Lissage Brésilien ou Japonais ? Le Guide Honnête Pour Ne Pas Ruiner Vos Cheveux
Des cheveux lisses, soyeux et disciplinés, ça vous tente ? Découvrez les secrets des lissages brésilien et japonais !

Avez-vous déjà ressenti cette envie irrésistible de toucher à ces cheveux lisses et brillants que l'on voit partout ? Je me souviens d'une époque où je passais des heures à essayer de dompter ma crinière indomptable. Entre le lissage brésilien et le traitement japonais, les choix sont vastes. Cet article va vous plonger dans l'univers fascinant de ces techniques de lissage, pour que vous puissiez enfin trouver celle qui vous conviendra le mieux.
Franchement, si je devais compter le nombre de fois où on m’a demandé la différence entre un lissage brésilien et un lissage japonais, j’aurais de quoi écrire un roman ! C’est LA grande question en salon. Tout le monde rêve de cheveux lisses, soyeux, et faciles à coiffer, mais la confusion entre ces deux techniques est totale. Et pourtant, elles n’ont absolument rien à voir.
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Alors, mettons les choses au clair. Mon but n’est pas de vous vendre une prestation, mais de vous donner les clés pour comprendre ce que vous vous apprêtez à faire subir (ou à offrir !) à vos cheveux. On va décortiquer ça ensemble, sans jargon commercial, juste avec la réalité du terrain. C’est exactement la conversation que j’ai avec mes clientes avant de sortir le moindre produit.
Petit cours de rattrapage sur le cheveu
Avant de transformer quoi que ce soit, il faut comprendre ce qu’on a entre les mains. Imaginez votre cheveu comme une cordelette ultra-perfectionnée. À l’intérieur, des chaînes de kératine sont liées par des « ponts » qui donnent au cheveu sa forme naturelle : raide, bouclée, crépue… C’est sa carte d’identité. À l’extérieur, des écailles le protègent, un peu comme les tuiles d’un toit. Si elles sont bien fermées, le cheveu est brillant. Si elles sont ouvertes, bonjour les frisottis et l’aspect terne.

Voilà la différence fondamentale : le lissage japonais vient casser et reconstruire les ponts à l’intérieur du cheveu, alors que le brésilien vient gainer l’extérieur. L’un est une transformation radicale, l’autre un soin disciplinant. Vous voyez où je veux en venir ?
Le Lissage Japonais : la baguette magique (et irréversible)
Le lissage japonais, c’est l’option nucléaire. Son but est simple et sans concession : obtenir des cheveux raides comme des baguettes, de façon permanente. Attention, ce n’est pas un soin, mais bien une modification chimique profonde et irréversible de la structure de vos cheveux.
Comment ça se passe en salon ?
Prévoyez du temps, beaucoup de temps. Un bon lissage japonais, c’est entre 4 et 6 heures de travail méticuleux. Voici les étapes non négociables :
1. Le diagnostic (L’étape que les pros ne zappent JAMAIS) : Avant tout, on analyse le cheveu. Est-il coloré, décoloré, déjà traité ? Je me souviens d’une cliente aux cheveux magnifiques mais décolorés qui insistait. J’ai fait une mèche test sur une zone cachée. Au bout de quelques minutes, la mèche est devenue molle, élastique comme un chewing-gum. C’était un non catégorique. Refuser une prestation, c’est protéger la cliente d’une catastrophe. Un cheveu qui réagit comme ça aurait cassé net.

2. L’application du produit réducteur : Après un shampoing neutre, on applique un produit chimique (souvent à base d’acide thioglycolique, un cousin de celui des permanentes) qui sent assez fort. Il va ouvrir les ponts du cheveu pour lui faire perdre sa mémoire de forme. On laisse poser entre 20 et 60 minutes selon la résistance du cheveu.
3. Le lissage au fer : On rince, on sèche, puis vient le moment crucial. Mèche par mèche, on passe les plaques chauffantes (céramique de qualité obligatoire !) pour redonner au cheveu sa nouvelle forme : parfaitement raide. La température est réglée avec une précision d’orfèvre, généralement autour de 180°C pour les cheveux sensibilisés et jusqu’à 210°C pour les plus robustes.
4. La neutralisation : Pour finir, on applique un second produit qui va refermer et « souder » les ponts du cheveu dans leur nouvelle position droite. C’est ce qui verrouille le lissage et le rend permanent.

