Cloison amovible : Le guide complet (sans blabla) pour un projet réussi
Transformez votre espace avec une cloison amovible ! Découvrez comment allier style et praticité pour un intérieur modulable.

Quand j'ai emménagé dans mon studio, l'idée de cloisonner l'espace m'a séduite. Une simple séparation peut faire toute la différence, créant intimité et fonctionnalité. Avec tant de choix de designs modernes, comme les verrières industrielles ou les étagères Kallax d'Ikea, il est temps de redéfinir votre intérieur avec flair.
Vous aussi, vous en avez marre des grands espaces ouverts où tout se mélange ? Le coin bureau qui déborde sur le salon, le bruit de la cuisine qui gâche votre série… Je connais ça par cœur. Après des années passées dans la menuiserie, j’ai vu cette tendance des cloisons amovibles s’installer durablement. Et pour une bonne raison : c’est une solution géniale pour adapter nos logements à nos vies qui changent.
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Mais attention. Entre les photos parfaites sur Pinterest et la réalité de votre salon, il y a un monde. Une cloison réussie, c’est bien plus qu’une question de look. C’est une histoire de technique, de bons matériaux et, surtout, d’une pose soignée. Mon but ici, c’est de vous donner les clés d’un projet réaliste, comme si on en discutait autour d’un café, avec les vrais prix, les astuces de chantier et les pièges à éviter.
Étape 1 : Avant de sortir les outils, on sort un carnet !
Franchement, la première étape, c’est la moins fun mais la plus importante. Avant de flasher sur un modèle de verrière, il faut se poser les bonnes questions. Une cloison mal pensée, ça devient vite une galère au quotidien. Prenez un carnet et soyez honnête avec vous-même.

Quelle sera sa VRAIE fonction ?
Juste « délimiter un espace », ce n’est pas assez précis. Vous voulez vraiment :
- Créer une chambre d’amis ? Alors l’isolation phonique est votre priorité absolue. Une simple verrière ne suffira jamais à garantir une nuit tranquille.
- Isoler un coin bureau ? Ici, c’est la lumière qui est reine. Une cloison pleine transformera votre bureau en grotte et bonjour la facture d’électricité.
- Séparer la cuisine du salon ? Pensez aux odeurs et au bruit du lave-vaisselle. La cloison devra être facile à nettoyer et un minimum isolante.
- Juste marquer une séparation visuelle ? Parfois, on se complique la vie pour rien. Un claustra ajouré ou même une bibliothèque ouverte (le fameux modèle Kallax d’Ikea, par exemple) peut faire le job pour zéro poussière et un budget mini.
La réponse à cette question va guider 80% de vos choix. Ne trichez pas !
La lumière, on y pense sérieusement
C’est le point le plus sous-estimé, et pourtant… Installer une cloison pleine dans une pièce traversante est la meilleure façon de perdre 50% de sa luminosité naturelle. Si l’un des deux nouveaux espaces créés n’a pas de fenêtre, il est impératif d’opter pour une solution qui laisse passer la lumière.

À vous de jouer ! Ce week-end, faites ce test tout simple : prenez un grand drap ou des cartons et placez-les à l’endroit de votre future cloison. Laissez-les en place toute une journée et observez comment la lumière évolue dans la pièce. C’est une méthode de pro, gratuite, qui vous évitera bien des regrets.
Quel niveau de silence vous faut-il ?
Le bruit, c’est le confort. Une cloison amovible standard, soyons clairs, n’isole pas beaucoup. Pour un silence digne de ce nom, il faut de la masse.
- Niveau 1 (Symbolique) : Un rideau, un paravent. Zéro isolation phonique.
- Niveau 2 (Léger) : Une verrière simple vitrage ou un claustra. Ça atténue un peu les bruits aigus, mais on entend parfaitement une conversation.
- Niveau 3 (Correct) : Une cloison coulissante pleine en bois ou mélaminé. Pas mal pour bloquer les voix, mais la musique ou la télé passeront à travers.
- Niveau 4 (Élevé) : Là, on entre dans la cour des grands avec des cloisons acoustiques. On parle de double paroi, de laine de roche, de joints spécifiques… et le budget n’est plus le même. Bon à savoir : un double vitrage asymétrique (par exemple 4mm et 6mm) est bien plus performant qu’un double vitrage classique pour le son.

