C’est un partage d’expérience, les pieds dans le sable.
Mon but ? Vous donner les clés pour comprendre nos vagues, pour en profiter un maximum en toute sécurité, que vous soyez un débutant curieux ou un surfeur de passage. On va parler météo, spots, matos et, surtout, de l’état d’esprit. Car ici, le surf, c’est une véritable culture.
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Comprendre l’Océan : La Base de Tout
Avant même de rêver de vous lever sur une planche, la première compétence à acquérir, c’est de savoir lire l’océan. Franchement, un bon surfeur n’est pas forcément celui qui enchaîne les figures, mais celui qui sait où et quand se placer. L’Atlantique n’est pas un lac, ses humeurs changent vite, et il faut savoir les décrypter.
La Houle, la Période et le Vent : Le Moteur des Vagues
Les vagues qui déferlent sur nos plages sont le fruit d’un long voyage. C’est ce qu’on appelle la houle. Quand vous regardez les prévisions sur des sites comme Surf Report ou Windguru, deux chiffres sont cruciaux : la taille de la houle (en mètres) et sa période (en secondes).
Astuce de pro : Pour un débutant, une houle de moins d’1 mètre avec une période supérieure à 8 secondes, c’est le jackpot. Ça donne des vagues propres, organisées, avec assez d’énergie pour vous pousser, mais sans vous faire peur. À l’inverse, une grosse houle avec une courte période (moins de 8 secondes) crée ce qu’on appelle du « chantier » : une mer agitée, des vagues qui cassent dans tous les sens… Bref, à éviter.
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Le vent, lui, c’est le sculpteur final. Un vent de terre (offshore), qui souffle de la terre vers la mer, lisse et creuse la vague. C’est ce qu’on recherche tous ! Un vent de mer (onshore) l’écrase et crée du clapot, rendant la session beaucoup moins fun. Un léger vent de terre, en dessous de 15 km/h, c’est l’idéal.
Les Marées : Le Vrai Patron de la Côte Basque
Ici, la marée n’est pas une option, c’est le chef d’orchestre. Le marnage (la différence de niveau d’eau entre marée haute et basse) est énorme. Un spot parfait à marée basse peut devenir impraticable, voire mortel, à marée haute. Votre montre, c’est l’horaire des marées.
Par exemple, la Côte des Basques ne se surfe qu’à marée basse et montante. Pourquoi ? Parce qu’à marée haute, les vagues viennent s’exploser directement sur les rochers en bas des escaliers. Il n’y a plus de plage. C’est une règle de survie. À l’inverse, la Grande Plage peut avoir des vagues qui ferment d’un coup (shorebreak) à marée très basse. Souvent, la mi-marée est un bon compromis.
Le Danger N°1 : Les Baïnes
Si vous ne devez retenir qu’une chose, c’est ça. Une baïne, c’est un courant qui ramène l’eau des vagues vers le large. Repérez-la : c’est une zone qui semble plus calme, sans vagues, où l’eau est parfois plus foncée. C’est un piège mortel. Chaque année, des nageurs et des surfeurs débutants s’épuisent à essayer de nager contre ce courant.
Si ça vous arrive, la règle d’or est : PAS DE PANIQUE. Ne luttez pas. Laissez-vous porter par le courant. Il vous emmènera derrière les vagues, là où il faiblit. Ensuite, nagez parallèlement à la plage sur une cinquantaine de mètres pour sortir du couloir, puis revenez tranquillement vers le bord. C’est contre-intuitif, mais c’est la seule chose à faire.
Les Spots de Biarritz : À Chaque Niveau son Terrain de Jeu
La Côte des Basques : Idéal pour Débuter
C’est le berceau du surf européen. Un spot mythique avec une vue imprenable. Ses vagues sont généralement longues et douces, parfaites pour les planches en mousse et les longboards. Le fond sableux est aussi très rassurant.
Votre première session solo, étape par étape :
1. Se garer : L’été, c’est compliqué. Venez tôt le matin ou en fin de journée, sinon privilégiez le parking payant en haut.
2. Louer son matos : Plusieurs surf shops se trouvent sur le boulevard du Prince de Galles juste au-dessus. Comptez environ 20-30€ pour louer une planche en mousse et une combi pour 2 heures.
3. Où se mettre à l’eau : Ne visez pas le pic avec les surfeurs confirmés ! Restez sur les bords, là où déferlent les mousses blanches. Votre but n’est pas de prendre une vague, mais de vous familiariser avec la planche et la sensation de glisse, allongé ou à genoux.
Attention : Attendez-vous à plus de 50 personnes à l’eau en plein mois d’août. Soyez patient ! Et préparez-vous mentalement à la remontée par les escaliers… après 2h dans l’eau, ils vous cassent bien les jambes !