Pour qui est fait le lissage japonais ?
- Pour les cheveux naturels très bouclés ou frisés qui rêvent d’un résultat ultra-raide et définitif.
- Pour celles qui sont prêtes à un engagement sur le long terme (on ne revient pas en arrière !).
- Pour les cheveux en excellente santé, forts et résistants.
Qui doit absolument l’éviter ?
- Les cheveux méchés ou décolorés. Je le répète : le risque de casse est immense.
- Les personnes qui aiment changer de coiffure. Une fois le lissage fait, adieu les boucles, il faudra attendre que tout repousse.
- Les cheveux très fins, qui risquent de paraître plats et sans aucun volume.
- Le vrai problème, la repousse : Imaginez avoir 5 centimètres de racines naturelles toutes frisées qui poussent au-dessus de longueurs raides comme des spaghettis. C’est un vrai casse-tête à coiffer au quotidien !
Le Lissage Brésilien : le grand dompteur de frisottis
Ici, on change complètement de philosophie. Le lissage brésilien est un soin profond thermo-actif. On ne touche pas à la structure interne du cheveu. Le but est d’injecter de la kératine liquide dans la fibre pour combler les brèches, puis de sceller le tout avec la chaleur des plaques. Le résultat ? Un cheveu gainé, brillant, souple, sans frisottis et incroyablement plus facile à coiffer.

Le déroulé typique (2 à 4 heures)
1. Le grand nettoyage : On commence par deux shampoings clarifiants. Leur but est d’ouvrir les écailles du cheveu pour qu’il soit prêt à « boire » le soin.
2. L’application du soin : Sur cheveux essorés, on applique le produit à base de kératine mèche par mèche. On laisse poser une petite demi-heure, le temps que la magie opère.
3. Le séchage et le scellage : On sèche les cheveux à 100%, puis on passe les plaques (entre 190°C et 230°C). C’est la chaleur qui va activer le produit et fixer la kératine sur le cheveu. C’est à ce moment-là qu’une bonne ventilation du salon est primordiale pour évacuer les vapeurs.
Bon à savoir : La question du formol. Les anciens lissages brésiliens en contenaient beaucoup, mais aujourd’hui, la réglementation européenne est très stricte (moins de 0,2%). Les marques sérieuses utilisent des substituts qui, sous l’effet de la chaleur, aident à lisser le cheveu sans être dangereux. Un professionnel digne de ce nom travaille toujours dans un espace bien aéré et avec des produits conformes.

Le lissage brésilien, c’est pour moi si…
- J’ai les cheveux mousseux, indisciplinés, avec des frisottis qui me rendent folle.
- Mes cheveux sont colorés ou méchés et ont besoin d’un coup de boost.
- Je veux détendre mes boucles et gagner en souplesse, sans un effet « baguette ».
- Je veux diviser mon temps de brushing par deux (ou trois !).
Je risque d’être déçue si…
- Je m’attends à un résultat aussi raide que le lissage japonais. Le brésilien détend, il ne raidit pas à 100%.
- J’ai les cheveux très fins. Certaines formules peuvent alourdir, il faut choisir un soin adapté.
- Je pense ne plus avoir rien à faire. Un entretien est nécessaire pour le faire durer.
Le face-à-face : Japonais vs Brésilien en clair
Alors, pour résumer, comment choisir ? C’est simple. Si votre objectif est d’avoir des cheveux parfaitement et définitivement raides, et que vos cheveux sont naturels et robustes, le japonais est une option. C’est une transformation radicale, avec une démarcation très nette à la repousse qui demande des retouches en racines tous les 6 à 8 mois.

