Comment choisir une chaise qui dure (vraiment) : Le guide d’un pro pour ne plus se tromper
Découvrez comment la chaise Calligaris allie praticité et élégance pour transformer votre espace en un lieu accueillant et stylé.

Je me souviens de ma première rencontre avec une chaise Calligaris, son design épuré m'a immédiatement charmée. Ces créations, avec leurs lignes modernes et leur transparence, apportent une touche de sophistication à n'importe quel intérieur. Les chaises comme l'Alchemia ou la Parisienne ne sont pas seulement fonctionnelles, elles racontent une histoire de style et de confort.
Je baigne dans le monde du meuble depuis un bon bout de temps. J’ai commencé les mains dans la sciure, dans un petit atelier, et aujourd’hui, j’aide les gens à créer des intérieurs qui leur ressemblent. Et s’il y a bien un meuble qui me passionne, c’est la chaise. Franchement, beaucoup la voient comme un simple objet, mais pour moi, c’est la pièce la plus technique de la maison. Elle doit nous porter, bouger avec nous, et résister à tout, tous les jours. C’est un vrai investissement, pensé pour durer au moins dix ans.
Contenu de la page
- 1. Au-delà du look : Comprendre ce qui fait une bonne chaise
- 2. L’anatomie d’une chaise de qualité : Ce que je regarde à la loupe
- 3. Le revêtement : Le choix qui affronte le quotidien
- 4. Le crash test en magasin : Mon protocole en 5 étapes
- 5. Une chaise pour chaque usage : Adaptez votre choix
- 6. Les détails qui font TOUTE la différence
- Galerie d’inspiration
Alors, quand on décide de s’offrir de belles chaises, notamment auprès de grandes marques italiennes réputées pour leur design, on ne veut pas se planter. On parle souvent d’un budget qui peut aller de 150 € pour un bon modèle en polymère à plus de 500 € pour une pièce en cuir. Ça mérite réflexion, non ?

J’ai vu tellement de modèles, je sais comment ils vieillissent et où se cachent les défauts. Je vais vous partager ma méthode, celle que j’utilise pour mes clients. Pas de jargon, juste du concret pour que vous fassiez le bon choix.
1. Au-delà du look : Comprendre ce qui fait une bonne chaise
Avant de flasher sur une forme ou une couleur, il faut comprendre la philosophie derrière une chaise de qualité. Les meilleurs fabricants, notamment en Italie où il y a une culture incroyable du siège, ne font pas que du beau. Ils recherchent ce qu’on pourrait appeler un « design intelligent ».
L’idée ? Trouver l’équilibre parfait entre l’esthétique, la fonction et une fabrication maîtrisée. Une chaise doit être belle, oui, mais surtout confortable, pratique et construite avec les bons matériaux pour traverser le temps. Mon boulot, c’est de vérifier si cette promesse est tenue.
Le confort, ce n’est pas juste une impression
Le confort, c’est de la physique ! Une bonne chaise respecte les courbes de votre corps. Le dossier doit offrir un bon soutien lombaire, avec un angle léger (autour de 100-105 degrés par rapport à l’assise), idéal pour se détendre après le repas. La profondeur de l’assise est tout aussi cruciale : vos genoux doivent pouvoir se plier naturellement, sans que le bord de la chaise ne vous coupe la circulation sous les cuisses. (Croyez-moi, c’est un détail qui change tout lors des longs dîners !)

2. L’anatomie d’une chaise de qualité : Ce que je regarde à la loupe
Quand j’examine une chaise, je la décompose. Le piètement, puis la coque (assise et dossier). C’est dans ces détails que la qualité se révèle.
Le piètement : les fondations de votre confort
C’est lui qui garantit 80% de la solidité. Qu’il soit en bois ou en métal, voici mes points de contrôle.
- Pour le bois (souvent du hêtre ou du frêne) : Je retourne la chaise. C’est un réflexe. Je cherche des assemblages solides, comme des tenons et mortaises, qui sont des liaisons mécaniques ultra-fiables. Si je ne vois que des vis, méfiance… Une chaise simplement vissée finira inévitablement par grincer et prendre du jeu. Un de mes clients a dû resserrer ses chaises bas de gamme tous les trois mois. L’enfer. Je vérifie aussi le vernis : il doit être doux et uniforme partout, même en dessous.
- Pour le métal : La finesse, c’est bien, la solidité, c’est mieux. Je regarde l’épaisseur et la section du tube d’acier. Trop fin, il pourrait se tordre. Ensuite, les soudures : elles doivent être propres, régulières et bien poncées. Une soudure grossière, c’est souvent le signe d’un travail bâclé sur tout le reste. La finition la plus durable ? La peinture époxy, cuite au four. Elle résiste super bien aux chocs.

