Crédence de Cuisine : Le Guide Pratique pour Faire le Bon Choix (et le Poser Comme un Pro)
Transformez votre cuisine en un espace unique avec la crédence parfaite. Découvrez les tendances qui séduisent les amateurs de design.

Chaque fois que je pénètre dans une cuisine, je suis frappé par l'importance d'une belle crédence. Elle peut transformer un espace banal en un lieu inspirant. Récemment, j'ai redécouvert le charme des matériaux vintage qui réchauffent l'atmosphère tout en apportant une touche moderne. Explorez avec moi les idées qui feront de votre cuisine un véritable chef-d'œuvre.
Salut tout le monde ! Si vous êtes en train de refaire votre cuisine, il y a un sujet qui revient sans cesse sur la table : la crédence. Et franchement, on a tendance à la voir uniquement comme un élément déco. Grosse erreur !
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Depuis le temps que je navigue dans les projets de cuisine, j’ai vu une chose : une bonne crédence, c’est d’abord et avant tout votre meilleure alliée technique. C’est le bouclier qui protège vos murs des projections d’eau, des éclaboussures de graisse et de la chaleur de vos plaques de cuisson. Alors oui, le look est important, mais si on oublie la technique, on fonce droit vers les ennuis.
Dans ce guide, on va laisser le jargon de côté. Je vais vous partager mon expérience de terrain, avec des conseils concrets pour vous aider à choisir le bon matériau et à comprendre les secrets d’une pose réussie, sans vous ruiner. C’est parti !

1. La technique d’abord, le style ensuite !
Avant de flasher sur une couleur ou un motif, parlons un peu du rôle VITAL de votre crédence. Comprendre ça, c’est déjà éviter 90% des problèmes futurs.
Un bouclier contre l’eau et les graisses
Le mur derrière votre évier et vos plaques de cuisson est une zone de combat. L’eau s’infiltre, les sauces tachent, la graisse s’incruste. Un simple mur en placo, même peint avec une peinture soi-disant lessivable, ne tiendra pas la distance. Il finira par se tacher, moisir ou même se dégrader.
La crédence crée une barrière 100% étanche. C’est là que la porosité du matériau entre en jeu. Un carrelage en grès cérame, par exemple, est quasi imperméable. À l’inverse, une pierre naturelle comme le marbre est une vraie éponge : elle boira la moindre goutte d’huile si elle n’est pas traitée. Mais pas de panique, on verra comment s’en occuper.

Stop au coup de chaud ! La résistance à la chaleur
C’est LE point critique, surtout si vous cuisinez au gaz. La chaleur dégagée par les flammes est intense et directe. Certains matériaux ne le supportent tout simplement pas. J’ai vu de mes propres yeux des crédences en stratifié se déformer ou noircir parce qu’elles étaient trop proches du feu. Une leçon qui coûte cher !
Chaque matériau a sa propre sensibilité :
- L’inox : C’est le champion. Il ne craint pas la chaleur, il la disperse. Ce n’est pas pour rien qu’on le retrouve dans toutes les cuisines de chefs.
- Le verre : Attention, il doit OBLIGATOIREMENT être en verre trempé de sécurité. Un verre classique exploserait à la première sauteuse un peu chaude. Le verre trempé, lui, a été chauffé à blanc pour être ultra-résistant.
- Le carrelage : La céramique et le grès cérame tiennent très bien le choc. Leur seul petit point faible, ce sont les joints qui peuvent se colorer avec le temps.
- La pierre naturelle : Le granit est une forteresse. Le marbre, plus délicat, peut se fissurer avec des chocs thermiques répétés.
Règle d’or : Respectez toujours la distance de sécurité indiquée par le fabricant de votre plaque. C’est non négociable.

