Rien de tel qu'un salon bien décoré pour se sentir chez soi. Je me souviens de l'excitation que j'ai ressentie en peignant mon premier salon. Choisir la bonne couleur peut sembler intimidant, mais c'est aussi une aventure passionnante. Des teintes chaleureuses aux nuances apaisantes, chaque choix a son propre impact sur l'ambiance. Suivez-moi pour explorer des idées qui feront de votre salon un véritable havre de paix.
Choisir une couleur, bien plus qu’une histoire de goût
Choisir la couleur de son salon… Franchement, ça peut vite tourner au casse-tête. Après plus de vingt ans passés sur les chantiers, des petits apparts en ville aux grandes maisons de campagne, j’ai vu des centaines de transformations. Et s’il y a une chose que j’ai apprise, c’est bien celle-ci : la bonne couleur, ce n’est jamais juste une jolie teinte sur un nuancier.
C’est un équilibre. Un savant mélange entre la lumière de la pièce, son volume, vos meubles et, surtout, votre façon de vivre.
L’erreur numéro un ? Choisir une couleur sur une photo ou sous les néons d’un magasin de bricolage. La lumière artificielle d’un supermarché n’a absolument rien à voir avec celle de votre salon un dimanche après-midi. Mon rôle, ce n’est pas juste de passer un coup de rouleau. C’est de comprendre un lieu pour lui donner une âme qui tiendra la route. Oubliez les modes qui durent six mois. On refait son salon tous les 7 à 10 ans en moyenne, alors autant faire un choix qui ne vous lassera pas au bout d’un an.
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Ici, je vais vous partager ma méthode. Pas de recette miracle, mais des principes concrets, ceux que j’applique tous les jours. L’idée, c’est de vous donner les clés pour faire un choix éclairé et durable.
Étape 1 : On analyse avant de toucher aux pinceaux
Avant même de rêver à un vert forêt ou un beige poudré, il y a une étape cruciale, non négociable : l’observation. Un bon diagnostic, c’est la moitié du travail de fait.
La lumière : votre alliée ou votre pire ennemie
La lumière, c’est le matériau principal. C’est elle qui va révéler, ou au contraire trahir, la couleur que vous avez choisie. Elle change toute la journée, et selon l’orientation de votre pièce, le résultat sera radicalement différent.
Exposition Nord : La lumière y est froide, un peu bleutée, mais constante. C’est la plus délicate, soyons honnêtes. Un gris pur peut vite y paraître glacial. Ici, il faut réchauffer ! Pensez aux blancs cassés avec une pointe de jaune, aux beiges, aux taupes clairs, ou même à des pastels chauds.
Exposition Sud : Là, c’est le jackpot. La lumière est chaude, dorée, abondante. Presque tout est permis. Les couleurs froides seront adoucies, les chaudes seront magnifiées. Attention tout de même : une couleur très vive peut devenir aveuglante en plein après-midi.
Exposition Est : La lumière du matin est vive et claire, puis la pièce s’assombrit l’après-midi. Il faut une couleur qui reste agréable le soir. Les verts d’eau, les bleus doux ou les blancs chauds sont de très bonnes options.
Exposition Ouest : Faible le matin, la lumière devient très chaude, presque orangée, en fin de journée. Une couleur neutre peut prendre des teintes incroyables au coucher du soleil. À l’inverse, un rouge vif pourrait devenir carrément oppressant.
Mon conseil de pro, celui que je donne à TOUS mes clients : achetez des testeurs de peinture (environ 2€ à 5€ le pot). Peignez de grands cartons d’au moins 50×50 cm. Promenez-les dans la pièce à différents moments de la journée : le matin, à midi, en fin d’après-midi et le soir, avec vos lampes allumées. C’est le seul moyen fiable d’éviter une mauvaise surprise.
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Astuce peu connue mais redoutable : peignez l’intérieur d’une grande boîte en carton avec votre testeur. En la posant dans un coin, vous verrez comment la couleur réagit avec les ombres, ce qui vous donnera une bien meilleure idée du rendu final en 3D !
