Coiffure : Les Vrais Secrets d’un Pro pour ne Plus Jamais se Tromper
Les coiffures de 2022 mêlent modernité et nostalgie. Prêt(e) à découvrir les tendances qui sauront mettre en valeur votre style unique ?

Les années passent, mais l'envie de se réinventer reste intacte. En explorant les coiffures de 2022, je me suis rappelé des styles emblématiques qui ont marqué notre histoire capillaire. Entre le chic des années 60 et l'audace des coupes modernes, chaque choix révèle une facette de notre personnalité. Préparez-vous à faire le plein d'idées !
Je suis coiffeur artisan, et franchement, après des années dans le métier, j’ai vu passer toutes les modes possibles. Le très long, le très court, les franges, les couleurs flashy… tout ça, c’est un éternel recommencement. Ce que j’ai appris, c’est que la vraie valeur ne se trouve pas dans la dernière tendance vue sur les réseaux, mais dans la technique et la compréhension de la personne assise sur mon fauteuil.
Contenu de la page
- 1. Le B.A.-BA : Connaître sa matière première, le cheveu
- 2. Dans les coulisses du salon : les techniques décryptées
- 3. Les styles et le mode de vie : une question d’adaptation
- 4. Le match : Salon vs. Maison
- 5. Au-delà du classique : Gérer les cas difficiles
- 6. La sécurité avant tout : Ma responsabilité de pro
- Galerie d’inspiration
On me demande tout le temps : « C’est quoi la mode en ce moment ? ». Ma réponse déroute souvent. Je préfère demander : « Qu’est-ce qui va VRAIMENT vous aller ? Qu’est-ce qui colle à votre style de vie ? ». Une coupe de cheveux, ce n’est pas un sac à main qu’on change au gré des saisons, c’est une partie de vous. Mon boulot, ce n’est pas de copier-coller une photo, mais de créer avec vous la coiffure qui vous sublime.

Alors oubliez les listes de tendances. Ici, on va parler de l’essentiel : la matière, vos cheveux. Je vais vous livrer les techniques qu’on utilise en salon et vous donner les clés pour faire des choix éclairés. Considérez ça comme une conversation entre vous et un passionné de son métier.
1. Le B.A.-BA : Connaître sa matière première, le cheveu
Avant même de penser à une paire de ciseaux, un bon coiffeur analyse. C’est le fondement de tout. Zapper cette étape, c’est un peu comme construire une maison sans étudier le terrain. Le résultat sera forcément bancal.
La structure du cheveu : bien plus qu’un simple fil
Un cheveu, c’est une petite merveille de complexité. Imaginez trois couches. Au cœur, le cortex, qui contient la kératine (pour la force) et la mélanine (pour la couleur). C’est là que la magie de la coloration opère. La couche externe, c’est la cuticule. Voyez-la comme les tuiles d’un toit. Sur un cheveu sain, les écailles sont lisses, fermées, et la lumière s’y reflète. Le cheveu brille. Quand il est abîmé (chaleur, chimie…), les écailles se soulèvent. Résultat : le cheveu est terne, rêche et s’emmêle. C’est aussi simple que ça !

Texture, densité et porosité : le trio gagnant
Ce sont les trois piliers de mon diagnostic. Je les évalue au toucher et à l’œil nu.
- La texture : C’est l’épaisseur de chaque cheveu. Fin, moyen ou épais. Un cheveu fin est plus fragile et supportera mal une décoloration platine. Un cheveu épais, plus robuste, peut être plus difficile à dompter.
- La densité : C’est le nombre de cheveux que vous avez sur la tête. On peut avoir des cheveux fins mais en très grande quantité, ce qui donne une impression de volume. C’est crucial pour adapter la coupe et créer l’équilibre parfait.
- La porosité : C’est la capacité de votre cheveu à boire et à garder l’hydratation. C’est LE critère que beaucoup de gens ignorent, et pourtant, il change tout !
Petit test facile à faire chez vous : prenez un cheveu propre et sec, et plongez-le dans un verre d’eau. S’il flotte, il est peu poreux. S’il coule, il est très poreux.

