Poser un Chevet Suspendu Comme un Pro : Astuces, Prix et Pièges à Éviter
Transformez votre espace avec une table de nuit suspendue, alliant style et praticité. Prêt à repenser votre déco ?

Il y a quelque chose d'envoûtant à voir une chambre épurée et bien organisée. Je me souviens d’avoir découvert les tables de nuit suspendues, une solution astucieuse qui offre un mélange parfait de fonctionnalité et d'esthétisme. Imaginez un espace où chaque objet trouve sa place, tout en laissant le sol libre pour mieux respirer. C'est comme donner une nouvelle vie à votre intérieur !
Fixer un chevet suspendu : bien plus qu’une simple touche déco
Ah, le chevet suspendu… On en voit partout sur les réseaux et dans les magazines de déco, et franchement, on comprend pourquoi ! Ça donne tout de suite un look épuré et moderne à une chambre. Le gros avantage, c’est que ça libère l’espace au sol. Finie la galère pour passer l’aspirateur ou le balai en dessous ! Ça donne une impression de légèreté, comme si le meuble flottait.
Contenu de la page
- Fixer un chevet suspendu : bien plus qu’une simple touche déco
- Comprendre ce qui se passe dans le mur (promis, c’est simple)
- La pose étape par étape : les gestes qui sauvent
- DIY ou faire appel à un pro ? Soyons honnêtes
- Que faire si… ? Le petit guide de dépannage
- La sécurité avant tout : la règle d’or
- Galerie d’inspiration
Souvent, on se focalise sur le résultat final : ce petit meuble élégant, parfaitement aligné à côté du lit. Mais attention ! Derrière cette apparente simplicité se cache un peu de physique. Une fixation solide, c’est la base de tout, et ce n’est pas à prendre à la légère.
D’ailleurs, petite anecdote de chantier : j’ai déjà dû intervenir en urgence chez quelqu’un qui avait fixé un magnifique chevet en chêne massif… dans du Placo avec des chevilles en plastique basiques. Résultat ? En pleine nuit, un grand « CRAC » ! Le chevet, la lampe, le réveil, tout s’est retrouvé par terre. Heureusement, plus de peur que de mal. Mais ça illustre parfaitement pourquoi la pose d’un meuble suspendu, ça ne s’improvise pas.

Allez, je vous partage mes techniques et astuces de pro, celles qu’on apprend sur le terrain. On va voir comment choisir les bonnes fixations, comment « lire » votre mur, et les petits secrets qui garantissent un résultat non seulement beau, mais surtout SÉCURISÉ.
Comprendre ce qui se passe dans le mur (promis, c’est simple)
Avant même de sortir la perceuse, il faut visualiser les forces en jeu. Si vous pigez ça, vous avez déjà fait la moitié du boulot.
Cisaillement vs Arrachement : le duel des forces
Imaginez que vous portez un sac de courses bien lourd. La anse tire vos doigts vers le bas. C’est le cisaillement. C’est la force verticale, le poids direct du chevet et de ce que vous posez dessus (la pile de livres, le téléphone, la tasse de tisane…).
Maintenant, imaginez que ce sac est au bout d’une planche que vous tenez contre un mur. La planche va essayer de basculer, de s’écarter du mur. Ça, c’est l’arrachement. C’est une force de traction qui tire la fixation vers l’extérieur. Et c’est SOUVENT cette force, la plus sournoise et la plus sous-estimée, qui cause les accidents. Une cheville peut très bien résister au poids, mais céder lamentablement à l’arrachement si elle n’est pas adaptée.