L’assise et le dossier : votre point de contact
C’est là que le confort se joue. La coque peut être en plastique, en bois, ou rembourrée.
- Les polymères (plastiques) : N’ayez pas peur du mot ! Le Polypropylène (PP) est le héros du quotidien. Souple, solide, teinté dans la masse (donc les rayures se voient moins) et ultra facile à nettoyer. C’est ce que je conseille toujours aux familles avec enfants. Le Polycarbonate (PC), lui, c’est le roi de la transparence. C’est magnifique, mais attention : il se raye très, très facilement. À réserver pour une salle à manger peu utilisée, sinon la déception est garantie.
- Les coques rembourrées : Le secret, c’est la mousse ! Demandez la densité, mesurée en kg/m³. En dessous de 30-35 kg/m³ pour une assise, fuyez ! La mousse va se tasser en moins d’un an et vous sentirez la structure en dessous. Visez une mousse haute résilience, autour de 40 kg/m³, pour un confort qui dure. C’est une info technique que le vendeur doit pouvoir vous donner.

Petit tableau récapitulatif des matériaux
Pour vous aider à visualiser, voici un petit comparatif rapide :
Matériau | Durabilité | Entretien | Budget Indicatif |
---|---|---|---|
Bois Massif | Excellente (si bien assemblé) | Facile, mais craint les gros chocs | 200€ – 500€+ |
Métal (Acier) | Maximale | Très facile (éponge humide) | 180€ – 450€+ |
Polypropylène (PP) | Très bonne, un peu souple | Le plus facile (tout terrain) | 80€ – 250€ |
3. Le revêtement : Le choix qui affronte le quotidien
Le revêtement, c’est la première ligne de défense contre les accidents de la vie. Son choix est donc purement stratégique.

- Les tissus : Un beau tissu, c’est bien. Un tissu performant, c’est mieux. Pour une salle à manger, exigez un traitement anti-taches. Ça change la vie. Une tache de vin perle dessus et s’éponge, au lieu de s’incruster. Pensez aussi à la résistance à l’abrasion, mesurée par le test Martindale. Pour un usage quotidien, ne descendez pas sous les 20 000 tours. Cette info se trouve sur la fiche technique du produit, en ligne ou en magasin. Demandez-la !
- Le cuir et les similis : Le cuir véritable, c’est noble et ça vieillit superbement, mais ça demande de l’entretien (une crème nourrissante une fois par an) et ça craint le soleil direct. Les similis de bonne qualité sont un excellent compromis, surtout pour les familles. Ils se nettoient d’un coup d’éponge. Les modèles d’entrée de gamme peuvent craqueler ou être désagréables en été, mais les grandes marques utilisent des synthétiques respirants et très résistants.

4. Le crash test en magasin : Mon protocole en 5 étapes
Une fois en magasin, ne vous contentez pas de regarder. Testez !
- Étape 0 : La photo ! Avant tout, prenez en photo l’étiquette et la chaise. Ça vous permettra de retrouver le modèle et de vérifier les specs tranquillement chez vous.
- Le test de stabilité : Asseyez-vous. Bougez un peu, penchez-vous. La chaise doit rester campée sur ses quatre pieds, sans grincer ni tanguer.
- L’inspection des dessous : Osez vous baisser et regarder sous l’assise. Les finitions sont-elles propres ? Le bois est-il bien poncé ? Les agrafes du tissu sont-elles régulières ? C’est un révélateur infaillible du soin général apporté à la fabrication.
- Le test du confort longue durée : Restez assis au moins 5 minutes. Pas 30 secondes. C’est le minimum pour sentir si un point dur apparaît sous vos cuisses ou si le dossier vous soutient vraiment.
- Le test du poids : Soulevez la chaise. Son poids doit être cohérent. Une chaise qui semble robuste mais qui est légère comme une plume, c’est suspect. À l’inverse, trop lourde, elle sera pénible à déplacer tous les jours.