La Grande Plage : Le Cœur de la Ville
En plein centre, c’est un spot plus puissant, avec des vagues souvent plus creuses et rapides. Le niveau y est plus élevé. C’est un super spectacle, mais si vous débutez, contentez-vous de regarder depuis le sable.
Pour qui ? Surfeurs intermédiaires à confirmés. Le truc à savoir : Le spot est très fréquenté par les locaux et les clubs. L’ambiance peut être intense au pic. Si vous n’avez pas le niveau, restez en retrait. L’humilité est la clé.
Marbella : La Sauvage
Juste au sud de la Côte des Basques, cette plage est plus exposée et les vagues y sont souvent plus qualitatives. C’est un spot qui demande une bonne lecture de l’océan et une certaine expérience.
Pour qui ? Surfeurs intermédiaires et avancés. Attention ! Les courants peuvent y être puissants et l’accès est un peu moins évident. Si vous ne connaissez pas, n’y allez jamais seul.
Le Matériel : Bien S’équiper Sans se Ruiner
La Planche : Oubliez votre Égo
Pour débuter, il n’y a qu’une seule option valable : la planche en mousse (ou « softboard »). Elle est large, épaisse, stable, elle flotte bien et, surtout, elle ne vous cassera pas une dent si vous vous la prenez dans la tête (et ça arrivera !). La location est votre meilleure amie au début. Pas la peine d’investir tout de suite.
La Combinaison : Votre Seconde Peau
Même en plein été, l’eau de l’Atlantique dépasse rarement les 22°C. La combinaison est indispensable pour rester longtemps à l’eau sans avoir froid. L’épaisseur se mesure en millimètres (ex: 4/3 mm).
Été : Une 3/2 mm suffit généralement.
Mi-saison (printemps/automne) : Une 4/3 mm est obligatoire.
Hiver : On passe sur une 5/4 mm avec cagoule, gants et chaussons pour les plus courageux (eau à 11-12°C).
Bon à savoir : Une bonne combi 4/3 d’une marque reconnue coûte entre 180€ et 350€. C’est un budget, mais une combi bas de gamme ne vous tiendra pas chaud et se déchirera vite. C’est un investissement qui vaut le coup.
La Culture Surf : Le Respect Avant Tout
Le surf est un sport individuel qui se pratique à plusieurs. Il y a donc des règles. Les connaître, c’est la base pour que tout se passe bien.
Les Règles de Priorité : La Grammaire du Surfeur
Le plus à l’intérieur a la priorité : Celui qui est le plus proche du point où la vague commence à déferler (le pic) a le droit de prendre la vague.
Une personne par vague : Une fois qu’il est parti, la vague est à lui. Ne démarrez pas devant lui (c’est un « drop-in »), c’est la faute la plus grave et la plus dangereuse.
Ramez en contournant : Quand vous retournez au large, ne ramez pas en plein sur la trajectoire des surfeurs. Contournez la zone de déferlement.
Honnêtement, on a tous fait l’erreur au début. Je me souviens d’une fois où, plein d’enthousiasme, j’ai démarré sur une vague qui n’était pas la mienne… L’accueil a été, disons, « pédagogique ». Ça m’a appris l’humilité et l’importance d’observer avant d’agir. Ces règles existent pour éviter les accidents.
Se Lancer : L’Option École de Surf
Pour commencer, passer par une école de surf est de loin la meilleure idée. Un bon moniteur vous fera gagner un temps fou et vous inculquera les bases de la sécurité. Un cours collectif d’1h30 tourne en général autour de 40-50€, matériel inclus.
Comment bien choisir ? Privilégiez les écoles avec le label de la Fédération Française de Surf. Assurez-vous que les moniteurs sont diplômés d’État et que les groupes ne dépassent pas 8 élèves. Une bonne école choisira toujours le spot et l’heure en fonction des conditions les plus faciles, pas pour faire du chiffre.
Ma Checklist Avant Chaque Session
Voici un petit rituel simple à adopter avant de vous jeter à l’eau :
Check n°1 : La marée. Est-ce le bon moment pour ce spot ?
Check n°2 : La météo. Quelle taille de houle ? Quelle direction de vent ?
Check n°3 : L’observation (10 min). Où sont les courants ? Où sont les autres surfeurs ?
Check n°4 : L’échauffement. Quelques minutes sur la plage pour préparer le corps.
Check n°5 : Le bonjour. Un sourire et un « bonjour » en arrivant à l’eau, ça change tout !
Le Mot de la Fin
Surfer à Biarritz, c’est une expérience incroyable. Mais elle se mérite. Elle demande de l’humilité face à un océan qui aura toujours le dernier mot. Ne le sous-estimez jamais. Si vous avez un doute, n’y allez pas. Il y aura toujours des vagues demain.