Les éléments qui ne bougeront pas : sol, fenêtres, cheminée…
Vous ne partez jamais de zéro. Le sol, par exemple, occupe une surface immense. Un parquet en chêne doré n’appellera pas les mêmes teintes qu’un béton ciré gris. Il faut jouer AVEC ces éléments, pas contre eux.
Sol en bois chaud (chêne, merisier) : Un contraste avec un vert profond, un bleu marine ou un gris chaud est souvent très élégant. Évitez le blanc pur, qui peut paraître trop dur ; un blanc crème sera bien plus harmonieux.
Sol gris (béton, carrelage moderne) : Vous pouvez vous permettre des couleurs plus audacieuses comme un jaune moutarde, un bleu canard ou un terracotta pour réchauffer l’ensemble.
Sol en pierre ou terre cuite : Restez dans une palette naturelle. Des blancs cassés, des beiges, des verts sauge ou des tons ocre respecteront le cachet du matériau.
Pensez aussi à vos fenêtres, portes, et même à la cheminée. Ces éléments font déjà partie de la palette de couleurs de la pièce.
Étape 2 : Quelle famille de couleurs pour quelle ambiance ?
Ok, l’analyse est faite. Maintenant, on peut parler couleur. Mais attention, on ne choisit pas juste « du bleu », on choisit « quel bleu ». Chaque teinte a un impact sur notre humeur et sur la perception de l’espace.
Les neutres : la base d’un décor réussi
Loin d’être ennuyeux, les neutres sont la toile de fond qui va mettre en valeur votre mobilier et l’architecture. Un bon neutre, c’est le secret de l’élégance.
Les blancs (oui, il en existe des dizaines !) : Je préfère les blancs cassés. Une pointe de jaune réchauffe une pièce au nord, une pointe de gris le rend plus doux et contemporain.
Les beiges et les taupes : Des valeurs sûres pour une ambiance douce et chaleureuse. Le taupe (un mélange de gris et de brun) est incroyablement chic et se marie à merveille avec le bois.
Les gris : Un gris clair peut être une super alternative au blanc. Un gris anthracite sur un mur d’accent (on y reviendra) crée une profondeur et une atmosphère feutrée. Mais attention, choisissez bien sa nuance : un gris peut tirer vers le bleu (froid) ou le rouge (chaud).
Les couleurs chaudes : pour l’énergie et la convivialité
Les rouges, oranges, jaunes… ce sont des couleurs qui semblent s’avancer vers nous. Elles rendent un espace plus petit mais aussi beaucoup plus accueillant. C’est parfait pour créer un cocon.
D’ailleurs, je me souviens d’un couple qui voulait un salon cosy pour son coin lecture. La pièce était grande et un peu froide. On a simplement peint le mur derrière leur bibliothèque en rouge brique. L’effet a été immédiat : le coin lecture est devenu un vrai cocon chaleureux, sans pour autant assombrir le reste du salon.
Les couleurs froides : pour le calme et l’espace
Les bleus et les verts sont apaisants. Ils ont la particularité de « fuir » le regard, ce qui donne une impression d’espace et agrandit visuellement une pièce.
Les bleus : Un bleu marine ou pétrole est d’un chic absolu derrière un canapé, il fait ressortir toutes les autres couleurs.
Les verts : C’est la couleur de la nature, elle est donc fondamentalement reposante. Un vert sauge est doux et facile à vivre, tandis qu’un vert forêt crée une ambiance intense, parfaite pour une pièce dédiée au cinéma.
Étape 3 : La technique qui change tout (et le budget !)
Une couleur sublime mal appliquée donnera un résultat médiocre. La qualité de la finition est aussi importante que la teinte. C’est là que le savoir-faire (et le bon matériel) fait toute la différence.
Le kit du peintre amateur… mais qui vise un résultat pro !
