Chaque automne, je ressens cette excitation palpable à l'idée de renouveler ma garde-robe. Les couleurs chaudes et les matières douces m'inspirent à créer des looks qui reflètent non seulement la saison, mais aussi ma personnalité. Avec des tons éclatants, des textures luxueuses et des imprimés audacieux, il est temps de s'approprier les tendances et de célébrer la mode automnale.
Après des années passées à travailler les tissus, à voir défiler les modes et les couleurs soi-disant « indispensables », j’ai fini par comprendre une chose toute simple. Bien s’habiller en automne, ce n’est pas une question de suivre la dernière tendance, mais de revenir aux bases : la qualité des matières, la justesse des coupes et quelques principes fondamentaux.
Alors, oubliez les listes de shopping à rallonge. Ici, on va parler concret. On va plonger dans le savoir-faire qui fait qu’un vêtement est non seulement beau, mais aussi fonctionnel et durable. L’idée, c’est de vous donner les clés pour bâtir une garde-robe d’automne qui a du sens, et qui vous accompagnera longtemps.
Au cœur du vêtement : les matières qui vous protègent
Tout commence par le tissu. C’est la base de tout. Une coupe magnifique sur une matière médiocre donnera toujours un résultat décevant. En automne, un tissu doit avant tout vous garder au chaud et au sec, tout en étant agréable à porter. C’est aussi simple que ça.
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La laine, la reine incontestée de la saison
Franchement, pour l’automne et l’hiver, la laine est imbattable. C’est une fibre naturelle aux propriétés incroyables. Elle isole du froid en emprisonnant l’air et peut absorber pas mal d’humidité sans qu’on se sente mouillé. C’est pour ça qu’un bon pull en laine vous garde au chaud, même par temps gris et humide.
Mais attention, toutes les laines ne se valent pas. Voici mes favorites :
La laine Mérinos : Ultra-fine et douce, elle ne pique absolument pas. C’est le top pour les pulls qu’on porte près du corps ou les écharpes. Un bon col roulé en mérinos, c’est un investissement que vous ne regretterez pas. Comptez entre 80€ et 150€ pour une pièce de qualité qui durera.
Le Tweed : D’inspiration écossaise, c’est une laine cardée, plus brute et texturée. Un bon tweed est solide, il a du caractère. Il raconte une histoire. Une veste en tweed, c’est une pièce qui peut littéralement durer toute une vie et se transmettre.
La Flanelle de laine : Ici, la laine est peignée pour obtenir un toucher d’une douceur incroyable et un tombé très souple. Un pantalon en flanelle de laine grise, c’est peut-être l’une des pièces les plus polyvalentes qui existent. Chic, mais super confortable.
Petit conseil d’expert : Quand vous choisissez un vêtement en laine, regardez son poids (souvent indiqué en g/m²). Pour une veste d’automne confortable et chaude, visez une laine entre 300 et 450 g/m². En dessous, c’est trop léger ; au-dessus, on bascule sur un manteau d’hiver.
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Les cotons d’hiver : des alliés robustes
Le coton n’est pas qu’une matière d’été ! Ses versions plus épaisses sont parfaites pour la mi-saison.
La Moleskine : Son nom, « peau de taupe », décrit bien sa texture dense et son toucher velouté. C’est un tissu de travail à l’origine, donc ultra-résistant et coupe-vent. Une veste de travail en moleskine kaki ou marine, c’est un classique indémodable.
Le Velours Côtelé : Chaud et réconfortant, on le reconnaît à ses côtes. Plus les côtes sont larges, plus le style est décontracté. Les côtes fines, dites « milleraies », donnent un aspect un peu plus habillé.
Le Coton Ciré : C’est la matière des vestes de campagne traditionnelles, rendue imperméable par un traitement à la cire. Une veste en coton ciré vieillit superbement bien, elle se patine avec le temps. Bon à savoir : il faut la faire ré-encirer tous les deux ou trois ans pour qu’elle reste efficace contre la pluie. Vous pouvez trouver des pains de cire spécifiques en ligne pour une quinzaine d’euros et le faire vous-même, c’est assez simple !
