J’ai vu le style hippie chic apparaître, disparaître et revenir sur le devant de la scène un nombre incalculable de fois. Avec l’expérience, on apprend à repérer ce qui n’est pas juste une tendance, mais une véritable allure. Et franchement, celle-ci traverse les époques avec une aisance folle.
Pourtant, je vois tellement d’interprétations qui tombent à plat… On bascule vite dans le déguisement, une simple accumulation de franges et de motifs floraux. Mais le vrai style hippie chic, c’est bien plus subtil que ça. C’est un équilibre délicat entre une décontraction inspirée des mouvements de liberté et une élégance intemporelle. Tout se joue dans la qualité des tissus, la justesse des coupes et l’harmonie des superpositions.
L’idée n’est pas de copier une photo de festival, mais de s’approprier cet esprit de liberté dans sa façon de s’habiller. C’est un style qui respire le confort, la texture et l’histoire que chaque pièce peut raconter. Alors, je vais vous partager mes techniques et astuces, pour vous aider à construire une garde-robe hippie chic qui vous ressemble, qui soit juste et authentique.
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1. Les fondations : Tout commence par le tissu
C’est la base de tout. Une coupe toute simple dans une matière exceptionnelle aura toujours mille fois plus d’allure qu’un design compliqué dans un textile médiocre. Ce style met à l’honneur les matières naturelles, c’est comme un dialogue permanent avec la nature.
Les fibres végétales, la base confortable
Le coton : Oubliez le coton basique ! Cherchez des cotons qui ont du caractère. La gaze de coton, par exemple, est parfaite pour les blouses vaporeuses avec son aspect légèrement froissé. Le voile de coton, quasi transparent, apporte une sensualité discrète. Perso, j’ai un faible pour les cotons un peu texturés, avec un grain unique qui se bonifie avec le temps. C’est une matière vivante !
Le lin : Le tissu de l’été par excellence. Il respire et vous garde au frais. Oui, il se froisse, et alors ? C’est ce qui fait tout son charme. Un pantalon large en lin, c’est l’incarnation de l’élégance sans effort. Pour un tombé un peu plus lourd et moins froissable, cherchez des mélanges lin et viscose, c’est un bon compromis.
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Les textures riches pour la profondeur
Le daim (ou la suédine de qualité) : C’est une matière signature. Une veste à franges, un gilet… le daim absorbe la lumière et apporte une chaleur visuelle incroyable. Attention, c’est une matière qui demande un peu de soin. Un bon daim doit être souple et doux. Petit conseil de pro : quand vous achetez une pièce en daim, vérifiez toujours l’envers de la peau. Il doit être propre et bien fini, c’est un vrai signe de qualité.
Le velours : Le velours côtelé est idéal pour les pantalons flare, car il apporte de la structure. Pour un effet plus fluide, parfait pour une robe du soir ou un kimono, tournez-vous vers le velours de soie ou de viscose. Il capte la lumière d’une manière absolument magique.
Le cuir : On le veut souple, patiné, comme s’il avait déjà vécu mille vies. Une ceinture en cuir tressé, un sac besace qui a baroudé, des bottes qui ont des kilomètres au compteur… Le cuir neuf, trop rigide, casse complètement l’esprit décontracté qu’on recherche.
Les incontournables : Maille et denim
Le crochet et le macramé : Plus que des matières, ce sont des techniques artisanales. Un top en crochet fait main ou un sac en macramé, ça apporte immédiatement une touche authentique. Ces pièces ajourées suggèrent la peau sans la dévoiler, c’est tout l’art de la subtilité.
Le denim : Le jean, c’est le symbole de la contre-culture, un vêtement de travail devenu emblème de rébellion. Le jean flare (évasé) est la base. La coupe est capitale : il doit allonger la jambe et épouser les hanches sans compresser. Cherchez des toiles qui se délavent avec le temps ou des modèles déjà patinés.
2. Les pièces maîtresses et le kit de démarrage
Pas besoin d’une armoire qui déborde. Quelques pièces fortes et bien choisies suffisent amplement. On mise sur la qualité, pas la quantité.