Votre mur : votre meilleur ami ou votre pire cauchemar
La solidité de votre installation dépend à 80 % du mur. C’est la première chose à identifier. Un petit trou de test dans un coin discret (derrière un meuble, par exemple) peut vous dire beaucoup de choses. Regardez la poussière :
- Blanche et fine : C’est du plâtre ou du Placo.
- Rouge ou orange : C’est de la brique.
- Grise et granuleuse : C’est du béton.
Voici un petit tableau récapitulatif pour y voir plus clair :
Type de Mur | Solution Idéale | Difficulté | Poids Indicatif |
---|---|---|---|
Mur plein (béton, parpaing plein) | Cheville nylon de qualité / Goujon d’ancrage / Scellement chimique | Facile | 50 kg et + |
Mur creux (Placo, brique creuse) | Cheville métallique à expansion (type Molly) | Moyenne | 15-20 kg max |
Mur friable ou ancien (pierre, mâchefer) | Scellement chimique OBLIGATOIRE | Difficile | Très élevé (limité par le meuble) |
Poids total pour un chevet standard, incluant le meuble et son contenu.
La pose étape par étape : les gestes qui sauvent
Une fois le mur identifié, on passe à l’action. La précision est la clé. Comptez entre 2 et 3 heures pour une pose soignée si vous êtes un peu bricoleur.
Étape 1 : Le traçage parfait
LA question que tout le monde se pose : à quelle hauteur le fixer ? Une bonne règle de base est d’aligner le dessus du chevet avec le dessus de votre matelas. C’est à la fois esthétique et pratique pour attraper votre téléphone ou votre livre.

Avant de percer, utilisez un détecteur de matériaux (un petit boîtier qui coûte entre 20€ et 50€ chez Castorama ou Leroy Merlin) pour repérer les montants métalliques ou les gaines électriques. C’est un petit investissement qui peut vous éviter une catastrophe. Si vous pouvez visser dans un montant, c’est le jackpot en termes de solidité !
Ensuite, avec un mètre, un crayon et un bon niveau à bulle, marquez l’emplacement des trous de fixation. Une erreur d’un millimètre ici se verra à la fin, alors prenez votre temps.
Étape 2 : Le bon outil pour le bon mur
C’est le moment crucial. Voici les solutions que j’utilise tout le temps :
- Pour le Placo : La reine incontestée, c’est la cheville métallique à expansion (type Molly). Oubliez les trucs en plastique ! La Molly s’expanse derrière la plaque avec une pince spéciale (entre 15€ et 30€) et répartit la charge. C’est imbattable contre l’arrachement.
Petit conseil : le diamètre de perçage est toujours plus grand que la vis. Pour une cheville de 4 mm, il faut souvent un foret de 8 mm. C’est marqué sur la boîte, mais on oublie vite de vérifier ! - Pour les murs pleins (béton) : Une cheville en nylon de bonne marque suffit pour un chevet léger. Pour du lourd, un goujon d’ancrage est top. L’important est de bien dépoussiérer le trou avant d’insérer la cheville.
- Pour les murs friables : Le scellement chimique est la seule option vraiment fiable. On perce un trou un peu plus large, on nettoie PARFAITEMENT (brosse métallique + soufflette), on injecte une résine bi-composant, on insère une tige filetée et on laisse prendre. Attention ! Lisez bien la notice, le temps de séchage complet est souvent de 24 heures avant de pouvoir y fixer quoi que ce soit. C’est non négociable.

Étape 3 : Le système d’accroche du meuble
Ma méthode préférée, et de loin, c’est le tasseau à coupe d’onglet (ou « French Cleat » en anglais). C’est d’une simplicité et d’une efficacité redoutables. Le principe ? Deux tasseaux de bois coupés en biseau à 45°. L’un est fixé au mur (biseau vers le haut), l’autre à l’arrière du chevet (biseau vers le bas). Le meuble vient simplement s’emboîter sur le tasseau mural. La charge est répartie sur toute la longueur, c’est ultra solide et ça permet même un petit ajustement latéral. C’est vraiment la technique des pros.
DIY ou faire appel à un pro ? Soyons honnêtes
Fixer un petit chevet sur du Placo avec des chevilles Molly, c’est tout à fait faisable pour un bricoleur un peu soigneux. Par contre, si votre chevet pèse plus de 15 kg, que votre mur est ancien ou que vous n’êtes pas sûr de vous, ne prenez aucun risque. L’intervention d’un pro (comptez entre 80€ et 150€ pour ce genre de pose) vous coûtera toujours moins cher qu’un mur à réparer et un meuble cassé.