Avant de foncer, assurez-vous d’avoir le bon équipement. Croyez-moi, ça évite bien des crises de nerfs. Voici une petite liste de courses :
Bâches de protection : en plastique pour les meubles, mais préférez une bâche en tissu épais pour le sol, elle ne glisse pas et absorbe mieux les gouttes. (5-15€)
Ruban de masquage de qualité : le rose ou le bleu, pas le beige bas de gamme qui bave ! (environ 5-8€ le rouleau)
Pinceau à réchampir : un pinceau rond et pointu pour faire les angles proprement. (8-15€)
Rouleau et monture : choisissez un rouleau à poils de 10-12 mm pour un mur lisse. (Kit complet : 15-25€)
Bac à peinture avec grille d’essorage : indispensable pour bien charger le rouleau. (5-10€)
Enduit de rebouchage et spatule : pour les petits trous et fissures. (10€ le kit)
Lessive type St Marc et éponges : pour dégraisser les murs. (environ 5€)
Une bonne sous-couche universelle : ne sautez JAMAIS cette étape ! (20-40€ le pot de 2.5L)
La peinture de finition : comptez entre 50€ et 90€ pour un pot de 2.5L d’une marque professionnelle de qualité. Oui, c’est un budget, mais elle couvrira mieux et durera plus longtemps.
Comment calculer la quantité de peinture ?
C’est LA question que tout le monde se pose. La formule est simple :
( (Longueur du mur 1 + Longueur du mur 2) x 2 ) x Hauteur sous plafond = Surface totale des murs.
N’oubliez pas de soustraire la surface de vos portes (environ 2 m²) et fenêtres. Le rendement de la peinture est indiqué sur le pot (ex: 10 m²/L). Divisez votre surface totale par le rendement pour savoir combien de litres il vous faut… pour UNE couche ! Pensez à doubler la quantité pour les deux couches nécessaires.
La préparation : 90% du travail, 100% de la réussite
Un mur mal préparé, c’est la garantie d’une finition ratée. C’est simple.
Protéger : Bâchez tout, absolument tout.
Lessiver les murs : C’est essentiel pour que la peinture accroche. Le mini-tuto pour ne pas se rater : 1. Diluez la lessive dans de l’eau tiède. 2. Avec une grosse éponge, frottez le mur de bas en haut pour éviter les coulures sales. 3. Rincez abondamment à l’eau claire avec une éponge propre, toujours de bas en haut. Laissez sécher complètement (24h).
Réparer et poncer : Bouchez les trous, poncez doucement une fois sec. Passez la main : ça doit être parfaitement lisse.
Appliquer la sous-couche : C’est elle qui uniformise le mur et garantit que votre couleur finale sera fidèle au nuancier. C’est une économie de temps et d’argent à long terme.
Attention, point sécurité ! Si votre logement est ancien, les vieilles peintures peuvent contenir du plomb, ce qui est très toxique. Le ponçage est particulièrement dangereux. La loi impose un diagnostic (le CREP) avant travaux. Pour trouver un professionnel certifié, consultez les annuaires du gouvernement ou les plateformes comme France Rénov’. Ne prenez aucun risque.
Le choix de la finition : le tableau pour y voir clair
Mat, satin, velours… Chaque finition a son rôle. J’ai vu un client insister pour une finition brillante sur son mur principal, pensant que ça ferait « design ». Résultat ? Chaque petit défaut, chaque bosse était horriblement magnifié par la lumière. On a dû tout reprendre ! Pour éviter ça, voici un petit récapitulatif :
Finition
Look
Le +
Le –
Idéal pour…
Mat
Poudré, velouté
Gomme les défauts
Fragile, non lavable
Plafonds, murs de salons peu passants
Velours / Satiné
Léger reflet soyeux
Résistant et lessivable
Révèle un peu les défauts
Murs du salon, couloirs, chambres
Brillant
Effet miroir
Ultra résistant
Révèle TOUS les défauts
Boiseries (portes, plinthes)
L’application : les gestes du pro
Une fois le mur prêt, on peut enfin peindre. Commencez par « dégager les angles » avec le pinceau à réchampir. Ensuite, au rouleau, peignez par zones de 1m², en croisant les passes : une fois à la verticale, une fois à l’horizontale, et terminez en lissant doucement à la verticale. Respectez bien le temps de séchage entre les couches (c’est écrit sur le pot !). Et LA question piège : quand retirer le ruban de masquage ? Faites-le quand la peinture est encore un peu humide, en tirant doucement en diagonale. Si vous attendez qu’elle soit sèche, vous risquez d’arracher la peinture avec !