La base de tout : un mur parfaitement plat
On ne colle pas une crédence sur un mur plein de bosses et de creux. Le support doit être propre, sec, et surtout, plat. Pour le vérifier, j’utilise une grande règle de maçon. Si je vois un espace de plus de 5 mm, je corrige. Un bon enduit de lissage (comme le Prestonett, très facile à utiliser pour les débutants) fait des miracles. Cette préparation, c’est la moitié du travail bien fait. C’est d’ailleurs une exigence de base dans les DTU (Documents Techniques Unifiés, notre bible de règles officielles dans le bâtiment).
2. Le Grand Match des Matériaux : Mon Avis Sans Filtre
Le marché déborde de choix. Oubliez les brochures, voici la vérité du terrain, avec les avantages, les inconvénients et surtout… les prix !
Le carrelage : le classique indémodable
- Les plus : Le choix est quasi infini en termes de styles et de couleurs. Il est hyper résistant et facile à nettoyer. Et si un carreau casse, on peut le remplacer (pensez à en garder quelques-uns en rab !).
- Les moins : LES JOINTS. C’est le talon d’Achille. Le joint ciment classique finit toujours par se tacher ou noircir. C’est la plainte n°1 des clients.
- Mon conseil de pro : Investissez dans un joint époxy. Oui, il coûte environ 2 à 3 fois plus cher qu’un joint classique et il est un peu plus technique à poser, mais il est totalement étanche et anti-taches. Vous me remercierez plus tard ! Pour le carrelage, optez pour du grès cérame pleine masse : la couleur est dans toute l’épaisseur, donc un éclat se verra beaucoup moins.
- Budget : Très variable, de 15€/m² pour une faïence basique à plus de 80€/m² pour des carreaux design.

L’inox : l’efficacité des pros
- Les plus : Hygiène irréprochable, résistance totale à la chaleur, et pas de joints. Un seul panneau, c’est propre et net.
- Les moins : Il se raye assez facilement et est un véritable aimant à traces de doigts et à gouttes d’eau. Il demande un entretien constant pour rester nickel.
- Mon conseil de pro : Choisissez un inox brossé anti-traces, bien plus facile à vivre au quotidien. Pour l’épaisseur, ne descendez pas sous 1 mm, sinon ça fait un peu « tôle ». Il se colle généralement sur un panneau de bois fin pour une rigidité parfaite.
- Budget : Comptez entre 150€ et 300€/m² pour une plaque sur mesure.
Le verre trempé : la touche de lumière
- Les plus : Ultra facile à nettoyer, pas de joints, et un rendu très moderne. On peut le choisir dans n’importe quelle couleur et il agrandit visuellement l’espace en reflétant la lumière.
- Les moins : Le gros défaut, c’est qu’il est impossible à découper sur place. Les mesures pour les prises doivent être parfaites au millimètre près avant de commander. Une erreur, et c’est 300€ à la poubelle. Ça ne pardonne pas.
- Mon conseil de pro : Faites toujours prendre les mesures par le professionnel qui va vous fournir le verre. Pour la pose, on utilise un mastic-colle neutre (spécial miroir) appliqué en cordons verticaux pour que l’air circule derrière.
- Budget : Généralement entre 250€ et 450€/m² pose comprise, selon la couleur et les découpes.

Le stratifié : l’option budget serré
- Les plus : Son prix imbattable et sa facilité de pose. C’est le champion du DIY, avec des tonnes de décors imitation bois, béton, etc.
- Les moins : C’est le moins durable. Il déteste la chaleur (à proscrire derrière du gaz sans protection) et craint l’eau. Une infiltration et il gonfle comme un biscuit trempé.
- Mon anecdote de chantier : Je me souviens d’un client qui a insisté pour mettre du stratifié partout pour faire des économies, malgré mes avertissements. Six mois plus tard, il m’a rappelé : une énorme cloque noire s’était formée derrière sa plaque de cuisson à gaz. On a dû tout arracher. Une belle preuve que le pas cher coûte parfois très cher…
- Budget : Très accessible, entre 30€ et 70€/m².
La pierre naturelle : le luxe authentique
- Les plus : Chaque plaque est unique, c’est un matériau noble qui donne une valeur folle à une cuisine. Le granit, en particulier, est quasi indestructible.
- Les moins : Le prix, évidemment. C’est un matériau lourd qui demande une pose professionnelle. Et surtout, la plupart des pierres sont poreuses.
- Mon conseil de pro : La protection est OBLIGATOIRE. Dès la pose, il faut appliquer un traitement hydrofuge et oléofuge (vous trouverez des produits efficaces comme le ProtectGuard de Guard Industrie ou le Sikagard Protection Sol dans les magasins de bricolage). C’est à renouveler tous les ans ou deux ans. Pour savoir quand, faites le test de la goutte d’eau : si elle perle, tout va bien. Si elle est absorbée, il est temps de traiter !
- Budget : On entre dans une autre catégorie, de 200€/m² pour un granit basique à plus de 600€/m² pour certains marbres.