La robe longue et fluide : C’est la pièce la plus emblématique. Elle doit bouger avec vous. Les coupes empire (resserrées sous la poitrine) sont souvent les plus flatteuses. Côté imprimés, on pense aux motifs cachemire (paisley), aux petites fleurs ou aux imprimés inspirés de l’artisanat indien.
La blouse paysanne : Souvent en voile de coton ou en gaze, elle se reconnaît à ses manches amples, ses broderies (ton sur ton ou colorées) et son col à nouer. C’est une pièce hyper facile à porter, sublime avec un simple jean.
Le pantalon flare : Il sculpte la silhouette ! Je conseille toujours de le prendre taille haute pour allonger la jambe. L’ourlet est CRUCIAL : il doit effleurer le sol quand vous portez vos chaussures. Trop court, et tout l’effet est gâché.
Le gilet sans manches : C’est la pièce de superposition parfaite. En peau de mouton retournée pour l’hiver, brodé pour la touche ethnique, ou en crochet pour finir une tenue simple. Il structure une silhouette en un clin d’œil.
Bon à savoir : le kit de démarrage pour débutants Si vous partez de zéro, ne vous dispersez pas. Commencez par ces 3 pièces essentielles :
Une blouse en coton fluide : blanche ou écrue, avec quelques broderies discrètes. Facile à trouver et à associer.
Un pantalon flare en jean : c’est la base qui va structurer toutes vos tenues.
Une belle ceinture en cuir tressé : elle finira votre look et ajoutera cette touche artisanale indispensable.
Avec juste ça, vous avez déjà une base solide pour commencer à expérimenter.
3. L’art d’assembler : les techniques de styliste
Avoir les bonnes pièces, c’est bien. Savoir les assembler, c’est mieux. C’est là que toute la magie opère.
La superposition (ou layering) : La clé est de varier les longueurs et les matières pour ne pas tasser la silhouette. Par exemple, une robe longue et fluide sous un gilet court et texturé. Ou une blouse légère sous une veste en jean plus rigide. L’idée, c’est de créer du contraste. Exercice rapide : Prenez une de vos robes d’été simples. Maintenant, enfilez un gilet sans manches par-dessus. Vous voyez comme ça change tout ?
L’équilibre des volumes : C’est une règle d’or. Un pantalon très large ? On l’associe avec un haut plus près du corps (un t-shirt simple, un caraco…). Une blouse très volumineuse ? On la calme avec un jean plus ajusté. L’œil a besoin d’un point d’ancrage, sinon la silhouette se noie.
La patine, ce supplément d’âme : Un style hippie chic réussi n’a jamais l’air neuf. Il a l’air vécu. C’est pour ça que le vintage est une mine d’or. Un cuir un peu marqué, un jean délavé, un sac dont les anses sont polies par l’usage… Ces détails apportent une authenticité que le neuf ne peut pas imiter. N’ayez pas peur des petites imperfections !
4. Chiner malin : trouver les perles rares
Les friperies et les dépôts-ventes sont vos meilleurs amis. Mais il faut de la patience. Pour le neuf, certaines marques s’inspirent très bien de cet esprit (pensez Antik Batik, Free People ou même certaines pièces chez Sézane), mais le top du top, c’est de mixer.
Où et comment chercher ? Sur des plateformes comme Vinted ou Etsy, utilisez des mots-clés précis : « blouse roumaine », « gilet peau de mouton vintage », « jean flare 70s », « robe caftan coton ».
Quel budget prévoir ? Ça aide d’avoir une idée des prix. Comptez entre 20€ et 50€ pour un bon jean flare vintage, mais une veste en daim de qualité peut facilement dépasser les 150€. Une blouse brodée se trouve souvent autour de 25-40€.
Ma checklist pour reconnaître une bonne pièce vintage en 30 secondes :
Le toucher : Fuyez tout ce qui est rêche ou qui sent le synthétique bas de gamme. Cherchez la douceur du coton, la fluidité de la viscose…
Les coutures : Sont-elles solides ? Tirez légèrement dessus, surtout aux aisselles et à l’entrejambe, les points de tension.