Le cuir, une véritable seconde peau
Un beau vêtement en cuir, c’est un vrai investissement. On parle souvent de cuir « pleine fleur », qui est la partie la plus noble de la peau, celle qui garde ses marques naturelles et développe une patine magnifique avec le temps. Méfiez-vous des étiquettes « cuir véritable », qui cachent souvent des qualités inférieures. Un bon blouson en cuir pleine fleur, c’est un budget, souvent entre 400€ et 900€, mais c’est un achat pour la vie.
Attention ! Le cuir a besoin de respirer. Ne le stockez jamais dans une housse en plastique. Utilisez un cintre en bois bien large pour une veste, afin de ne pas abîmer la forme des épaules.
L’âme du vêtement : la coupe et la confection
Une matière d’exception ne suffit pas. Sans une coupe juste et une confection soignée, elle ne pourra pas s’exprimer. C’est là que le savoir-faire des professionnels fait toute la différence.
La veste et le manteau : la pièce maîtresse
Une veste bien coupée peut transformer une silhouette. Le point le plus important, ce sont les épaules. La couture doit tomber pile sur l’os de votre épaule. Si c’est trop large, vous flottez dedans ; trop étroit, le tissu tire et fait des plis moches. C’est non négociable.
Astuce peu connue : Pour juger de la qualité d’une veste, pincez le tissu du revers, juste au-dessus du premier bouton. Si vous sentez une troisième couche de tissu qui flotte librement à l’intérieur, c’est probablement un montage traditionnel (entoilé). C’est un signe de grande qualité qui assure un tombé plus naturel et une meilleure longévité. Le montage thermocollé, plus courant, est plus rigide.
Le pantalon et l’importance de l’ourlet
La longueur d’un pantalon change tout. On parle de la « casse », c’est-à-dire le pli que fait le pantalon sur la chaussure. Un pantalon sans casse (qui s’arrête net au-dessus de la chaussure) est moderne, tandis qu’une légère casse est un classique intemporel. Faire reprendre un ourlet chez un bon retoucheur est un petit investissement, souvent entre 15€ et 25€, qui change radicalement l’allure d’un pantalon. Ne négligez pas ce détail !
Le pull et le diable dans les détails
Sur un pull, la qualité se cache dans les finitions. Regardez les coutures. Un tricot de qualité est souvent « fully-fashioned », ce qui signifie que chaque partie est tricotée à la bonne forme avant d’être assemblée. Les coutures sont ainsi plus propres et plus solides. C’est ce qui justifie un prix plus élevé, mais aussi une bien meilleure tenue dans le temps.
Construire votre palette : couleurs et motifs
Construire une garde-robe cohérente, c’est un peu comme peindre un tableau. Il faut une palette de base solide avant d’ajouter des touches de couleur.
Je conseille toujours de démarrer avec des couleurs neutres et polyvalentes qui vont avec tout : du bleu marine (plus doux que le noir), des gris (clair, moyen, anthracite), des marrons et des beiges (camel, chocolat) et du vert olive ou kaki. Une fois que vous avez cette base, vous pouvez vous amuser avec une ou deux couleurs d’accent plus fortes comme un bordeaux, un jaune moutarde ou un orange brûlé, sur une écharpe ou un pull.
Pour les motifs, les classiques comme le chevron, le pied-de-poule ou le prince de galles sont des valeurs sûres. L’œil du pro : sur un vêtement à motifs de qualité, vérifiez que les motifs s’alignent parfaitement au niveau des coutures (poches, col, épaules). C’est ce qu’on appelle le raccord, et c’est un signe de fabrication soignée qui ne trompe pas.
Assembler le tout : le guide pratique
Avoir de belles pièces, c’est bien. Savoir les combiner, c’est encore mieux. Le secret, c’est la polyvalence et la superposition.
L’art de la superposition (ou layering)
En automne, la météo est capricieuse. La superposition est la réponse la plus intelligente. C’est un système simple à trois couches :
Couche de base : Un t-shirt en coton ou en mérinos fin pour gérer la transpiration.
Couche intermédiaire : La couche d’isolation. Un pull en laine, une chemise en flanelle, un gilet…
Couche extérieure : Votre bouclier contre le vent et la pluie. Une veste, un trench, un manteau.