Tableau Récapitulatif : Lequel choisir ?
Matériau | Prix/m² (indicatif) | Facilité de Pose (pour un amateur) | Entretien | Résistance Chaleur |
---|---|---|---|---|
Carrelage | 15€ – 80€ | Moyen (les joints) | Excellente | |
Inox | 150€ – 300€ | Difficile (traces) | Excellente | |
Verre Trempé | 250€ – 450€ | (mesures critiques) | Très facile | Excellente |
Stratifié | 30€ – 70€ | Facile | Faible (à proscrire près du gaz) | |
Pierre Naturelle | 200€ – 600€+ | (lourd, pro requis) | Exigeant (traitement régulier) | Bonne à Excellente |
3. La Pose : Les Secrets d’un Résultat Impeccable
Un bon matériau mal posé, c’est de l’argent jeté par les fenêtres. Pour un bricoleur soigneux, poser une crédence simple est tout à fait faisable. Comptez un bon week-end pour un mur de 3-4 m² : une demi-journée de préparation, une journée pour la pose et le séchage, et quelques heures le lendemain pour les finitions.
La pose du carrelage : patience et méthode
Le secret d’un beau carrelage, c’est le calepinage (le plan de pose). Ne partez jamais d’un coin ! Tracez un axe vertical au centre de votre mur, et commencez à coller de part et d’autre de cet axe. Comme ça, vos coupes seront réparties joliment des deux côtés.
Votre liste de courses pour un projet carrelage :

- Votre carrelage (+10% de rab pour les coupes et les erreurs)
- Colle en pâte (plus simple à utiliser au mur)
- Un peigne à colle (spatule crantée), dents de 6 mm pour un format standard
- Des croisillons (3 mm, c’est un bon standard)
- Un coupe-carreaux manuel (un premier prix à 25€ chez Castorama suffit pour de la faïence)
- Un niveau à bulle, un mètre et un crayon
- Du mortier à joint (ou du joint époxy pour la tranquillité !)
La pose des panneaux (verre, inox, stratifié)
Ici, la technique est différente. On utilise un mastic-colle en cartouche (type MS Polymère) qui reste un peu souple. Appliquez la colle en cordons verticaux au dos du panneau, tous les 15-20 cm. Surtout pas en escargot ! Les cordons verticaux laissent l’air circuler derrière, c’est essentiel pour éviter la condensation.
La finition qui change tout : le joint silicone
Le joint entre la crédence et le plan de travail doit être en silicone, car il doit rester souple pour absorber les micro-mouvements. Utilisez un silicone spécial cuisine anti-moisissures.

L’astuce de pro pour un joint parfait : posez du ruban de masquage de chaque côté de la ligne du futur joint. Appliquez le silicone, puis lissez-le avec votre doigt trempé dans de l’eau avec une goutte de produit vaisselle (ça empêche le silicone de coller !). Retirez le ruban adhésif immédiatement. Résultat net et pro garanti !
4. SOS Crédence : Dépannage et Problèmes Courants
« Mes joints de carrelage sont tout noirs ! »
Solution : Tentez un mélange bicarbonate de soude + vinaigre blanc avec une brosse à dents. Si ça ne marche pas, il existe des stylos ou des produits blanchisseurs de joints. En dernier recours, il faut gratter le vieux joint et le refaire. C’est long, mais c’est radical.
« Ma crédence en stratifié a gonflé près de l’évier… »
Solution : Malheureusement, c’est irréversible. C’est le signe d’une infiltration. Il faudra remplacer la crédence. C’est un bon rappel de l’importance d’un matériau adapté et d’un joint silicone parfait.