Bon à savoir :
– Votre cheveu flotte (peu poreux) ? Les soins ont du mal à pénétrer. Astuce : appliquez vos masques sous une serviette chaude pour ouvrir les écailles. Privilégiez des huiles légères comme l’huile de jojoba ou d’amande douce qui ne vont pas juste rester en surface.
– Votre cheveu coule (très poreux) ? Il absorbe tout très vite mais ne retient rien. Il a besoin de protéines pour combler les brèches (soins à la kératine) et de corps gras pour sceller l’hydratation (beurre de karité). Un dernier rinçage à l’eau froide ou au vinaigre de cidre est votre meilleur ami pour refermer les écailles.
2. Dans les coulisses du salon : les techniques décryptées
La différence entre une coupe faite à la maison et une coupe de pro ? Ce ne sont pas que les ciseaux. C’est la vision en 3D et la maîtrise des angles.

L’art de la coupe : tout est une question d’angles
Quand un coiffeur lève une mèche, chaque angle est calculé pour obtenir un effet précis. C’est de la pure géométrie.
- Angle à 0° : On plaque le cheveu vers le bas. C’est la technique pour un carré droit ultra net, le fameux « bob » à la Cléopâtre. Très chic, mais ne pardonne aucune erreur.
- Angle à 90° : La mèche est tenue perpendiculaire au crâne. C’est la base pour créer des dégradés, du mouvement et du volume sur le dessus de la tête.
- Angle à 180° : On projette la mèche complètement vers le haut. Ça crée des dégradés longs et prononcés, parfaits pour donner vie aux coupes longues un peu plates, dans un esprit un peu rock.
Comment le demander à votre coiffeur ? C’est simple. Au lieu de dire « je veux un dégradé », expliquez l’effet désiré : « Je voudrais garder de la masse en bas mais avoir plus de volume sur le dessus » (ce qui correspond à un dégradé à 90°) ou « je veux beaucoup de mouvement et de légèreté dans mes longueurs » (plutôt 180°).

La magie de la couleur : un travail de chimiste
La coloration est une science. C’est pourquoi une consultation est vitale. Avez-vous fait un henné ? Une couleur de supermarché ? Ces infos sont cruciales pour éviter la catastrophe.
La base, c’est le cercle chromatique. Pour annuler un reflet indésirable, on utilise sa couleur opposée. C’est pourquoi on applique une patine violette sur un blond qui jaunit, ou une touche de vert pour neutraliser des reflets rouges. C’est une règle d’or.
Un balayage réussi, c’est un travail d’orfèvre qui demande du temps. Comptez entre 3 et 5 heures en salon, pour un budget allant de 100€ à plus de 250€ selon la complexité et le salon. La décoloration, elle, est le processus le plus délicat. Mal gérée, elle peut « brûler » le cheveu. Nous surveillons constamment son élasticité. Si le cheveu devient cotonneux, c’est un signal d’alarme : il faut rincer immédiatement !

3. Les styles et le mode de vie : une question d’adaptation
Une bonne coiffure, c’est aussi une coiffure qui s’adapte à votre environnement. Le climat et votre quotidien ont un impact énorme.
Par exemple, dans les régions ensoleillées et proches de la mer, la demande pour des balayages lumineux, effet « coup de soleil », est très forte. On recherche des coiffures plus libres, faciles à vivre. Dans des zones plus urbaines et dynamiques, on observe souvent une quête d’un chic plus structuré, comme un carré court bien net ou des couleurs profondes et brillantes.
Et dans les régions où l’humidité est reine, le combat contre les frisottis est une priorité. Dans ce cas, les coiffeurs évitent d’effiler à outrance pour ne pas créer un volume incontrôlable. Un bon pro saura vous proposer une coupe et une routine de soin qui tiennent la route, même par temps de pluie. Pensez-y lors de votre prochain rendez-vous !