En revanche, si vous cherchez surtout à maîtriser le volume, éliminer les frisottis et vous faciliter la vie, tout en gardant de la souplesse et du mouvement, c’est le brésilien qu’il vous faut. Il est compatible avec presque tous les types de cheveux, même colorés. C’est un soin qui s’estompe progressivement en 2 à 5 mois, sans effet racine disgracieux. Il faut simplement le refaire entièrement quand l’effet s’en va.
Protéger son investissement : l’entretien, c’est la clé !
Un lissage, c’est un budget (comptez entre 200€ et 600€ pour un brésilien, et 350€ à plus de 800€ pour un japonais de qualité). Pour ne pas jeter cet argent par les fenêtres, l’entretien à la maison compte pour 50% du résultat.
La règle d’or des 3 premiers jours (surtout pour le brésilien) : C’est LE truc à ne pas rater ! Pendant 72h après le lissage, il est interdit de : se laver les cheveux, les attacher (pas d’élastique, pas de pinces !), ou de les mettre derrière les oreilles. Le cheveu est en train de « figer » sa nouvelle forme, le moindre pli pourrait devenir permanent.

Pour faire durer un lissage brésilien, l’ennemi numéro un est le sulfate. Utilisez impérativement un shampoing sans sulfates (SLS). Vous en trouverez à tous les prix : des gammes comme Kérastase Discipline (autour de 25€ en salon) ou des options très efficaces en grande surface comme L’Oréal EverLiss (environ 8€). Et pensez aux masques enrichis en kératine pour recharger la fibre.
Pour un lissage japonais, la priorité est l’hydratation. Les longueurs traitées peuvent devenir sèches. Abusez des masques nourrissants et des huiles capillaires pour garder de la souplesse.
Les pièges à éviter et les alternatives
Les kits à domicile : Vous verrez des kits de lissage à 50€ sur internet. Un conseil : fuyez. Outre le fait que les produits sont souvent de qualité médiocre (et parfois non conformes aux normes européennes), rien ne remplace le diagnostic d’un professionnel. Appliquer le mauvais produit sur des cheveux inadaptés, c’est le meilleur moyen de finir avec les cheveux brûlés.

Les autres options : Vous entendrez aussi parler de taninoplastie ou de botox capillaire. La taninoplastie est une vraie alternative de lissage, à base de polyphénols végétaux, souvent perçue comme plus « naturelle », mais qui peut rendre le cheveu un peu plus sec que le brésilien. Le botox, lui, n’est pas un lissage. C’est un soin réparateur intense qui va gainer le cheveu et détendre très légèrement la boucle, idéal pour redonner vie à une chevelure fatiguée.
Avant de prendre rendez-vous, posez-vous 3 questions :
- Quelle est la VRAIE nature de mes cheveux (pas celle que je rêve d’avoir) ?
- Suis-je prête à changer ma routine de soins et à acheter les produits adaptés ?
- Mon budget me permet-il d’entretenir mon lissage (retouches ou renouvellement) ?
Au final, le plus important, ce n’est pas le nom de la technique, mais la compétence du coiffeur. Un bon professionnel prendra le temps de discuter, d’analyser, de faire une mèche test et même de vous dire non si c’est risqué. Un lissage réussi doit vous sublimer et vous simplifier la vie, pas vous la compliquer. C’est aussi simple que ça.

Galerie d’inspiration



Le test de mèche : l’assurance-vie de vos cheveux. Avant de vous lancer, un coiffeur sérieux doit TOUJOURS proposer un test sur une mèche non visible. Cela permet de vérifier comment vos cheveux réagissent au produit, surtout s’ils sont colorés ou sensibilisés. C’est l’étape qui prévient les catastrophes et garantit un résultat optimal. Si on ne vous le propose pas, fuyez !


- Une brillance miroir instantanée.
- Une discipline qui dompte les frisottis, même par temps humide.
- Un temps de coiffage matinal divisé par deux (ou trois !).
Le secret ? La fine couche de kératine qui gaine et lisse la cuticule du cheveu, agissant comme un imperméable protecteur.



Plus de 90% des femmes considèrent que des cheveux soignés sont un atout majeur de confiance en soi.
Un lissage réussi n’est pas qu’une question d’esthétique. C’est le plaisir de ne plus se battre avec sa brosse, la sérénité de sortir sous la pluie sans craindre les frisottis, et la sensation de cheveux sains et fluides au quotidien. Un vrai booster de moral.