5. On ne rigole pas avec la Sécurité !
C’est la partie la moins fun, mais la plus importante.
- Électricité : Une norme très stricte régit l’emplacement des prises dans une cuisine. Jamais au-dessus de l’évier ou des plaques ! Si vous avez un doute, demandez l’avis d’un électricien.
- Feu : Je le répète, respectez les distances de sécurité de votre plaque de cuisson. Derrière une plaque gaz, un fond de hotte incombustible (inox, verre) n’est pas une option, c’est une OBLIGATION si le reste de votre crédence est en matériau inflammable.
- Bricolage : Si vous faites les travaux, protégez-vous ! Masque FFP3 pour la poussière de découpe, lunettes et gants. Les bords du verre et de l’inox sont aussi tranchants que des rasoirs.
Et soyez honnête avec vous-même. Poser une crédence en verre de 3 mètres avec quatre découpes, ce n’est pas un projet pour débutant. Parfois, payer un professionnel coûte moins cher que de devoir racheter un panneau hors de prix.

Un choix qui dure
Voilà, vous avez toutes les cartes en main ! Choisir sa crédence, c’est un vrai projet qui mérite un peu de réflexion. C’est un investissement pour les 15 ou 20 prochaines années de votre cuisine.
Mon tout dernier conseil est simple : ne faites jamais l’impasse sur la qualité de la préparation du mur et sur les bons produits de pose pour économiser quelques dizaines d’euros. Une crédence bien pensée et bien posée, c’est la garantie d’une cuisine belle, saine et fonctionnelle pour des décennies. Et ça, c’est la définition même du travail bien fait.
Galerie d’inspiration


Le détail qui change tout : le joint en silicone entre votre plan de travail et la crédence. N’utilisez pas n’importe quel mastic ! Optez pour un silicone sanitaire de cuisine, anti-moisissures, comme ceux de la marque Rubson. Un joint bien fait assure une étanchéité parfaite et une finition professionnelle.