Par exemple, pour une journée fraîche à 10°C : un t-shirt en mérinos (couche 1), une surchemise en velours (couche 2), et une veste en coton ciré (couche 3). Simple, stylé et efficace. Vous pouvez enlever une couche si le soleil pointe son nez.
Où investir en priorité ?
Si votre budget est limité, il faut faire des choix stratégiques. Dans mon expérience, voici les pièces qui méritent le plus gros de votre investissement :
Le Manteau : C’est la première chose qu’on voit. Un bon manteau en laine bien coupé (pensez 300-600€) vous fera au moins une décennie.
Les Chaussures : Des bottes ou des chaussures en cuir de qualité, avec un montage solide (type Goodyear), peuvent être ressemelées plusieurs fois. C’est un investissement très rentable sur le long terme (200-400€).
Une belle Veste : En tweed, en flanelle, en moleskine… C’est la pièce maîtresse qui structurera beaucoup de vos tenues.
Pour le reste (t-shirts, etc.), vous pouvez être moins exigeant. Et n’oubliez pas le marché de la seconde main ! Des plateformes comme Vinted ou Vestiaire Collective regorgent de trésors. Je me souviens d’un client qui a failli jeter une vieille veste en moleskine de son père. On a simplement changé les boutons et repris un peu la taille, et c’est devenu sa pièce favorite. Parfois, il suffit de peu de choses.
Le respect du vêtement : entretien et durabilité
Un vêtement de qualité mérite d’être bien traité. Un bon entretien, c’est la garantie de le garder des années.
La première règle d’or : ne lavez pas trop souvent ! Surtout la laine, qui est naturellement antibactérienne. L’aérer une nuit à la fenêtre suffit souvent à la rafraîchir. Pour les lavages, privilégiez le lavage à la main, à froid, avec une lessive spéciale laine, et faites toujours sécher à plat.
Pour les vestes et manteaux, un bon coup de brosse suffit la plupart du temps. Pour un nettoyage en profondeur, direction le pressing. Mais pas n’importe lequel ! Comment trouver le bon ? Posez-leur des questions ! Demandez s’ils ont l’habitude des manteaux en laine ou des vestes entoilées. Fuyez les offres « nettoyage express en une heure », c’est souvent le signe d’un traitement industriel peu délicat.
Enfin, apprenez à faire les petites réparations. Savoir recoudre un bouton, c’est indispensable.
Recoudre un bouton comme un pro en 4 étapes :
Utilisez un fil solide (si possible, doublé) et faites plusieurs passages dans les trous du bouton.
Avant de finir, glissez une allumette ou un cure-dent sous le bouton et enroulez le fil plusieurs fois autour des fils de couture (la « tige ») pour créer un petit espace. Cela évite que le tissu ne se plisse quand vous boutonnez.
Retirez l’allumette, passez l’aiguille de l’autre côté et faites un nœud solide.
Et voilà, c’est solide comme au premier jour !
Au final, choisir ses vêtements d’automne, c’est bien plus qu’une simple question de style. C’est se reconnecter à des matières, à des savoir-faire, et choisir des pièces faites pour durer. C’est une approche plus lente, plus réfléchie, mais tellement plus satisfaisante.
Galerie d’inspiration
Comment intégrer une touche de couleur sans surcharger son look d’automne ?
Le secret réside dans l’accessoire unique. Plutôt que de multiplier les teintes vives, concentrez-vous sur une seule pièce forte. Un sac en cuir safran, comme le modèle Farrow de Sézane, ou des gants en cuir rouge carmin peuvent transformer une tenue neutre (jean brut, manteau marine). L’impact est maximal, mais l’élégance reste maîtrisée.
Nourrir : Appliquez une crème délicate (type Saphir) une fois par saison sur vos sacs et chaussures en cuir lisse pour garder la souplesse.
Imperméabiliser : Un geste essentiel avant la première sortie et après chaque nettoyage, surtout pour le daim.
Détacher : Utilisez une gomme à daim pour les taches sur le nubuck ou le suède. Pour le cuir lisse, un chiffon doux humide suffit souvent.