Mais si vous suivez ces quelques conseils, si vous prenez le temps d’apprendre et d’observer, alors vous découvrirez peut-être cette sensation unique de glisse pure. Et qui sait, cette première vague changera peut-être aussi un petit quelque chose en vous.
Galerie d’inspiration
Le sel qui tiraille la peau, les bras lourds d’avoir ramé, le sourire un peu béat… Le véritable luxe de la session de surf, c’est ce moment unique juste après. S’asseoir sur le sable encore chaud, regarder les dernières lueurs sur l’océan et simplement savourer la fatigue heureuse qui vous envahit. C’est le débrief silencieux avec soi-même, une sensation aussi addictive que la glisse elle-même.
Un stick de wax : La base. Choisissez une formule pour eau froide à tempérée, comme celles de Sex Wax ou GreenFix.
Un peigne à wax : Indispensable pour décrasser sa planche ou recréer de l’adhérence.
Une gourde d’eau : L’effort en mer déshydrate plus qu’on ne le pense.
Un poncho-serviette : Pour se changer avec dignité et chaleur sur le parking. Le modèle Hoalen est un classique.
La règle d’or au pic : Le surfeur situé le plus à l’intérieur, donc le plus proche du point où la vague commence à déferler, a la priorité absolue. Griller cette priorité n’est pas seulement malpoli, c’est dangereux. Observez quelques minutes avant de vous jeter à l’eau pour comprendre qui est où.
En 1957, le scénariste Peter Viertel, de passage pour le tournage du film
Votre combinaison est votre seconde peau. À Biarritz, l’eau dépasse rarement les 22°C en plein été et peut descendre à 11°C en hiver. Le choix de l’épaisseur est donc crucial.
Été (juin-sept) : Une 3/2 mm est parfaite.
Mi-saison (avril-mai & oct-nov) : La 4/3 mm est votre meilleure alliée.
Hiver (déc-mars) : Ne sortez pas sans une 5/4 mm, avec cagoule et chaussons. Des marques comme Rip Curl ou Vissla proposent d’excellents modèles.
Louer ou acheter sa première planche ?
Pour un séjour d’une semaine ou moins, la location est imbattable. Des services comme Marty Surf Delivery vous livrent même la planche au pied de votre logement. Si vous restez plus d’un mois ou si vous êtes sûr de vouloir continuer, l’achat d’une planche d’occasion (autour de 200-300€) sur les groupes Facebook locaux ou chez les loueurs en fin de saison est un excellent investissement.
Longboard : La glisse pure, la danse, les pas croisés. C’est le surf contemplatif, idéal pour les petites vagues de la Côte des Basques. Pensez style, fluidité et connexion avec l’onde.
Shortboard : L’agressivité, la vitesse, les manœuvres radicales dans la poche de la vague. C’est le surf de performance, qui s’exprime mieux sur les spots plus creux comme la Grande Plage ou Marbella.
Le choix de la planche est avant tout un choix d’humeur et d’expression.
La plupart des wax de surf traditionnelles sont à base de paraffine, un dérivé du pétrole.
Cela signifie qu’à chaque session, des microparticules non biodégradables se dispersent dans l’océan. Opter pour une wax écologique à base de cire d’abeille ou de résines végétales (comme celles de la marque locale SimWax) est un geste simple pour limiter son impact. L’accroche est tout aussi bonne, et l’océan vous dit merci.
Une rame efficace et explosive au dernier moment.
Des mains bien à plat sur la planche, sous les pectoraux.
Un mouvement fluide pour se mettre debout.
Le secret d’un bon take-off ? Il ne se situe pas sur la planche, mais au loin. Gardez les yeux fixés sur la direction où vous voulez aller (la plage, l’épaule de la vague), jamais sur vos pieds. Votre corps suivra votre regard.
Une question de timing : la baïne.
Ce mot que vous entendrez partout sur la côte. Il s’agit d’une cuvette naturelle qui se forme sur la plage. À marée montante, l’eau qui en sort crée un fort courant vers le large (courant de baïne). L’erreur fatale est de nager contre. Le bon réflexe : ne pas paniquer, se laisser porter et nager parallèlement à la plage pour s’en échapper plus loin, là où les vagues vous ramèneront au bord.
Le secret anti-picotements : Oubliez la crème solaire classique qui coule et brûle les yeux. Le must-have du surfeur est le stick solaire à filtres minéraux. Très épais, il forme une barrière physique contre les UV et résiste à l’eau. Les marques comme SeventyOne Percent ou EQ Love sont conçues par et pour des surfeurs et sont respectueuses des océans.
Surf Report : Idéal pour le très court terme. Ses atouts sont les webcams en direct sur les spots et les reports faits par des locaux plusieurs fois par jour. Parfait pour savoir s’il faut y aller maintenant.
Windguru : Plus technique, mais imbattable pour la prévision à plusieurs jours. C’est l’outil pour anticiper l’arrivée d’une belle houle, analyser sa direction et sa période.