Votre liste de courses pour un projet simple (sur Placo) :
- Un niveau à bulle (env. 10-25€)
- Un mètre ruban et un crayon
- Un détecteur de matériaux (20-50€)
- Une perceuse-visseuse
- Un foret métal du bon diamètre
- Des chevilles Molly adaptées (la boîte de 10 coûte env. 5-10€)
- Une pince à expansion pour chevilles Molly (15-30€)
- Des lunettes de sécurité et un masque anti-poussière !
Que faire si… ? Le petit guide de dépannage
- …le mur s’effrite quand je perce ? STOP ! N’insistez pas. C’est un mur friable. Agrandissez un peu le trou, nettoyez et rebouchez avec un bon enduit. Une fois sec, percez à nouveau. Si ça recommence, passez au scellement chimique.
- …ma vis tourne dans le vide dans la cheville Molly ? Un grand classique ! Ça veut dire que la cheville ne s’est pas assez expansée derrière la plaque. Il faut la retirer (c’est un peu pénible) et en mettre une nouvelle, en vous assurant de bien serrer avec la pince cette fois.
- …mon chevet n’est pas droit ? Si vous avez utilisé un tasseau à coupe d’onglet, vous pouvez le faire glisser un peu latéralement. Si l’inclinaison est verticale, c’est que les trous n’étaient pas parfaitement de niveau. La seule solution propre : reboucher un trou et le refaire. D’où l’importance du traçage !

La sécurité avant tout : la règle d’or
On ne rigole pas avec ça. Un meuble qui tombe peut vraiment faire mal. Pour vous donner une idée, 15 kg, c’est le poids de 15 bouteilles d’eau d’un litre. Ça va vite ! Sur du Placo avec deux bonnes chevilles Molly, ne dépassez JAMAIS cette charge (poids du meuble + contenu). Dans le doute, optez toujours pour la solution de fixation la plus robuste possible.
Voilà, vous avez toutes les clés en main. Ces conseils sont issus de l’expérience, mais chaque mur a sa propre histoire. Si vous avez le moindre doute, faites appel à un artisan. Votre sécurité et la tranquillité de votre sommeil n’ont pas de prix !
Galerie d’inspiration


Pour un confort visuel et pratique optimal, la surface supérieure de votre chevet suspendu doit arriver juste au niveau du dessus de votre matelas, ou 5 cm plus haut au maximum. Cela vous permet d’attraper votre téléphone ou un verre d’eau sans effort, même à moitié endormi. Prenez la mesure une fois votre lit fait, avec la couette.


- Un détecteur de montants : l’outil indispensable pour localiser les ossatures en bois ou en métal dans une cloison en Placo.
- Un niveau à bulle : un modèle d’au moins 40 cm est idéal pour garantir une horizontalité parfaite.
- Une perceuse-visseuse à percussion : pour s’adapter à tous les types de murs, du plâtre au béton.
- Des forets adaptés : un foret à bois, à métal ou à béton selon la nature de votre mur.

Le piège de la symétrie : Vous avez deux chevets suspendus identiques ? Ne vous contentez pas de mesurer la même hauteur depuis le sol. Les sols ne sont que très rarement parfaitement droits ! Utilisez un grand niveau à bulle ou un niveau laser pour tracer une ligne de référence d’un côté à l’autre du lit. C’est le seul moyen de garantir que vos deux chevets seront visuellement alignés.


Saviez-vous que les panneaux de fibres à densité moyenne (MDF) peuvent libérer des composés organiques volatils (COV), dont du formaldéhyde ?
Lors de l’achat d’un chevet en MDF, privilégiez les modèles portant la mention E1 ou, mieux encore, E0.5 (ou CARB P2), qui garantissent un très faible taux d’émission. Une bonne ventilation de la chambre les premiers jours est aussi une excellente habitude.


Fatigué du look symétrique ? Osez dépareiller vos chevets pour une chambre pleine de caractère. L’harmonie se crée par un rappel de matière, de couleur ou de forme.
- Associez un chevet suspendu cubique comme le modèle ‘Kwarto’ de Miliboo avec un tabouret rond en bois brut de l’autre côté.
- Mélangez un chevet avec tiroir et une simple tablette minimaliste.
- Jouez sur les hauteurs pour un effet dynamique.

Question pratique : comment cacher les fils de la lampe de chevet et du chargeur ?
La solution la plus élégante consiste à faire une saignée dans le mur, mais c’est un gros chantier. Plus simple : utilisez une goulotte extra-plate de la couleur de votre mur, que vous placerez juste sous le chevet. Autre astuce : optez pour une lampe nomade rechargeable (comme les modèles Balad de Fermob) ou un chevet avec chargeur à induction intégré, éliminant ainsi le besoin de câble visible.