Seulement 5% de la laine Mérinos produite dans le monde est certifiée
L’élégance automnale se niche souvent dans le jeu des textures. Ne vous contentez pas d’associer des couleurs, mariez les matières. La fluidité d’une blouse en soie sous la maille épaisse d’un cardigan, la robustesse d’un jean brut contre la douceur du velours côtelé, ou le grain du cuir d’un pantalon avec la légèreté d’un cachemire. C’est ce contraste tactile qui donne de la profondeur et du caractère à une silhouette, même la plus sobre.
Le Trench-coat : Idéal pour le début de saison. Léger, souvent imperméable (cherchez la gabardine de coton), il est le roi de la mi-saison et du layering. Parfait sur un pull fin.
Le Manteau en laine : Indispensable quand le froid s’installe. Il offre une véritable isolation thermique. Un modèle avec au moins 70% de laine est un bon indicateur de chaleur.
le premier est pour le style et la pluie, le second pour le froid.
Une silhouette affinée, jamais engoncée.
La capacité de s’adapter aux variations de température dans la journée.
Un style riche et travaillé sans effort.
Le secret ? La règle des trois couches fines. Commencez par une base respirante (t-shirt en coton, caraco en soie), ajoutez une couche intermédiaire isolante (pull en mérinos, cardigan fin) et terminez par une pièce protectrice (blazer, trench, veste en cuir).
L’angle mort de la botte d’automne : la semelle. On se concentre sur le cuir, mais une semelle fine vous laissera les pieds froids et glissants à la première averse. Pour un usage quotidien, privilégiez des bottines avec une semelle en gomme ou un patin ajouté par votre cordonnier. C’est le détail qui change tout en termes de confort et de durabilité.
Le velours côtelé, ou
La chemise blanche n’est pas réservée à l’été. En automne, elle devient une toile de fond lumineuse pour vos mailles sombres.
Choisissez-la dans une popeline de coton dense pour plus de structure sous un pull.
Un modèle avec un col travaillé (Claudine, victorien) se suffit à lui-même.
Portée ouverte sur un col roulé noir fin, elle crée un layering graphique et chic.
Ne sous-estimez jamais le pouvoir d’une écharpe. Au-delà de sa fonction première, c’est l’accessoire qui signe une tenue. Un grand chèche en laine mélangée pour un effet bohème, une fine écharpe en soie pour une note précieuse, ou un classique tartan écossais pour une touche de tradition. C’est la finition la plus simple et la plus efficace de la saison.
Le cachemire est-il vraiment si fragile ?
Moins qu’on ne le pense, s’il est bien traité. Oubliez le nettoyage à sec systématique qui abîme la fibre. Un lavage à la main, à l’eau froide, avec une lessive spéciale laine (comme celle de The Laundress) lui redonnera tout son gonflant. Le séchage doit se faire à plat, sur une serviette, loin de toute source de chaleur. Un pull en cachemire bien entretenu devient plus doux avec le temps.
Base (60%) : Deux à trois neutres forts. Pensez Marine, Camel, Gris chiné, Noir, Crème.
Secondaires (30%) : Une ou deux couleurs de saison qui vous vont au teint. Bordeaux, Vert forêt, Rouille.
Accents (10%) : Une touche vive pour les accessoires. Fuchsia, Bleu électrique, Safran.
Cuir lisse : Brillant ou satiné, il est élégant et facile d’entretien. Parfait pour des bottines de ville ou un sac structuré. Il se patine joliment avec le temps.
Cuir suédé (ou velours) : Mat et texturé, il offre un look plus doux et décontracté. Idéal pour des boots d’inspiration 70s ou une veste. Attention, il est plus sensible à l’eau.
Pour un premier achat polyvalent, le cuir lisse est souvent le plus judicieux.
Le bon calcul : Un manteau de qualité d’une marque comme Max Mara ou Harris Wilson peut sembler cher. Mais porté 100 jours par an pendant 5 ans, son coût par port devient dérisoire comparé à celui de trois manteaux en polyester qui ne tiendront qu’une saison et finiront en décharge.
Le pull oversize est un cocon de confort, à condition de bien l’équilibrer pour ne pas tasser la silhouette.