Savoir lire une marée est aussi important que de lire la météo. Sur des applications comme Shom ou sur les sites de prévisions, surveillez deux choses : les horaires de pleine et basse mer, et le coefficient. Un gros coefficient (plus de 80) signifie que la marée monte et descend vite, avec des courants plus forts. Certains spots, comme Parlementia, ne fonctionnent bien qu’à mi-marée, tandis que d’autres sont meilleurs à marée basse.
Saviez-vous qu’une usine de planches de surf éco-conçues est installée au Pays Basque ?
La marque Notox, basée près de Bayonne, s’est spécialisée dans la fabrication de planches plus durables, en utilisant de la fibre de lin, du polystyrène recyclé et de la résine époxy biosourcée. Une alternative locale et innovante pour ceux qui veulent allier performance et conscience écologique.
Le surf-skate est devenu l’outil d’entraînement N°1 hors de l’eau. Il permet de travailler ses appuis, sa posture et la génération de vitesse.
Carver : Son système de truck C7 ou CX est plus stable. Idéal pour simuler les longues courbes et le
Point sécurité : le leash. C’est votre ligne de vie, ne la négligez pas. Il doit toujours être en parfait état (sans coupures ni points de rouille) et bien attaché. Choisissez une longueur à peine supérieure à celle de votre planche. Un leash qui casse au mauvais moment peut transformer une session agréable en une vraie galère, voire un danger pour vous et les autres baigneurs.
Mettre de la wax sur une planche mouillée ou pleine de sable.
Appliquer la wax dans le sens de la longueur (il faut faire des cercles ou des croisillons).
Ne jamais enlever la vieille wax, créant une couche épaisse, lourde et inefficace.
Ne sous-estimez pas le moment où vous sortez de l’eau. Une fois la session terminée, prenez le temps de vous étirer sur la plage. Quelques mouvements simples peuvent faire toute la différence pour éviter les courbatures du lendemain.
Épaules : Croisez un bras devant votre poitrine et pressez-le avec l’autre.
Dos : Allongé sur le sable, ramenez les genoux sur la poitrine.
Hanches : Faites une fente avant pour étirer le psoas, très sollicité en surf.
Elle prend les vagues avec une facilité déconcertante.
Elle ne fait pas mal si vous vous la prenez sur la tête.
Elle est quasi indestructible et booste la confiance.
Le secret le moins bien gardé de Biarritz ? La planche en mousse, ou
Plus qu’un simple café, des lieux comme le Surfing à la Côte des Basques ou l’Etxola Bibi sont des institutions. C’est là que tout se passe avant et après les sessions. On y croise les légendes locales, les moniteurs et les voyageurs, on y débriefe les vagues du jour en regardant le soleil se coucher, souvent un verre de rosé à la main. C’est l’essence même de la culture surf biarrote : conviviale et les pieds dans le sable.
La vitesse moyenne d’une vague surfable en Atlantique se situe entre 20 et 35 km/h.
Cette vitesse, combinée au poids de l’eau en mouvement, explique la puissance que l’on ressent sur la planche. C’est cette énergie, née à des milliers de kilomètres au large, que le surfeur tente d’apprivoiser le temps de quelques secondes de glisse.
La malédiction du néoprène : pour qu’elle dure, une combinaison doit être entretenue. La rincer à l’eau claire et froide après chaque session est le geste numéro 1. Ne la laissez jamais sécher en plein soleil, les UV dégradent le néoprène. Faites-la sécher à l’ombre, pliée en deux sur un cintre large pour ne pas marquer les épaules.
Facilite le transport de la planche, surtout en ville.
Protège votre planche des petits chocs du quotidien.
Empêche la wax de coller partout (dans la voiture, sur vos vêtements).
L’astuce ? La housse-chaussette (
Selon la Surfrider Foundation Europe, basée à Biarritz, 80% des déchets marins proviennent de la terre.
Cela rappelle que la protection de l’océan commence sur la plage. Un geste simple mais fondamental : toujours repartir avec tous ses déchets, et si le cœur vous en dit, ramasser ceux que vous croisez. Chaque petit geste compte pour préserver notre terrain de jeu.
Designer d'Intérieur & Consultante en Art de Vivre Domaines de prédilection : Aménagement intérieur, Éco-conception, Tendances mode
Après des années passées à transformer des espaces de vie, Laurine a développé une approche unique qui marie esthétique et fonctionnalité. Elle puise son inspiration dans ses voyages à travers l'Europe, où elle découvre sans cesse de nouvelles tendances et techniques. Passionnée par les matériaux durables, elle teste personnellement chaque solution qu'elle recommande. Entre deux projets de rénovation, vous la trouverez probablement en train de chiner dans les brocantes ou d'expérimenter de nouvelles palettes de couleurs dans son atelier parisien.