5. Une chaise pour chaque usage : Adaptez votre choix
Une erreur classique : choisir une chaise juste pour son look sans penser à sa fonction.
- Pour la salle à manger : Priorité au confort ! Visez une assise rembourrée et un dossier qui soutient bien. Petit conseil : laissez environ 30 cm entre l’assise de la chaise et le dessous de votre table pour être à l’aise.
- Pour la cuisine : Il faut du solide, du lavable et du pratique. Le polypropylène est le matériau roi. Les chaises empilables sont aussi un super atout pour gagner de la place.
- Pour le bureau à la maison : On est de plus en plus nombreux à utiliser une chaise de salle à manger pour télétravailler. Pour quelques heures, ça passe, si vous choisissez un modèle confortable avec un dossier un peu enveloppant. Mais attention ! Aucune chaise de salle à manger ne remplacera un vrai siège de bureau ergonomique pour 8h de travail. C’est une question de santé pour votre dos.

6. Les détails qui font TOUTE la différence
Pour finir, quelques points essentiels pour un achat serein.
- Les labels de qualité : Certaines chaises sont testées par des laboratoires indépendants qui simulent des années d’utilisation intensive. Un label de ce type (cherchez les certifications européennes de résistance sur la fiche produit) est la meilleure garantie contre les mauvaises surprises.
- Les patins de protection : Ce n’est PAS un détail. Vérifiez que les pieds ont des patins adaptés à votre sol (feutre pour le parquet, plastique pour le carrelage). J’ai vu un parquet neuf ruiné en une semaine à cause de ça… une erreur qui coûte cher !
- Où acheter ? Privilégiez les revendeurs agréés ou les sites officiels des marques. Ils vous garantiront un produit authentique et un bon service après-vente. On trouve aussi de très bons conseils dans les grands magasins de mobilier spécialisés.
Voilà, vous avez toutes les cartes en main. Choisir une chaise, c’est un peu comme choisir de bonnes chaussures : le style compte, mais c’est le confort et la qualité qui vous feront les aimer jour après jour. Prenez le temps, analysez, testez, et vous ferez un investissement dont vous profiterez pendant des années.

Galerie d’inspiration


Peut-on vraiment tester une chaise en magasin ?
Absolument, et c’est essentiel. Ne vous contentez pas de vous asseoir droit pendant dix secondes. Penchez-vous en avant, comme pour discuter avec le convive d’en face. Calez-vous en arrière, comme après un bon repas. Essayez de croiser les jambes. Une bonne chaise accompagne vos mouvements sans jamais créer de point de pression désagréable, notamment à l’arrière des genoux ou au niveau des omoplates.


Le saviez-vous ? La plupart des chaises de qualité, comme celles de marques reconnues telles que Vitra ou Carl Hansen & Søn, subissent des tests de résistance simulant 10 à 15 ans d’utilisation. Le poids est appliqué des milliers de fois sur l’assise et le dossier pour garantir qu’aucune soudure ou assemblage ne cède.

Bois massif vs. Placage : Une chaise en bois massif, comme le chêne ou le hêtre, peut être poncée et réparée quasi à l’infini. Elle vit et se patine. Une chaise en placage est plus légère et souvent moins chère, mais un choc important peut révéler l’âme du panneau (souvent du MDF ou de l’aggloméré) et la réparation est plus complexe. Pour une table de repas, le massif est un investissement dans la durée.


- Une sensation de souplesse sans affaissement.
- Un dossier qui soutient les lombaires, pas les épaules.
- La possibilité de bouger sans sentir de rigidité.
Le secret ? C’est la signature d’une coque en polypropylène injecté de haute qualité, comme sur les modèles Ice ou Area 51 de Calligaris. La matière offre une flexibilité contrôlée qui fait toute la différence.