Chêne massif : Incontournable pour sa robustesse et la beauté de son grain. Idéal pour un style scandinave ou rustique. Il est plus lourd, ce qui exige des fixations irréprochables. Des marques comme Tikamoon en ont fait leur spécialité.
MDF laqué : Parfait pour un look design, moderne et épuré. Disponible dans une infinité de couleurs, il est plus léger et souvent moins cher. Attention cependant aux éclats sur les finitions laquées brillantes.
Le choix dépendra de votre style et de la solidité de votre mur.


Un chevet suspendu peut coûter de 30 € pour un simple cube chez une grande enseigne à plus de 800 € pour une pièce de designer en bois noble.
Cette différence s’explique par la qualité des matériaux (bois massif vs. aggloméré), la complexité du design (un simple cube vs. un modèle avec tiroir à fermeture amortie), le lieu de fabrication et la notoriété de la marque. Définissez votre budget, mais ne lésinez jamais sur le coût des chevilles de fixation !

- Crée une ambiance feutrée et chic, digne d’un hôtel de luxe.
- Met en valeur la texture de votre mur (brique, papier peint…).
- Sert de veilleuse discrète pour se lever la nuit.
Le secret ? Un simple ruban LED autocollant dissimulé sous le chevet. Choisissez une teinte blanc chaud (autour de 2700K) et branchez-le sur une prise connectée pour le piloter à la voix ou avec votre smartphone.


La tendance est au relief ! Le bois cannelé, avec ses fines rainures verticales, apporte une touche Art déco et sophistiquée au plus simple des designs. Sur un chevet suspendu, il accroche la lumière et ajoute une dimension tactile et graphique. On le retrouve sur des modèles chez La Redoute Intérieurs ou NV Gallery, souvent en noyer ou en manguier teinté.


- Bois huilé : Ne jamais utiliser de détergent. Un chiffon microfibre légèrement humide suffit. Réappliquer une fine couche d’huile de lin ou d’huile spécifique une fois par an pour le nourrir.
- Finition laquée : Un chiffon doux et un peu d’eau savonneuse (savon noir ou de Marseille) viendront à bout des traces de doigts. Essuyez bien avec un chiffon sec pour éviter les traces.
- Métal : Un simple dépoussiérage régulier. Pour le métal brossé, frottez dans le sens du brossage.

Le poids, c’est l’ennemi : Un chevet suspendu n’est pas une bibliothèque ! Respectez scrupuleusement la charge maximale indiquée par le fabricant du meuble ET par le fabricant des chevilles. Souvenez-vous que le poids d’une pile de livres, d’un ordinateur portable et d’une lampe s’additionne vite. Dans le doute, sous-estimez toujours ce que vous comptez y poser.


« Less but better. » (Moins mais mieux.) – Dieter Rams
Cette philosophie du célèbre designer s’applique parfaitement au chevet suspendu. En libérant l’espace au sol, il incarne ce principe en éliminant le superflu visuel. Il nous force à ne garder près de nous que l’essentiel pour la nuit : un livre, une lumière, un verre d’eau. C’est un pas vers une chambre plus sereine et moins encombrée.

Et si mon mur n’est pas droit ?
C’est un problème fréquent dans les logements anciens. Si le chevet bascule légèrement, ne forcez pas le serrage des vis, vous risqueriez de l’abîmer ou d’arracher la fixation. La solution est d’insérer de petites cales (en bois, en plastique ou même en carton plié) entre le meuble et le mur, au niveau des points de fixation, pour compenser le jeu avant de visser définitivement.


Pour un projet DIY réussi, la base est souvent une simple tablette ou un caisson. Le secret, c’est la personnalisation.
- Ajoutez une poignée en cuir pour une touche scandinave chic et chaleureuse.
- Peignez l’intérieur du caisson d’une couleur vive pour un effet de surprise.
- Fixez une fine plaque de laiton ou de cuivre sur le dessus pour un look plus sophistiqué.