Associez-le toujours à une pièce ajustée en bas : un jean slim, une jupe crayon en cuir ou un legging.
Rentrez négligemment l’avant du pull dans la ceinture de votre pantalon pour marquer la taille et éviter l’effet
La bottine est la chaussure reine de l’automne. Le choix de la hauteur du talon et de la forme du bout transforme la silhouette. Un bout pointu allonge la jambe, idéal avec un pantalon 7/8ème. Un talon bloc carré offre stabilité et une allure plus casual, parfait avec un jean. Pensez au modèle Dicker de Isabel Marant, un classique qui incarne cet esprit western-chic décontracté.
Structure une robe-pull un peu lâche.
Modernise un blazer classique.
Cintre un manteau ou un cardigan ouvert.
L’astuce ? La ceinture. Fine en cuir tressé pour un esprit folk, ou plus large avec une boucle graphique pour une touche contemporaine, c’est l’accessoire qui redéfinit une silhouette et donne une nouvelle vie à vos pièces maîtresses.
La veste Barbour originale, en coton ciré, a été conçue en 1894 pour protéger les marins de la Mer du Nord.
C’est plus qu’une veste, c’est un héritage. Son coton ciré la rend imperméable et coupe-vent, et elle se patine de manière unique avec le temps. Loin d’être réservée à la campagne anglaise, elle apporte une touche d’authenticité et de décontraction à un look urbain, portée sur un simple jean et un pull en maille.
Ajoutez un col roulé fin en mérinos en dessous.
Superposez un gros cardigan en maille par-dessus.
Troquez les sandales pour des bottes hautes en cuir.
Ceinturez l’ensemble pour redéfinir la taille et apporter de la structure.
Quel jean privilégier pour l’automne ?
Si le jean clair est parfait pour le début de saison, le denim brut ou noir est un allié de choix quand le temps se rafraîchit. Sa teinte foncée s’accorde mieux avec les couleurs profondes de l’automne (bordeaux, vert forêt) et les matières nobles comme le tweed ou le velours. Un modèle droit taille haute, comme le 501 de Levi’s ou un jean de chez A.P.C., est une base impeccable.
Pensez à vos mains. Une paire de gants en cuir fin, de couleur camel ou bordeaux, n’est pas qu’une protection contre le froid. C’est une touche de raffinement ultime qui finit une silhouette avec soin et démontre une attention aux détails.
Chaussettes en coton : Absorbent la transpiration mais sèchent lentement, laissant une sensation de froid humide. À réserver pour les journées douces.
Chaussettes en laine (Mérinos) : Absorbent l’humidité tout en restant isolantes. Elles gardent vos pieds au chaud et au sec, même dans des bottes. Un must-have absolu.
Des marques comme Falke ou Doré Doré proposent des mélanges laine/soie d’un confort incomparable.
Attention aux finitions : La qualité d’un vêtement se voit dans les détails. Des coutures régulières et serrées, des boutons en corne ou en nacre plutôt qu’en plastique, une doublure bien posée dans une veste. Prenez le temps d’observer ces éléments avant d’acheter ; ils sont le vrai gage de la durabilité d’une pièce.
La jupe plissée, surtout dans une version midi, est une pièce étonnamment polyvalente pour l’automne.
Portez-la avec des baskets blanches et un sweat pour un look décontracté-chic.
Associez-la à des bottes hautes et un pull en maille fine pour une allure plus habillée.
Les matières comme le simili-cuir ou le satin lourd lui donnent une belle tenue face au vent automnal.
Styliste Beauté & Adepte du Bien-être Naturel Ses expertises : Coiffure créative, Soins naturels, Équilibre intérieur
Sandrine a commencé sa carrière dans les salons parisiens avant de s'orienter vers une approche plus naturelle de la beauté. Convaincue que le bien-être intérieur se reflète à l'extérieur, elle explore constamment de nouvelles techniques douces. Ses années d'expérience lui ont appris que chaque personne est unique et mérite des conseils personnalisés. Grande amatrice de yoga et de méditation, elle intègre ces pratiques dans sa vision holistique de la beauté. Son mantra : prendre soin de soi devrait être un plaisir, jamais une corvée.