L’assise en tissu bouclé, c’est la grande tendance du moment. Au-delà de son look réconfortant, elle a des avantages pratiques :
- Confort thermique : Moins froide en hiver et moins collante en été que le cuir ou le plastique.
- Esthétique : Elle ajoute une texture riche et un volume subtil qui réchauffe une décoration minimaliste.
- Acoustique : Elle absorbe légèrement les sons, rendant une salle à manger plus feutrée.


Attention au piège de la chaise « coup de cœur » : Tomber amoureux d’une silhouette en photo est une chose, vivre avec au quotidien en est une autre. Avant de craquer pour un design très affirmé, demandez-vous si son poids ne la rend pas difficile à déplacer chaque jour, si ses accoudoirs passent bien sous votre table, ou si son dossier ajouré sera vraiment confortable pour de longs dîners.


Transparentes, pour ou contre ?
Les chaises en polycarbonate transparent, popularisées par la fameuse ‘Louis Ghost’ de Philippe Starck pour Kartell, sont des alliées incroyables pour les petits espaces. Elles n’obstruent pas la vue, allègent visuellement la pièce et laissent passer la lumière. Le bémol ? Elles sont sensibles aux micro-rayures et demandent un nettoyage fréquent pour rester impeccables. Un chiffon doux et un peu d’eau savonneuse sont leurs meilleurs amis.

« Les détails ne sont pas les détails. Ils font le design. » – Charles Eames
Cette citation du célèbre designer prend tout son sens avec une chaise. Observez la jonction entre un pied et l’assise, la finesse d’une soudure, la couture d’un revêtement en cuir. C’est dans cette précision que se cache la différence entre une simple chaise et une pièce de mobilier qui traversera les décennies.


L’entretien quotidien est la clé de la longévité. Voici un mémo rapide :
- Plastique / Polymère : Un coup d’éponge humide avec un détergent doux. Évitez les produits abrasifs qui ternissent la surface.
- Bois verni : Chiffon doux et sec. Pour les taches, un chiffon à peine humide, puis séchage immédiat.
- Métal : Un simple chiffon microfibre suffit. Attention aux produits trop agressifs sur les finitions peintes.
- Cuir : Dépoussiérage régulier et application d’un lait nourrissant spécifique une à deux fois par an.

Le poids, un indice de qualité ? Pas toujours. Une chaise en aluminium injecté comme la ‘Chair One’ de Konstantin Grcic pour Magis est relativement légère mais d’une robustesse à toute épreuve. À l’inverse, une chaise en bois massif sera lourde par nature. Fiez-vous plutôt à la sensation de stabilité au sol et à l’absence de jeu dans les assemblages lorsque vous la manipulez.


L’option vintage : Le marché de la seconde main regorge de pépites. Chercher des chaises de designers des années 50 à 70 peut être une excellente affaire. Non seulement vous obtenez une pièce avec une histoire, mais leur qualité de fabrication était souvent exceptionnelle. Guettez les modèles de marques comme Thonet, Fritz Hansen ou les anciennes éditions de Knoll.

- Une teinte vibrante pour dynamiser une table en bois sobre.
- Un noir mat pour une élégance graphique et intemporelle.
- Un blanc ou un gris clair pour se fondre dans un décor épuré.
L’astuce ? Choisir une couleur de chaise qui rappelle un autre élément de la pièce : un coussin, une œuvre d’art, un tapis. Cela crée une cohérence visuelle immédiate et sophistiquée.


Une chaise à 500€, est-ce justifié ?
Souvent, oui. Ce prix n’inclut pas seulement un matériau noble. Il finance des années de recherche et développement pour l’ergonomie, le coût des moules (qui peut atteindre des centaines de milliers d’euros pour un modèle en plastique injecté), la qualité des finitions faites pour durer, et bien sûr, la rémunération du designer. C’est l’assurance d’un objet pensé dans les moindres détails pour être à la fois beau, confortable et durable.


Le cuir pleine fleur : Il conserve la surface supérieure de la peau, avec ses grains et ses imperfections naturelles. C’est le plus noble, il respire et développe une magnifique patine avec le temps.
La croûte de cuir : Issue de la refente de peaux épaisses, sa surface est recouverte d’un enduit (pigmentation) qui la rend plus uniforme et moins fragile, mais aussi moins respirante. Pour un usage intensif, c’est une option plus facile d’entretien.