Verrière, claustra, panneau : Le match des solutions
Maintenant que votre projet est clair, regardons les options. Pour vous aider à y voir plus clair, voici un petit tableau comparatif rapide.
Solution | Prix moyen au m² (hors pose) | Difficulté Bricolage (sur 5) | Isolation Phonique (sur 5) | Luminosité |
---|---|---|---|---|
Verrière d’atelier | 150€ (kit alu) à 800€+ (acier sur-mesure) | 3/5 | 2/5 | Excellente |
Claustra en bois | 80€ (DIY pin) à 400€+ (chêne par un pro) | 2/5 | 1/5 | Partielle |
Panneau coulissant | 100€ (mélaminé) à 500€+ (design avec rail de qualité) | 4/5 (si rail suspendu) | 3/5 (si plein) | Nulle (sauf si vitré) |
La verrière d’atelier : la star (parfois capricieuse)
On la voit partout, elle est belle, elle laisse passer la lumière… Mais attention, toutes les verrières ne se valent pas. Méfiez-vous des kits d’entrée de gamme (autour de 200-400€ chez les grandes surfaces de bricolage). Les profils sont souvent fragiles et la finition laisse à désirer.
Le point SÉCURITÉ non négociable : le vitrage. Oubliez le verre simple. S’il casse, c’est l’accident assuré. Exigez TOUJOURS du verre feuilleté 33.2 (deux feuilles de verre collées par un film). En cas de choc, il se fissure mais reste en place. On trouve ce type de verre sur mesure chez les miroitiers locaux ou sur des sites spécialisés en ligne. C’est plus cher, mais la sécurité n’a pas de prix, surtout avec des enfants.
Le claustra en bois : la chaleur et la simplicité
C’est une super solution pour séparer sans cloisonner, et c’est très accessible pour un bricoleur. Pour un rendu impeccable, utilisez des tasseaux de section 30x40mm ou 40x40mm. Plus fins, ils risquent de se tordre avec le temps.

Exemple de liste de courses pour un claustra DIY (2,50m H x 1,20m L) :
- Tasseaux : Comptez environ 15 tasseaux en pin (autour de 80-100€) ou en chêne (plutôt 200-250€).
- Visserie & Fixations : Une boîte de vis, quelques équerres renforcées (environ 20€).
- Finition : Un pot de vernis ou de peinture (25€).
Budget total estimé : Entre 125€ et 300€ selon le bois. Pour un bricoleur méthodique, comptez un bon week-end pour la fabrication et la pose.
Petite astuce de pro : pour un espacement parfait, utilisez une chute de tasseau comme cale entre chaque montant que vous fixez. Résultat nickel garanti !
Les panneaux coulissants : la solution la plus flexible
Ici, la star, c’est le rail. Un rail suspendu est plus esthétique (pas d’obstacle au sol), mais il reporte TOUT le poids sur le plafond. Il faut donc être absolument certain de la solidité de votre plafond.

L’erreur classique que je vois tout le temps ? Visser le rail directement dans du placo. Ça finit toujours par s’arracher. Si vous n’avez pas de poutre ou de rail métallique juste au-dessus, il faut renforcer. C’est moins sorcier qu’il n’y paraît : on ouvre proprement le placo, on visse une bonne planche de bois (un bastaing) solidement entre les solives, puis on rebouche et on peint. C’est 2 heures de travail en plus qui vous éviteront une catastrophe.
La pose : les détails qui font toute la différence
Une cloison magnifique peut être ruinée par une pose approximative. La précision est votre meilleure amie.
1. Les mesures : On mesure toujours la largeur et la hauteur en trois points (bas, milieu, haut). Les murs ne sont JAMAIS droits. On garde la plus petite des mesures pour la fabrication et on comblera les écarts avec des joints ou des cales.