Et si on faisait appel à un pro ?
Avec de la méthode, vous pouvez obtenir un super résultat. Mais soyons réalistes, parfois, il vaut mieux déléguer.
Faites appel à un professionnel si :
Vos murs sont en très mauvais état (grosses fissures, humidité…).
Vous avez une très grande hauteur sous plafond (question de sécurité et de technique).
Vous manquez de temps. Un pro mettra 3 à 4 jours pour un salon de taille moyenne, préparation incluse.
Vous avez tout simplement peur de vous tromper.
Niveau budget, un artisan peintre facture généralement entre 30€ et 50€ du mètre carré, préparation et fournitures incluses. C’est un investissement, mais c’est la garantie d’un travail impeccable qui durera des années.
Au final, la peinture, c’est bien plus qu’une simple déco. C’est ce qui crée l’atmosphère de votre lieu de vie, ce qui participe à votre bien-être au quotidien. Alors, prenez le temps de bien faire les choses. Votre salon vous le rendra.
Galerie d’inspiration
La finition, ce détail qui change tout : Mat, velours ou satiné ? Le choix de la finition est aussi crucial que celui de la couleur. Un fini mat absorbe la lumière, gommant les imperfections des murs anciens. Un satiné, plus résistant, la réfléchit et est idéal près des zones de passage. Le velours, comme le fameux « Velours » de chez Tollens, offre le compromis parfait : un aspect poudré mais lessivable.
Pour une harmonie sans fausse note, pensez à la règle du 60-30-10. Elle consiste à utiliser une couleur dominante sur 60% de la surface (les murs), une couleur secondaire pour 30% (un grand canapé, les rideaux) et une couleur d’accent pour les 10% restants (coussins, objets déco). C’est un guide infaillible pour équilibrer votre palette.
Ne testez jamais sur un mur blanc. Peignez un grand carton (format A3 minimum) avec votre échantillon.
Déplacez ce carton sur différents murs et observez-le à plusieurs moments de la journée.
Regardez-le à la verticale, comme il sera sur le mur, et non à plat.
Selon une étude de l’Université de Géorgie, les couleurs chaudes comme le jaune ou l’orangé peuvent stimuler la conversation, tandis que les bleus et verts favorisent la relaxation et le calme.
Une couleur sombre va-t-elle rétrécir mon petit salon ?
C’est une idée reçue ! Utilisée intelligemment, une teinte profonde comme le
Fini Mat : Idéal pour un look feutré et contemporain. Il absorbe la lumière et masque les défauts, mais peut être plus fragile aux taches.
Fini Satiné : Parfait pour les familles ou les lieux de passage. Il réfléchit légèrement la lumière et est très facile à nettoyer, mais peut révéler les petites imperfections du mur.
Le célèbre
Il attire le regard sur un point focal (une cheminée, une bibliothèque).
Il structure l’espace sans surcharger la pièce.
Il permet d’oser une couleur forte sans prendre de risque.
Le secret d’un mur d’accent réussi ? Choisir le mur le plus court ou celui qui se voit en premier en entrant dans la pièce.
On l’oublie souvent, mais le plafond est le cinquième mur du salon. Le peindre change radicalement la perception du volume.
Blanc pur : Le choix classique pour maximiser la luminosité.
Plus clair que les murs : Donne une sensation de hauteur.
Même couleur que les murs : Crée un effet
N’oubliez jamais de considérer votre sol. Un parquet en chêne doré réchauffera un mur gris froid, tandis qu’un béton ciré clair mettra en valeur une teinte profonde. Avant de choisir, posez votre échantillon de couleur au sol pour visualiser l’harmonie entre les deux plus grandes surfaces de votre pièce.