Seulement 15% des plastiques produits dans le monde sont recyclés.
Face à ce constat, de plus en plus de marques de design s’engagent. La chaise ‘Tip Ton’ de Barber & Osgerby pour Vitra est désormais produite en polypropylène recyclé. La marque Emeco, elle, fabrique sa célèbre ‘111 Navy Chair’ à partir de 111 bouteilles en plastique. Choisir ces modèles, c’est faire un geste pour la planète sans sacrifier le style.


L’astuce anti-rayures : Avant même de remonter vos chaises neuves à la maison, équipez-les de patins de protection adaptés à votre sol. Les patins en feutre sont parfaits pour le parquet et le carrelage lisse. Pour les sols souples comme le vinyle, préférez des patins en plastique lisse. C’est un détail qui coûte quelques euros mais qui sauvera votre sol et vos oreilles.

Osez le dépareillé maîtrisé. Plutôt que six chaises identiques, pourquoi ne pas mixer ? La règle d’or pour une belle harmonie est de garder un fil conducteur :
- Même modèle, couleurs différentes : Le plus simple et toujours efficace.
- Même couleur, modèles différents : Plus audacieux, crée un rythme intéressant.
- Même matériau (le bois par ex.), styles variés : Pour un look brocante chic.


Quand on parle de chaises italiennes, on pense design, mais on oublie souvent la culture de l’artisanat derrière. Des marques comme Cassina ou Poltrona Frau perpétuent des savoir-faire uniques, notamment dans le travail du cuir et du bois. Une chaise de ces maisons n’est pas un produit de masse, c’est l’héritage de générations d’artisans.


Accoudoirs : confort ou contrainte ?
Pour : Ils aident à se relever de table, soulagent les épaules et les bras lors de longues conversations et donnent une allure de fauteuil plus statutaire.
Contre : Ils peuvent empêcher de glisser complètement la chaise sous la table, ce qui prend plus de place. Ils peuvent aussi entraver les mouvements pour ceux qui aiment s’asseoir sur le côté.
Le bon compromis ? Choisir des accoudoirs bas et fins, ou n’en mettre qu’aux deux chaises en bout de table.

On passe en moyenne 600 heures par an assis à table.
Ce chiffre simple rappelle à quel point le choix de nos chaises de salle à manger est loin d’être anodin. C’est un investissement direct dans notre confort quotidien, la qualité de nos moments partagés et la santé de notre dos.


- Gain de place spectaculaire une fois rangées.
- Flexibilité pour accueillir des invités imprévus.
- Souvent plus légères et faciles à manipuler.
Le secret ? Ne plus les considérer comme de simples chaises d’appoint. Des modèles design comme la ‘Skip’ de Calligaris ou la ‘Plia’ de Giancarlo Piretti pour Castelli allient esthétique et praticité, et méritent une place permanente dans votre intérieur.

Point important : La hauteur d’assise standard d’une chaise de repas se situe entre 45 et 48 cm. Pour un confort optimal, il doit y avoir un espace d’environ 25 à 30 cm entre l’assise de la chaise et le dessous du plateau de votre table. Mesurez votre table avant d’acheter, c’est une erreur classique qui peut ruiner l’ergonomie de votre espace repas.


Au-delà du confort physique, il y a le confort acoustique. Faites glisser une chaise bas de gamme sur un carrelage : le bruit est souvent strident et creux. Une chaise de qualité, avec des patins bien pensés et une structure dense, produira un son mat et feutré. C’est un de ces détails invisibles qui contribuent à une atmosphère sereine.
L’inspiration scandinave, avec ses bois clairs (frêne, chêne) et ses formes organiques, est souvent associée à un design chaleureux et fonctionnel. Pensez aux créations de Hans J. Wegner. Le design italien, lui, ose davantage l’expérimentation avec les matériaux comme le plastique, le métal et le cuir, proposant des lignes plus radicales et sculpturales. Deux philosophies pour deux ambiances : le confort cosy contre l’élégance audacieuse.