2. La préparation : Avant de percer, on sort le détecteur de matériaux ! C’est un petit boîtier qui coûte une trentaine d’euros chez Leroy Merlin ou Castorama et qui vous dit s’il y a un câble électrique ou une canalisation derrière le mur. Croyez-moi, c’est l’un des meilleurs investissements de votre vie de bricoleur.
3. La fixation : À chaque mur sa cheville. Pour du placo, c’est une cheville Molly, point final. Mais sa résistance est limitée. Pour une charge lourde comme un rail suspendu, il faut impérativement aller chercher un support dur derrière (le rail métallique, la solive) ou avoir renforcé comme on l’a vu plus haut.
Bricoleur du dimanche ou artisan : qui fait quoi ?
Soyons honnêtes, il faut savoir reconnaître ses limites pour éviter les galères.
Ce que vous pouvez faire vous-même :
- Monter un claustra simple si vos murs sont droits.
- Installer un kit de verrière en aluminium si le mode d’emploi est clair et que vous êtes un peu méticuleux.
Quand appeler un pro est indispensable :

- Pour tout projet sur-mesure ou avec des formes complexes (cintré, en angle).
- Dès que la sécurité est en jeu (verrière lourde en acier, panneau de plus de 50 kg).
- Si votre plafond doit être renforcé pour un rail suspendu et que ça vous fait peur.
- Pour une isolation acoustique performante.
Faire appel à un artisan a un coût, c’est vrai. Comptez entre 400€ et 900€ de main d’œuvre pour une pose dans les règles de l’art, en plus du matériel. Mais ce prix inclut le conseil, l’assurance, la tranquillité d’esprit et un résultat qui tiendra des années. Parfois, vouloir trop économiser coûte beaucoup plus cher au final.
Une cloison amovible bien pensée peut littéralement transformer votre intérieur. Elle ajoute du style et de la fonctionnalité. Alors prenez le temps de bien planifier votre projet, ne lésinez pas sur la qualité des matériaux essentiels, et surtout, soyez réaliste sur vos compétences. C’est le meilleur conseil que je puisse vous donner !

Galerie d’inspiration


Le système de rail est le squelette de votre cloison coulissante. Un rail unique au plafond (système suspendu) offre un sol parfaitement épuré, sans obstacle. C’est la solution la plus esthétique. Cependant, pour des panneaux lourds ou très hauts, un discret rail de guidage au sol devient indispensable pour garantir la stabilité et éviter tout flottement à l’usage.


Saviez-vous qu’une cloison amovible de qualité peut augmenter la valeur perçue de votre bien de 3 à 5% ? En créant une pièce supplémentaire (bureau, chambre d’appoint), vous répondez à un besoin clé sur le marché immobilier actuel.
Cet investissement n’est donc pas seulement une question de confort, mais aussi une plus-value concrète lors de la revente. C’est un argument de poids qui transforme une dépense en un placement stratégique pour votre logement.


Puis-je installer une cloison dans un appartement en location ?
Oui, à condition de choisir un modèle dit ‘autoportant’ ou ‘sur vérins’. Ces cloisons se fixent par pression entre le sol et le plafond, sans aucune vis. Elles ne laissent aucune trace au départ. Les gammes comme celles de Hëytens ou certains modèles de claustras chez Castorama sont parfaits pour cela et évitent tout conflit avec votre propriétaire.


Acier : L’original, pour le look verrière d’atelier authentique. Ses profils sont plus fins, offrant un maximum de lumière. Il est aussi plus lourd et plus onéreux.
Aluminium : Plus léger, plus facile à installer et plus abordable. Il permet une grande variété de finitions (noir, blanc, anthracite…). C’est l’excellent compromis proposé par des marques comme Sogal ou Kazed.
Le choix dépend vraiment de votre quête d’authenticité versus la praticité et le budget.