Puis-je encore boucler mes cheveux après un lissage ?
Oui, mais avec une nuance. Après un lissage brésilien, vos cheveux retrouveront leur souplesse. Vous pourrez créer des ondulations au fer qui tiendront bien. En revanche, après un lissage japonais, la structure est si radicalement modifiée que les boucles auront beaucoup de mal à se former et à tenir. Le cheveu est figé dans sa raideur.



Le dilemme de la coloration : Jamais de lissage japonais sur des cheveux fraîchement décolorés ! La combinaison des deux processus chimiques est la recette parfaite pour des cheveux « chewing-gum ». Pour un lissage brésilien, il est conseillé de faire sa couleur (sans décoloration) environ deux semaines AVANT le lissage pour que la kératine scelle les pigments, ou deux semaines APRÈS pour ne pas altérer le soin.


Pour préserver votre investissement, le choix du shampooing est crucial. Voici les trois commandements de l’après-lissage :
- Sans sulfates (SLS/SLES) : Ces détergents puissants décapent la kératine et annulent les effets du lissage brésilien. Cherchez des alternatives douces.
- Sans chlorure de sodium : Le sel est l’ennemi juré de la kératine. À bannir absolument.
- Avec un pH adapté : Un pH acide (autour de 4.5 – 5.5) aide à garder les écailles du cheveu bien fermées, prolongeant la brillance.



Le système de lissage japonais original, le « Yuko System », a été breveté en 1995 par la coiffeuse Yuko Yamashita. Son objectif était de libérer les femmes des contraintes du coiffage quotidien.


Option A : Lissage à la Kératine. Un soin profond qui enrobe le cheveu pour le discipliner et réduire les frisottis. L’effet s’estompe progressivement en 3 à 5 mois. Idéal pour garder un peu de volume et de souplesse.
Option B : Soin Botox Capillaire. Ce n’est pas un lissage, mais un soin rajeunissant à base de kératine et d’acide hyaluronique. Il répare, hydrate et donne du galbe, avec un léger effet disciplinant qui dure environ 8 semaines.
Le Botox est parfait si vous cherchez avant tout la réparation, le Brésilien si votre priorité est de dompter vos cheveux.


L’effet « racines » est le principal inconvénient du lissage japonais. Au bout de 4 à 6 mois, vos cheveux naturels (bouclés, frisés) repoussent, créant une démarcation nette avec les longueurs, qui restent, elles, ultra-raides. La gestion de cette phase de transition demande de la patience et souvent l’usage de plaques lissantes sur les racines en attendant la retouche.



Alerte Formol : Si un lissage brésilien pique les yeux et la gorge pendant l’application, méfiance. Cela signale souvent la présence de formaldéhyde (ou formol) à un taux non réglementaire. Les formules modernes utilisent des dérivés plus sûrs comme l’acide glyoxylique. Exigez la transparence sur la composition des produits utilisés par votre salon.


Le lissage tanin, une meilleure alternative ?
Aussi appelé taninoplastie, c’est une technique plus récente qui utilise les tanins (polyphénols d’origine végétale) pour lisser le cheveu. Considéré comme plus « organique », il agit en créant un réseau protecteur autour de la fibre capillaire. Le résultat est plus naturel et modulable qu’un lissage japonais, mais souvent moins intense qu’un brésilien classique. Une excellente option pour celles qui cherchent une solution plus douce.



- Avant : Préparez vos cheveux. Une semaine avant, faites un shampooing clarifiant pour éliminer tous les résidus de produits.
- Après : Respectez la règle d’or. Ne pas attacher, mouiller ou mettre ses cheveux derrière les oreilles pendant 48 à 72 heures pour laisser la kératine se fixer correctement.


L’été peut être redoutable pour votre lissage. Le chlore des piscines et le sel de mer ont le même effet que les sulfates : ils décapent la gaine de kératine. La solution ? Avant chaque baignade, rincez vos cheveux à l’eau claire et appliquez une huile protectrice (comme celle de Nuxe ou Kérastase) pour créer une barrière.



Saviez-vous qu’un cheveu en bonne santé peut s’étirer jusqu’à 30% de sa longueur avant de casser ? Un lissage chimique mal réalisé (surtout le japonais sur cheveux abîmés) détruit cette élasticité, rendant le cheveu cassant comme du verre.