L’étiquette (si elle existe) : Les mentions « Made in France » ou « Made in Italy » sont souvent un gage de qualité. Regardez aussi la composition pour des matières naturelles.
5. Les accessoires : la signature (sans en faire trop)
L’accessoire, c’est ce qui fait basculer une tenue. Mais attention au piège du « clinquant » ! La modération et la qualité sont de mise.
Les bijoux : On privilégie l’argent, le bronze, les pierres naturelles (turquoise, ambre…), le bois. Mieux vaut un seul beau bracelet en argent que dix bracelets en plastique qui dévalorisent la tenue. L’accumulation de plusieurs bracelets fins ou de bagues est possible, si les pièces sont de qualité.
Les sacs : On veut de la souplesse ! La besace en cuir vieilli, le sac seau, le cabas en paille, la pochette brodée… Le sac doit avoir l’air prêt pour l’aventure.
Les chaussures : Le confort avant tout. Sandales plates en cuir, sabots en bois, bottes en daim souple. Les talons compensés ou à plateforme sont une excellente option, bien plus authentiques que des talons aiguilles.
Pour la tête : Un foulard en soie noué dans les cheveux, un chapeau de feutre à larges bords… C’est la touche finale. (Par pitié, la couronne de fleurs, on la laisse aux festivals, et encore…).
6. Mises en garde et derniers conseils
L’entretien, c’est pas une option ! Le daim, par exemple, ne se lave pas à l’eau. Il faut l’imperméabiliser et le nettoyer avec des brosses spéciales. Les cotons et soies anciens se lavent à la main, à l’eau froide, et se sèchent à plat. J’ai vu trop de pièces magnifiques ruinées par un passage en machine !
Attention ! Un point sécurité important. Les vêtements très anciens, surtout ceux issus des décennies du milieu du XXe siècle, ne répondent pas aux normes de sécurité actuelles sur l’inflammabilité. Certains tissus synthétiques de l’époque peuvent prendre feu très vite. Soyez vraiment prudente près d’une flamme (bougie, barbecue, cheminée…).
Le piège ultime : le déguisement. C’est l’erreur numéro un. Pour l’éviter, appliquez la règle du « un seul élément fort ». Vous portez un pantalon à fleurs ultra voyant ? Calmez le jeu avec un simple t-shirt blanc. Vous sortez la veste à franges ? Oubliez le chapeau et les santiags en même temps. Ce style doit s’intégrer à votre vie, pas donner l’impression que vous allez à une soirée à thème.
Au fond, le style hippie chic, c’est bien plus qu’une mode. C’est une manière de s’habiller qui célèbre l’artisanat, l’individualité et un certain retour à l’essentiel. Ça demande un peu d’observation et de la personnalité. J’espère que ce guide vous donnera les clés pour vous l’approprier. Mais n’oubliez jamais que la plus belle pièce de votre tenue, c’est et ça restera toujours votre confiance en vous.
Galerie d’inspiration
L’art du style hippie chic réside souvent dans une seule pièce maîtresse. Investir dans un sac en cuir souple de qualité, comme le fameux modèle Farrow de Sézane ou un authentique sac seau vintage, ancre instantanément la silhouette. Il apporte la touche artisanale et durable qui distingue une allure réfléchie d’un simple assemblage de tendances.
La superposition de colliers fins : Mixez les longueurs et les textures. Une chaîne délicate, un pendentif en pierre naturelle et un sautoir plus long créent une cascade visuelle.
L’accumulation de bracelets : N’hésitez pas à marier des joncs en argent, des bracelets en perles de bois et un ou deux liens en tissu coloré.
Les bagues multiples : Portez plusieurs bagues fines sur différents doigts d’une même main, en variant les modèles. Une bague plus imposante en turquoise ou en ambre peut servir de point focal.
Le véritable esprit bohème ne se trouve pas dans les boutiques de fast fashion, mais dans la patine d’un jean parfaitement usé, la douceur d’un foulard en soie chiné et l’histoire que raconte un bijou de famille.