- Une ambiance plus chaleureuse et naturelle.
- Une bonne isolation phonique, surtout si le bois est massif.
- Une durabilité à toute épreuve.
Le secret ? La cloison en bois. Loin de l’image rustique, les nouvelles versions à tasseaux ou les panneaux lisses s’intègrent parfaitement dans les intérieurs contemporains. Cherchez des bois labellisés FSC ou PEFC pour un choix responsable.


Pour que votre cloison reste impeccable au fil du temps, un entretien minimal s’impose. Voici les bons gestes :
- Verre & Métal : Un chiffon microfibre avec de l’eau additionnée de vinaigre blanc. Évitez les produits abrasifs qui peuvent rayer les finitions en aluminium laqué.
- Bois : Un simple dépoussiérage régulier. Pour un nettoyage plus profond, un chiffon à peine humide, jamais d’eau en abondance.
- Panneaux en tissu : Aspirateur avec une brosse douce ou un rouleau adhésif pour enlever poussières et poils.


Le détail qui change tout : le verre cannelé (ou strié). Cette tendance forte apporte une touche Art déco et sophistiquée à n’importe quelle verrière. Son principal atout est de laisser passer la lumière tout en floutant la vue, préservant ainsi l’intimité sans assombrir l’espace. Idéal pour séparer une chambre d’une salle de bain ou un bureau du salon.


Une étude sur le télétravail a révélé que 65% des personnes travaillant à domicile se disent régulièrement dérangées par le bruit ambiant de la maison.
Ce chiffre souligne l’importance cruciale de l’isolation acoustique pour un coin bureau. Une simple verrière ne suffit pas. Optez pour un double vitrage ou des panneaux pleins en partie basse pour créer une véritable bulle de concentration.


Envie d’une touche d’ailleurs ?
Pensez aux panneaux japonais, ou ‘Shoji’. Traditionnellement faits de papier de riz et de bois, les versions modernes utilisent des tissus techniques et des structures légères en aluminium. Ils coulissent silencieusement et diffusent une lumière douce et apaisante. Parfait pour créer une ambiance zen dans une chambre ou un espace détente.


L’erreur de débutant : négliger la planéité du sol. Pour une cloison coulissante, un sol qui n’est pas parfaitement de niveau peut entraîner un frottement, un blocage du système ou un jour inesthétique sous la porte. Avant même d’acheter, vérifiez avec un grand niveau à bulle. Si un défaut existe, un ragréage ou l’intervention d’un pro sera nécessaire.


Le budget est serré ? Pas de panique, il existe des alternatives astucieuses :
- Le rideau sur rail au plafond : Un grand classique efficace et peu coûteux. Choisissez un tissu lourd et opaque pour une meilleure isolation phonique et visuelle.
- La bibliothèque ouverte : Le modèle KALLAX d’Ikea est un champion pour délimiter sans fermer.
- Le paravent : Mobile et décoratif, il crée une séparation instantanée et sans travaux.

Le paravent, tel que nous le connaissons, n’est pas une invention européenne mais chinoise, datant de la dynastie Han (206 av. J.-C. – 220 ap. J.-C.). Son nom chinois, ‘píngfēng’, signifie littéralement ‘mur-paravent’.


Point important : La couleur du cadre. On pense souvent au noir pour les verrières, mais le blanc ou le beige peut se fondre dans un décor scandinave ou bohème, allégeant visuellement la structure. Un gris anthracite sera plus doux que le noir. N’hésitez pas à demander des échantillons pour comparer les teintes avec vos murs et votre sol.