Pensez à l’air que vous respirez : Optez pour des peintures à faibles émissions de COV (Composés Organiques Volatils). Les marques comme Little Greene ou Farrow & Ball sont réputées pour leurs bases à l’eau, mais de grandes marques comme Dulux Valentine avec sa gamme
Bleu marine et Camel : L’élégance classique, mariant la profondeur du bleu à la chaleur du cuir.
Vert sauge et Bois clair : L’inspiration scandinave et nature, douce et apaisante.
Gris anthracite et Ocre : Le contraste chic et moderne qui réchauffe une base neutre.
Et pour les boiseries, les plinthes et les portes ?
Trois options s’offrent à vous. La plus classique : le blanc, pour un contraste net qui souligne l’architecture. La plus moderne : ton sur ton, en peignant les boiseries de la même couleur que le mur pour un effet unifiant. L’audacieuse : une couleur contrastante, comme des plinthes noires sur un mur blanc, pour un style graphique.
Little Greene : Reconnue pour sa profondeur pigmentaire (plus de 40% de pigments en plus que les peintures standards), offrant des couleurs qui changent subtilement avec la lumière.
Tollens (collection
Chaque année, Pantone élit sa
La tendance du
Il paraît plus bas et plus intime.
L’attention se porte sur les murs et le mobilier.
Les défauts du plafond sont estompés.
Le secret ? Oser peindre le plafond dans une couleur plus foncée que les murs. Une astuce audacieuse mais très efficace dans les pièces à grande hauteur.
Votre canapé jaune moutarde est la star du salon ? Voici comment choisir la couleur des murs :
Pour le faire ressortir : Un bleu canard ou un gris anthracite en fond créera un contraste saisissant.
Pour l’intégrer en douceur : Un beige rosé ou un blanc cassé apportera de la chaleur sans compétition visuelle.
Pour un look audacieux : Un vert émeraude créera une ambiance
Ne sautez jamais l’étape de la sous-couche ! Ce n’est pas une dépense superflue. Une bonne sous-couche bloque les anciennes couleurs, unifie le support et garantit un rendu homogène de votre couleur finale. Vous utiliserez moins de peinture de finition, et le résultat sera bien plus professionnel.
Ma couleur sera-t-elle la même le soir ?
Non, et c’est un point crucial. Les ampoules LED
Pour un intérieur qui respire le bien-être, adoptez une palette biophilique, inspirée directement de la nature. C’est une tendance de fond qui favorise la sérénité.
Verts : Sauge, olive, lichen, forêt…
Tons terre : Terracotta, ocre, argile, sable.
Bleus : Ciel, ardoise, profond comme un lac.
Le vert est la couleur la plus facile à interpréter pour l’œil humain, ce qui explique son effet apaisant. Dans un salon, un vert sauge ou un vert amande favorise la détente et la concentration. Il évoque la nature, réduit le stress et crée un véritable havre de paix pour se ressourcer après une longue journée.
Il faut en moyenne trois jours à notre cerveau pour s’adapter complètement à une nouvelle couleur majeure dans notre environnement de vie. Laissez-vous le temps de l’apprivoiser !
Blancs chauds : Ils contiennent une pointe de jaune ou de rouge (ex:
Décoratrice Contemporaine & Chasseuse de Tendances Ses spécialités : Design moderne, Éclairage d'ambiance, Mobilier design
Chloé a l'œil pour repérer les tendances avant qu'elles n'arrivent dans les magazines. Après plusieurs années dans le merchandising visuel pour de grandes enseignes, elle s'est lancée dans le conseil déco. Son appartement lyonnais est un véritable showroom où elle teste toutes ses idées avant de les partager. Fascinée par l'impact de la lumière sur nos émotions, elle collectionne les luminaires vintage qu'elle mélange avec des pièces ultra-modernes. Son secret ? Ne jamais suivre les règles à la lettre.