Comment porter la frange sans tomber dans le déguisement ?
Le secret est la modération. Oubliez le total look et intégrez la frange par touches subtiles. Un sac en daim comme le M de Maje, le bord d’un châle en cachemire ou le bas d’une veste en cuir suffisent. L’astuce est de l’associer à des pièces très modernes et épurées, comme un jean brut droit ou un t-shirt blanc impeccable, pour créer un contraste chic.
L’erreur à éviter : Confondre
Option A – La botte santiag : Iconique, elle apporte une touche folk, voire rock. Parfaite avec une robe vaporeuse pour casser le côté trop romantique. Privilégiez des marques comme Mexicana ou des modèles vintage pour l’authenticité.
Option B – La sandale plate en cuir : L’alliée de l’été. Simple, efficace et confortable, elle évoque les voyages. Les modèles de K.Jacques ou Rondini à Saint-Tropez sont des classiques indémodables.
Le choix dépend de l’attitude que vous souhaitez insuffler à votre tenue.
La palette de couleurs est votre toile de fond. Pensez aux teintes minérales et végétales qui évoquent un paysage naturel.
Les tons terreux : terracotta, ocre, rouille, brique.
Les neutres doux : écru, blanc cassé, sable, grège.
Les touches de vert : sauge, kaki, olive.
Le secret ? Une base neutre rehaussée par une seule touche de couleur vive, comme un bleu lapis-lazuli ou un corail.
Saviez-vous que le motif Paisley (ou cachemire), emblématique du style bohème, est originaire de Perse et d’Inde ? Il symbolisait à l’origine la vie et l’éternité, bien avant d’être adopté par la contre-culture des années 60.
Porter ce motif, ce n’est pas juste une question d’esthétique, c’est s’inscrire dans une histoire culturelle riche et fascinante. On le retrouve sublimé sur les étoles en laine d’Etro ou les blouses en soie d’Antik Batik.
Le jean est un pilier, mais pas n’importe lequel. Le modèle flare ou bootcut est la coupe de prédilection. Il allonge la silhouette et équilibre les volumes d’une blouse ample ou d’un gilet. Cherchez un délavage authentique, ni trop clair, ni trop sombre. Des marques comme Frame, Mother Denim ou même un bon vieux Levi’s 517 d’occasion feront parfaitement l’affaire.
Fluidité et légèreté
Une touche d’élégance instantanée
Parfait pour la superposition
La pièce magique ? Le kimono. Porté ouvert sur un simple débardeur et un jean, il transforme la tenue la plus basique en une déclaration de style sophistiquée.
La quête du vintage : Les meilleures pièces hippie chic sont souvent celles qui ont déjà vécu. Écumez les friperies et les plateformes comme Vinted ou Vestiaire Collective à la recherche de blouses en soie des années 70, de ceinturons en cuir patiné ou de véritables sacs en peau retournée. C’est le moyen le plus sûr d’obtenir un look unique et authentique.
Le crochet, trop artisanal ?
Pas s’il est utilisé avec modernité ! Oubliez le total look et privilégiez une seule pièce forte : un top en crochet porté sur un caraco couleur chair, un sac de plage ajouré ou des sandales rehaussées d’un détail crocheté. L’idée est de l’intégrer comme un accent précieux et non comme la base de la tenue.
La photo de Talitha Getty sur un toit de Marrakech en 1969 est devenue l’incarnation du style
Pensez aux textures. Le secret d’un look réussi est souvent le mélange harmonieux des matières.
La douceur du velours côtelé d’un pantalon.
La rugosité maîtrisée d’une veste en daim.
La légèreté aérienne d’une gaze de coton.
L’éclat discret d’un fil de lurex dans une maille.
Le détail qui change tout : La broderie. Qu’elle soit ton sur ton sur le col d’une blouse blanche, colorée sur le revers d’une veste en jean ou délicate sur un sac en toile, la broderie apporte une âme et une préciosité artisanale. Elle raconte une histoire et personnalise instantanément le vêtement le plus simple.