Ne vous limitez pas aux lignes droites ! La tendance est aux formes organiques. Une cloison avec une ouverture en arche ou un panneau aux bords arrondis peut adoucir radicalement l’ambiance d’une pièce. C’est une solution sur-mesure plus coûteuse, mais qui apporte un cachet unique et une signature design forte à votre intérieur.


Option A – Panneau plein : Offre une intimité et une isolation acoustique maximales. Idéal pour créer une chambre. Inconvénient : il bloque totalement la lumière naturelle.
Option B – Panneau en polycarbonate : Plus léger et moins cher que le verre, il laisse passer une lumière diffuse qui préserve l’intimité. Parfait pour une salle de bain ou un dressing.
Le choix dépend de votre priorité : isolation totale ou luminosité.


Pour un projet sans souci, certaines marques sont des références sur le marché français. En plus des grandes surfaces de bricolage comme Leroy Merlin, explorez les catalogues de spécialistes comme :
- Sogal : Réputé pour ses portes de placard et solutions sur-mesure de qualité.
- Kazed : Offre un configurateur en ligne très pratique pour personnaliser sa cloison.
- Lapeyre : Un bon équilibre entre modèles standards et options personnalisables.


Comment obtenir une isolation phonique digne de ce nom ?
Le secret ne réside pas seulement dans l’épaisseur du panneau. Pour une isolation acoustique efficace, les joints périphériques sont cruciaux. Assurez-vous que votre modèle de cloison comporte des balais ou des joints en caoutchouc sur les côtés, en haut et en bas. Ce sont eux qui vont sceller l’espace et empêcher le son de se propager.


- Une installation rapide, souvent en une journée.
- Un coût maîtrisé avec un prix fixe.
- Aucune surprise, le résultat est conforme au modèle d’exposition.
Le secret ? Le kit prêt-à-poser. Des enseignes comme Coulidoor ou les GSB proposent des solutions standards ou semi-mesures faciles à monter soi-même si l’on est un peu bricoleur. C’est l’option idéale pour un budget maîtrisé et un projet simple.


Pensez ‘double fonction’. Une cloison n’est pas obligée d’être juste un mur. Certains modèles intègrent des étagères, une bibliothèque, voire un bureau rabattable. C’est une solution de design ultra-optimisée pour les petits espaces, où chaque centimètre carré compte. La marque Verrière sur Mesure propose ce type de projet personnalisable.


Focus Matériau : Le claustra en bois ajouré. Idéal pour une séparation purement symbolique, il délimite sans cloisonner. Il laisse passer la lumière et le regard, tout en créant un jeu d’ombres graphiques et chaleureuses. C’est la solution parfaite pour marquer l’entrée ou séparer un salon d’une salle à manger sans perdre la sensation de volume.


Pour un projet DIY, le plus simple est de créer une cloison suspendue avec des panneaux de tissu.
- Fixez un rail de rideau solide (modèle KVARTAL d’Ikea, par exemple) au plafond.
- Confectionnez des panneaux de tissu tendu en les montant sur des cadres en tasseaux de bois légers.
- Accrochez ces cadres au rail avec des galets adaptés.
Cela vous permet de changer de décor en changeant simplement le tissu !


-20 dB. C’est la réduction de bruit que l’on peut attendre d’une bonne cloison amovible acoustique. Concrètement, cela transforme le son d’une conversation animée en un simple murmure à peine perceptible.


Panneau pivotant : Une alternative originale à la porte coulissante. Un ou plusieurs grands panneaux pivotent sur un axe central ou décentré. C’est un choix très architectural et sculptural, qui demande un peu plus de débattement qu’une porte classique mais offre un effet visuel spectaculaire, ouvert comme fermé.
Une cloison peut-elle intégrer une porte ?
Absolument. Il est tout à fait possible de combiner une partie fixe (par exemple, une verrière sur un muret) avec une porte coulissante ou battante assortie. C’est une solution très courante pour créer une suite parentale en séparant la chambre du dressing ou de la salle de bain, tout en conservant une harmonie visuelle parfaite.