4. Le match : Salon vs. Maison
La fameuse question : « Est-ce que je peux le faire moi-même ? ». En tant que professionnel, je me dois de répondre honnêtement, pour le bien de vos cheveux.
Ce que vous pouvez (et devriez) faire à la maison
- Les soins : Un bon masque une fois par semaine, c’est non négociable. Choisissez-le en fonction de votre type de cheveu (hydratant, nourrissant, pour cheveux colorés…).
- Le coiffage : Brushing, lissage, bouclage… oui, mais TOUJOURS avec un protecteur de chaleur. C’est l’investissement le plus rentable pour la santé de vos cheveux. Un bon spray coûte entre 15 et 25€ et vous évitera des dégâts qui, eux, coûtent bien plus cher à réparer.
- La petite retouche : Égaliser une frange ? Pourquoi pas, si vous êtes habile. Mais coupez toujours sur cheveux secs, avec de vrais ciseaux de coiffure (on en trouve à 20€ chez les grossistes comme Bleu Libellule) et coupez moins que prévu. On peut toujours enlever, jamais remettre…

Ce qui doit absolument rester au salon
- Toute nouvelle coupe : Créer une structure demande une expertise. Tenter un dégradé seule mène quasi systématiquement à un rendez-vous « SOS rattrapage » qui vous coûtera le double du prix initial.
- Toute transformation chimique : Décoloration, couleur permanente… Le risque de brûlure, de casse ou de reflets improbables (orange, vert…) est énorme. Une coloration en boîte est un produit standard. En salon, nous créons un mélange sur-mesure pour VOS cheveux.
- La correction d’une couleur ratée : N’essayez JAMAIS de rattraper une couleur en appliquant une autre boîte par-dessus. C’est le meilleur moyen d’aggraver le problème. Une correction en salon est un travail complexe qui peut prendre plus de 5 heures et coûter 300€ ou plus.
5. Au-delà du classique : Gérer les cas difficiles
C’est dans la gestion des situations complexes que se révèle la vraie maîtrise du métier.
Mission : sauvetage de couleur
Je me souviendrai toujours de cette cliente arrivée en larmes après un balayage maison sur une base brune. Racines orange, longueurs tachetées, pointes verdâtres. La cata. Impossible de décolorer davantage sans tout casser.

La solution a été un travail de longue haleine : un gommage doux pour enlever les mauvais pigments, puis une pré-coloration avec une pointe de rouge pour neutraliser le vert (merci le cercle chromatique !), et seulement après, un travail de balayage subtil. Ça a pris près de six heures. Un vrai marathon.
Leçon à retenir : N’appliquez JAMAIS une couleur foncée de supermarché pour « cacher » une décoloration ratée. Vous risquez de fixer des reflets verdâtres que seul un professionnel pourra (difficilement) corriger.
6. La sécurité avant tout : Ma responsabilité de pro
Mon métier implique de manipuler des produits chimiques et des outils tranchants. La sécurité n’est pas une option, c’est une obligation.
Les allergies et le test indispensable
Avant toute coloration permanente, un test d’allergie 48h avant est obligatoire. Une allergie à certains colorants peut être très sérieuse. Je ne prends jamais ce risque, même avec une cliente fidèle depuis des années, car une sensibilité peut se déclarer à tout moment.

Quand un coiffeur doit dire NON
Parfois, la meilleure preuve de professionnalisme, c’est de savoir refuser. Si une cliente aux cheveux très fins et déjà sensibilisés me réclame un blond platine, je dirai non. Mon but est d’embellir, pas de détruire. Je lui expliquerai les risques et on trouvera ensemble une alternative plus sûre, comme un joli balayage miel.
D’ailleurs, voici un conseil en or : si un jour, un coiffeur vous dit « non, je ne peux pas faire ça, vos cheveux sont trop fragiles », ne soyez pas déçue. Réjouissez-vous ! C’est le signe que vous avez affaire à quelqu’un qui se soucie plus de la santé de vos cheveux que de vous vendre une prestation à tout prix. Fuyez ceux qui disent oui à tout !
Et vous, c’est quoi votre pire (ou meilleure) expérience capillaire ? Racontez-moi en commentaire, qu’on puisse partager nos histoires !
Galerie d’inspiration