Le gilet sans manches : C’est la pièce de superposition par excellence pour structurer une silhouette fluide.
Version folk : Un gilet en peau retournée, façon berger, apporte de la chaleur et une touche authentique.
Version rock : Un modèle en jean brut ou noir, potentiellement customisé, durcit une robe à fleurs.
Version précieuse : Un gilet long et brodé, inspiration indienne, se porte comme un bijou par-dessus un ensemble sobre.
N’oubliez pas les chapeaux. Un Fédora en feutre à large bord, comme ceux de la marque Brixton, apporte une touche de mystère et finit la silhouette en hiver. En été, une capeline en paille ou un simple canotier protègent du soleil avec une élégance folle, évoquant les icônes des années 70 sur la Côte d’Azur.
Une allure structurée mais décontractée
La parfaite alternative au blazer
Une touche d’aventure immédiate
La clé de ce look ? La saharienne. Réinterprétée par Yves Saint Laurent, cette veste fonctionnelle devient un symbole de féminité libre et baroudeuse. Choisissez-la en coton ou en lin, de couleur neutre (sable, kaki).
Selon une étude de 2023, le marché mondial de la mode d’occasion devrait croître trois fois plus vite que le marché global de l’habillement.
Cette tendance est une aubaine pour les amatrices du style hippie chic. Chiner, c’est non seulement un acte écologique et économique, mais c’est surtout le meilleur moyen de dénicher des pièces uniques avec une vraie patine, loin des productions de masse.
Quel parfum pour accompagner ce style ?
L’ambiance olfactive est la touche finale. Évitez les fragrances trop synthétiques. Orientez-vous vers des sillages boisés, ambrés ou épicés. Les notes de patchouli (dans une version moderne et épurée comme celle de Reminiscence), de santal, d’encens ou de fleur d’oranger évoquent le voyage et la spiritualité.
Focus sur la maille : En hiver, le style bohème ne s’éteint pas. Il se réchauffe. Pensez à de gros cardigans douillets en laine ou alpaga, portés ceinturés sur une robe longue. Les ponchos et les capes sont aussi des alliés de choix pour un look confortable et spectaculaire. Privilégiez les mailles ajourées ou à grosses torsades pour la texture.
L’importance d’une coupe de cheveux moderne ne doit pas être sous-estimée. Un cheveu long et wavy est un classique, mais un carré flou, une frange rideau bien coupée ou même une coupe courte peuvent apporter le contraste contemporain nécessaire pour éviter que le look ne paraisse daté. C’est cet équilibre qui crée le vrai
Pour une soirée, la robe longue en soie ou en viscose imprimée est une option parfaite. Son secret ?
Un tombé fluide qui accompagne le mouvement.
Un décolleté qui met en valeur sans trop en dévoiler.
Un imprimé fort (floral nocturne, cachemire sombre) qui se suffit à lui-même.
Avec de simples sandales dorées et quelques bijoux, l’élégance est assurée.
Isabel Marant, souvent citée comme la reine du style bohème-rock parisien, a dit :
La ceinture, un accessoire structurant. Elle est fondamentale pour définir la taille sur une robe ample, une tunique ou un cardigan long. Optez pour un modèle en cuir tressé, un ceinturon à boucle ciselée d’inspiration western ou même un simple foulard noué. Elle apporte la structure nécessaire pour que la silhouette ne soit pas noyée dans le volume.
Designer d'Intérieur & Consultante en Art de Vivre Domaines de prédilection : Aménagement intérieur, Éco-conception, Tendances mode
Après des années passées à transformer des espaces de vie, Laurine a développé une approche unique qui marie esthétique et fonctionnalité. Elle puise son inspiration dans ses voyages à travers l'Europe, où elle découvre sans cesse de nouvelles tendances et techniques. Passionnée par les matériaux durables, elle teste personnellement chaque solution qu'elle recommande. Entre deux projets de rénovation, vous la trouverez probablement en train de chiner dans les brocantes ou d'expérimenter de nouvelles palettes de couleurs dans son atelier parisien.