Le budget caché : Le coût initial d’un lissage est une chose, mais l’entretien en est une autre. Pensez à inclure dans votre budget le coût des produits spécifiques (shampooing et masque sans sulfates, comme ceux de la gamme L’Oréal Professionnel Metal Detox ou Redken Acidic Bonding Concentrate) qui sont indispensables et plus chers que les produits de supermarché.



At-home kits (type Kativa) : Une solution économique pour un effet disciplinant léger. Attendez-vous à une réduction des frisottis pendant 3-4 semaines, mais pas au résultat lisse et durable d’un salon.
Traitement en salon : Un investissement pour un résultat impeccable, durable (3-5 mois) et réalisé avec des produits professionnels plus concentrés et une technique maîtrisée.
Les kits maison sont un bon test, mais ne rivalisent pas avec l’expertise et la puissance d’une prestation professionnelle.


Le phénomène « Glass Hair », popularisé par des icônes comme Kim Kardashian, désigne cette chevelure si lisse et brillante qu’elle reflète la lumière comme du verre. Si un brushing parfait et un sérum de brillance (tel que le Color Wow Dream Coat) sont la base, un lissage brésilien bien exécuté est souvent le secret de fond pour obtenir cette surface parfaitement polie sans effort.


- Une chevelure qui reste impeccable même après une averse.
- Des pointes qui ne fourchent plus aussi vite car elles sont protégées.
Le point commun ? L’utilisation d’un soin thermo-protecteur de qualité, comme le Ciment Thermique de Kérastase, avant chaque séchage ou lissage pour préserver l’intégrité du traitement.



Mes cheveux regraissent plus vite, est-ce normal ?
Oui, c’est un effet secondaire courant, surtout après un lissage brésilien. Les cheveux étant plus plats et lisses, le sébum produit au niveau du cuir chevelu se répartit plus facilement et plus visiblement le long de la fibre. L’utilisation d’un shampooing sec de qualité, comme celui de Batiste ou Klorane, entre les lavages peut devenir votre meilleur allié.


Au-delà de l’aspect visuel, c’est la sensation au toucher qui change tout. Passer les doigts dans des cheveux qui ne s’accrochent plus, sentir leur fluidité sur les épaules, se réveiller le matin sans « nid d’oiseau » sur la tête… C’est une expérience sensorielle qui transforme radicalement le rapport que l’on entretient avec sa chevelure.



Selon une étude du secteur cosmétique, le marché mondial des produits de lissage et de défrisage devrait atteindre plus de 1,3 milliard de dollars d’ici 2027.
Cette croissance fulgurante pousse les laboratoires à innover constamment. Le résultat pour vous ? Des formules de plus en plus sophistiquées, plus respectueuses du cheveu (comme les lissages au tanin ou à l’acide hyaluronique) et offrant des résultats toujours plus naturels et personnalisables.


Erreur fatale n°1 : Faire un lissage brésilien en pensant obtenir des cheveux raides comme des baguettes. Non ! Le brésilien discipline, détend la boucle et élimine les frisottis, mais ne modifie pas la structure du cheveu. Pour un effet « baguette magique », c’est vers le lissage japonais qu’il faut se tourner, en toute connaissance de son caractère permanent.



N’oubliez pas d’investir dans une bonne brosse. Après un lissage, les cheveux sont plus lisses mais peuvent s’emmêler. Une brosse en poils de sanglier permet de répartir le sébum naturel et de maximiser la brillance. Pour le démêlage sur cheveux humides, une Tangle Teezer reste imbattable pour ne pas agresser la fibre gainée par la kératine.


Vous aimez l’effet lisse mais n’êtes pas prête à vous engager ? Le Steampod de L’Oréal Professionnel est une alternative bluffante. Ce lisseur à vapeur coiffe tout en injectant un soin au cœur de la fibre. Le résultat est un lissage impeccable et une brillance spectaculaire qui tient jusqu’au prochain shampooing, sans l’engagement chimique d’un traitement permanent.

Le lissage japonais est un engagement à long terme. Comptez en moyenne 1 cm de repousse par mois. Si vos cheveux sont longs de 30 cm, il faudra plus de deux ans pour retrouver entièrement votre nature de cheveu, en coupant régulièrement les longueurs traitées. Une décision à ne pas prendre à la légère !