Savez-vous si vos cheveux sont poreux ? C’est un indicateur clé pour choisir les bons soins. Plongez un cheveu propre et sec dans un verre d’eau. S’il flotte, sa porosité est faible (il a besoin d’hydratation légère). S’il coule, elle est forte (il réclame des protéines et des soins nourrissants comme ceux de la gamme Absolut Repair de L’Oréal Professionnel).



Selon une étude de l’International Journal of Trichology, nous perdons en moyenne entre 50 et 100 cheveux par jour.
Pas de panique donc face à la brosse le matin. Ce cycle est parfaitement normal. L’inquiétude doit naître si vous observez une augmentation soudaine et persistante, ou un affinement visible au niveau des tempes ou du vertex.



Le conseil d’ami : Ne vous fiez jamais à la couleur d’un produit dans son flacon. Un shampoing violet comme le Blond Absolu de Kérastase est conçu pour neutraliser les reflets jaunes des blonds, pas pour colorer les cheveux. Sa fonction est purement technique et basée sur le cercle chromatique.



- Une brillance spectaculaire et un toucher soyeux.
- Une couleur qui semble plus riche, plus profonde.
- Un coiffage facilité et une meilleure tenue.
Le secret ? Un soin post-coloration en salon. Demandez un gloss ou un soin acide (comme le Shades EQ de Redken) qui referme les écailles du cheveu juste après la technique. C’est ce qui scelle les pigments et la brillance pour des semaines.




Dois-je laver mes cheveux avant un rendez-vous couleur ?
Le mythe du cheveu



Penser sa coupe en fonction de la forme de son visage est un classique. Mais avez-vous pensé à votre profil ? Une frange rideau adoucit un nez proéminent. Un dégradé partant de la mâchoire peut équilibrer un menton fuyant. Un bon coiffeur ne vous regarde pas que de face, il tourne autour de vous pour sculpter une forme harmonieuse sous tous les angles.



Brosse en poils de sanglier : Elle répartit le sébum naturel de la racine aux pointes, lustre la fibre et limite l’électricité statique. Idéale pour les cheveux lisses à ondulés. La Rolls-Royce ? La brosse Mason Pearson.
Brosse pneumatique (paddle) : Parfaite pour le brushing des cheveux longs et épais ou pour un démêlage en douceur sur cheveux secs. Le modèle d’Aveda est une référence.



Pour celles qui veulent garder leur longueur tout en éliminant les fourches, la technique du




- Parlez de votre routine matinale : 5 minutes ou 30 ?
- Apportez des photos de ce que vous aimez, mais aussi de ce que vous détestez.
- Décrivez votre style de vie : bureau, sport, soirées…
- Soyez honnête sur votre niveau d’entretien : êtes-vous prête à revenir toutes les 6 semaines pour la couleur ?



L’erreur fatale du DIY : Vouloir passer du brun au blond platine à la maison. La décoloration est un acte chimique complexe qui détruit les pigments naturels. Sans maîtrise des forces d’oxydants et des temps de pose, le risque est de finir avec des cheveux orange, élastiques (



Les cheveux roux naturels ne représentent que 1 à 2% de la population mondiale. Leurs pigments, les phéomélanines, sont plus résistants à la décoloration, ce qui rend leur coloration particulièrement technique.



Olaplex, miracle ou marketing ?
C’est une véritable innovation. Contrairement à un masque qui agit en surface, Olaplex (surtout les étapes N°1 et N°2 en salon) fonctionne au cœur du cheveu pour réparer les ponts disulfures cassés par les traitements chimiques et la chaleur. C’est une assurance-vie pour les cheveux décolorés ou fragilisés. Les produits d’entretien (N°3 et plus) prolongent cet effet à la maison.