- Inox : Un chiffon microfibre avec de l’eau savonneuse ou un produit spécifique comme le
Attention derrière les plaques de cuisson ! Si vous optez pour une crédence en verre, assurez-vous qu’il s’agisse de verre trempé (ou
Selon une étude TNS Sofres, les Français passent en moyenne 5h30 par semaine dans leur cuisine.
C’est pourquoi la crédence n’est pas qu’un détail technique. C’est l’élément visuel que vous verrez le plus en préparant vos repas. Choisir un motif ou une couleur qui vous plaît vraiment transforme la pièce.
Envie de changer de look sans tout casser ? La crédence adhésive est une option bluffante. Facile et rapide à poser, elle recouvre un ancien carrelage en un clin d’œil.
- Avantages : Pose facile (marques comme Smart Tiles ou Le Grand Cirque), budget mini, large choix de motifs.
- Inconvénients : Moins durable qu’une vraie crédence, attention à la chaleur directe derrière les plaques gaz (un fond de hotte en inox reste recommandé).
Peut-on simplement repeindre son ancien carrelage mural ?
Oui, c’est une excellente solution économique ! Le secret réside dans la préparation. Dégraissez les carreaux à fond (avec de l’acétone ou un nettoyant à base de soude), puis appliquez une sous-couche spéciale carrelage. Ensuite, utilisez une peinture pour
Quartz (type Silestone®) : Composé à 90% de quartz naturel et de résine. Extrêmement résistant aux taches et aux rayures, mais sensible aux très hautes températures (ne pas poser de plat sortant du four dessus).
Dekton® (de Cosentino) : Un matériau céramique ultra-compact. Résistance quasi absolue à la chaleur, aux UV et aux rayures. Le top du top, mais avec un budget plus conséquent.
Les joints de carrelage, même hydrofuges, restent poreux et peuvent se tacher ou s’encrasser avec le temps.
La solution ? Un joint époxy. Plus cher et plus technique à poser que le mortier-joint classique, il est totalement imperméable, ne se tache pas et résiste aux produits chimiques. Un investissement judicieux pour les zones très exposées.
- Une hygiène irréprochable, plébiscitée par les chefs.
- Une résistance totale à la chaleur et à la corrosion.
- Un look industriel et moderne qui se marie avec tout.
Le secret pour éviter la corvée des traces de doigts sur l’inox ? Optez pour une finition brossée anti-traces, bien plus facile à entretenir que l’inox miroir.
Pas envie de vous compliquer la vie avec les découpes ? Pensez aux
Pour une crédence sur mesure, la précision est reine :
- Mesurez la hauteur et la largeur à 3 endroits différents et gardez la plus petite mesure.
- Pensez à déduire quelques millimètres (un jeu de 2-3 mm au total) pour la dilatation.
- N’oubliez pas de prévoir les découpes pour les prises électriques AVANT de commander !
Le conseil qui sauve un projet : Commandez toujours un échantillon ! La couleur d’une crédence sur un écran ou sous les néons d’un magasin n’a rien à voir avec le rendu réel dans votre cuisine, avec votre propre lumière. Un petit investissement qui évite une grosse déception.
Le verre borosilicate, utilisé pour les plats de cuisson comme le Pyrex, peut résister à des chocs thermiques de plus de 220°C.
C’est une alternative encore plus performante au verre trempé pour un fond de hotte. Il est quasiment indestructible par la chaleur d’une plaque de cuisson, offrant une tranquillité d’esprit absolue, bien que plus rare et plus onéreux.
Le charme du Zellige ne se dément pas. Ce petit carreau de terre cuite émaillée, fabriqué à la main au Maroc, apporte une touche d’artisanat et de chaleur unique.
- Chaque carreau est unique, avec des nuances et des irrégularités qui captent la lumière de manière singulière.
- Idéal pour créer un mur vibrant et texturé qui donne une âme à la cuisine.
Quelle hauteur choisir pour sa crédence ?
Tout dépend de l’effet recherché. La hauteur standard se situe entre 50 et 70 cm, ce qui est suffisant pour protéger des projections. Pour un look plus affirmé, la tendance est à la crédence
Stratifié classique : La solution la plus économique, vue chez Ikea ou Castorama. Un panneau de particules recouvert d’une feuille décorative. Attention, il craint l’eau sur les chants et la forte chaleur directe.
Stratifié compact (HPL) : Plus dense, plus fin (environ 10 mm) et hydrofuge dans la masse. Il résiste beaucoup mieux à l’humidité et peut même accueillir un évier par-dessous. Une excellente alternative milieu de gamme.
Une crédence en verre recyclé peut contenir jusqu’à 85% de matériaux récupérés.
Non seulement c’est un geste pour la planète, mais le résultat est souvent spectaculaire. Les éclats de verre de différentes couleurs sont figés dans une résine, créant des surfaces uniques et lumineuses, comme celles proposées par des marques spécialisées comme Tendance-Verre.
- Aucun joint à nettoyer ou à voir noircir.
- Une surface parfaitement lisse, facile à entretenir.
- Une impression d’espace et de luxe immédiate.
Le secret ? La crédence
Pour une harmonie visuelle parfaite, la tendance est à la
Vous la posez vous-même ? Attention à ces 3 pièges courants :
- Le mur n’est pas prêt : Il doit être propre, sec, et surtout plan. Un défaut se verra comme le nez au milieu de la figure.
- La colle est inadaptée : Chaque matériau exige sa colle spécifique. Lisez la notice !
- L’oubli des croisillons : Pour du carrelage, ils sont non négociables pour des joints parfaits.
Point focus : Le fond de hotte. Pas besoin de recouvrir tout le mur avec un matériau ultra-résistant. Vous pouvez opter pour une crédence plus économique (stratifié, peinture) et ne poser qu’une plaque de protection en inox ou en verre juste derrière la zone de cuisson. Une solution astucieuse pour maîtriser son budget.
L’éclairage sous les meubles hauts change radicalement la perception de votre crédence. Un bandeau LED bien placé peut sublimer les matériaux.
- Sur une finition brillante (verre, faïence) : La lumière se reflète et accentue la sensation d’espace.
- Sur une finition mate (type Fenix NTM®, pierre) : La lumière est absorbée, créant une ambiance douce et feutrée.
Une crédence en bois, bonne ou mauvaise idée ?
C’est possible et magnifique pour un look chaleureux, mais avec des précautions ! Il faut choisir une essence de bois stable (chêne, bambou) et la protéger avec plusieurs couches d’un vernis polyuréthane
Pose classique