- Le bruit du sèche-cheveux Dyson Supersonic est conçu pour être à une fréquence moins agressive pour l’oreille humaine.
- L’odeur des huiles essentielles dans un soin Aveda transforme le bac en un moment de spa.
- La sensation d’un massage crânien bien exécuté ne stimule pas que la pousse, il libère des endorphines.
L’expérience en salon est multisensorielle. Elle contribue autant au bien-être que le résultat final.




Protéger sa couleur en été : Le soleil et le chlore sont les pires ennemis de votre coloration. Avant l’exposition, vaporisez une brume protectrice anti-UV spécifique pour cheveux, comme celles de René Furterer ou Phyto. Après la baignade, rincez systématiquement vos cheveux à l’eau claire pour éliminer le sel et le chlore qui décapent les pigments.



Cheveux fins : L’ennemi, c’est le poids. Oubliez les masques trop riches et les huiles lourdes à la racine. Privilégiez les coupes structurées mais dégradées en surface pour créer une illusion de volume, et utilisez des mousses volumatrices ou des sprays racines avant le séchage.
Cheveux épais : L’objectif est de maîtriser la masse sans l’appauvrir. Un effilage maîtrisé ou un dégradé interne peut alléger la chevelure tout en gardant une belle densité sur les pointes.



L’eau calcaire de votre douche peut être responsable de cheveux ternes et rêches. Les minéraux se déposent sur la fibre, créant un voile opaque et asséchant. La solution ? Un rinçage final avec une cuillère de vinaigre de cidre diluée dans un litre d’eau froide pour resserrer les écailles et dissoudre les résidus, ou l’installation d’un pommeau de douche filtrant.



Une étude sur l’attractivité a montré que les cheveux sains et brillants sont universellement perçus comme un signe de bonne santé et de fertilité, un réflexe hérité de nos lointains ancêtres.
Au-delà de la mode, une chevelure soignée envoie un message puissant. C’est un investissement dans son image qui a des racines bien plus profondes que la simple esthétique.




Mes boucles ne sont jamais bien définies. Pourquoi ?
Souvent, le problème vient de l’hydratation et de la méthode de séchage. Essayez la technique du



- Une meilleure élasticité et moins de casse.
- Une hydratation profonde avant le lavage qui peut être décapant.
- Une protection de la couleur contre l’affadissement.
L’astuce des pros pour les cheveux secs ou colorés ? Le bain d’huile AVANT le shampoing. Appliquez une huile végétale (jojoba, avocat) sur les longueurs, laissez poser de 30 minutes à une nuit, puis procédez à votre shampoing habituel.



Le dilemme du coiffage : Un lisseur comme le Steampod de L’Oréal utilise la vapeur pour coiffer, ce qui hydrate la fibre pendant le processus. Un fer classique comme le GHD Platinum+ se base sur une température constante et optimale (185°C) pour coiffer rapidement sans surchauffer. Le premier est idéal pour les cheveux épais et difficiles, le second pour une utilisation rapide et efficace sur la plupart des types de cheveux.



Le cheveu crépu pousse en moyenne 0,9 cm par mois, contre 1,2 cm pour le cheveu caucasien. Sa structure en spirale le rend plus fragile et sujet à la casse, d’où l’impression qu’il ne pousse pas.
La clé pour ce type de cheveu n’est pas la pousse, mais la rétention de longueur. Cela passe par une hydratation intense (méthode L.O.C : Liquid, Oil, Cream), des coiffures protectrices et une manipulation très douce.


Focus sur la frange rideau : C’est la plus facile à vivre. Moins radicale qu’une frange droite, elle demande peu d’entretien car elle se fond dans la chevelure en repoussant. Elle sublime les visages ovales et carrés en adoucissant les traits. Le secret de son coiffage ? La sécher vers l’avant avec une brosse ronde, puis balayer chaque côté vers l’extérieur pour créer ce fameux mouvement de