Le cube EKET d’IKEA : C’est la base parfaite pour un chevet suspendu DIY et économique. Vendu avec son rail de suspension, il est facile à monter et à fixer. Mesurant 35x35x35 cm, sa taille est idéale.
L’alternative La Redoute Intérieurs : Des modèles comme ‘Adelita’ en pin massif ou ‘Hiba’ en métal et bois offrent un design plus recherché, souvent avec un tiroir, pour un budget qui reste maîtrisé.
Le premier pour la simplicité et le budget, le second pour le style et la fonctionnalité.

Selon une étude de la FMB (Fédération des Magasins de Bricolage), plus de 8 Français sur 10 déclarent bricoler.
Créer son propre chevet suspendu s’inscrit pleinement dans cette tendance. Ce n’est pas seulement une question d’économie. C’est le plaisir de concevoir un objet unique, parfaitement adapté à ses dimensions, à son style et à ses besoins. Une simple planche de chêne brut coupée sur mesure et deux équerres discrètes peuvent avoir plus de cachet qu’un meuble acheté.


- Elles adoucissent les lignes d’une chambre très angulaire.
- Elles évoquent un sentiment de douceur et de cocon.
- Elles sont moins dangereuses en cas de choc nocturne !
Leur atout ? Le design organique. Les formes arrondies ou ovales pour un chevet suspendu sont une tendance forte, apportant une touche de poésie et de fluidité à l’espace nuit.


Erreur classique : choisir un chevet suspendu avec tiroir sans penser à son ouverture. Assurez-vous qu’il y a assez d’espace entre le chevet et le lit pour que le tiroir puisse s’ouvrir complètement. Pensez aussi aux obstacles potentiels comme le cadre de lit ou une couette épaisse.

Cheville Molly : La star du Placo (BA13). Son principe d’expansion en parapluie derrière la plaque répartit la charge sur une grande surface. Indispensable pour une fixation solide dans le vide.
Cheville à scellement chimique : L’artillerie lourde pour les murs creux (brique, parpaing) ou friables. Une résine injectée dans le trou durcit autour de la tige filetée pour une solidité à toute épreuve. C’est la solution de sécurité ultime.


Chaque année, l’équivalent de la surface de l’Italie en forêt disparaît dans le monde.
Lorsque vous choisissez un chevet en bois, ayez le réflexe de vérifier la présence des labels FSC ou PEFC. Ces certifications garantissent que le bois provient de forêts gérées de manière durable, luttant ainsi contre la déforestation et préservant la biodiversité. Un petit logo pour un grand impact.


L’esthétique épurée du chevet suspendu est une signature du style Japandi, cette fusion entre le minimalisme japonais et la chaleur du design scandinave. Pour parfaire ce look :
- Choisissez un modèle en bois clair et aux lignes simples.
- Associez-le à du linge de lit en lin lavé dans des tons neutres (beige, grège, blanc cassé).
- Posez dessus un unique objet : un bol en céramique artisanale ou une petite lampe en papier de riz.

Un modèle design, est-ce un investissement judicieux ?
Au-delà de l’esthétique, un chevet de créateur est souvent un gage de qualité des matériaux et de finitions impeccables (tiroirs sur coulisses invisibles, vernis ultra-résistant…). C’est aussi une pièce qui peut prendre de la valeur avec le temps si le designer est reconnu. C’est un choix pour ceux qui voient leurs meubles non comme des objets de consommation, mais comme des éléments durables de leur patrimoine personnel.


Point crucial : Le choix des vis ! Leur longueur doit être calculée ainsi : épaisseur du support de fixation du chevet + épaisseur de l’enduit/Placo + longueur de la partie qui s’ancre dans le mur plein (au moins 4-5 cm pour un mur porteur). Des vis trop courtes n’assureront pas la solidité, surtout à l’arrachement.
Vous rêvez d’une ambiance d’hôtel 5 étoiles ? Le chevet suspendu est votre meilleur allié. Il est le point de départ d’une atmosphère luxueuse et sereine.
- Optez pour un modèle sombre, en noyer ou en métal noir.
- Installez une liseuse design orientable directement au mur, juste au-dessus.
- Posez un petit plateau pour y déposer vos bijoux et votre montre la nuit.
- Ne surchargez pas : un livre, une petite bouteille d’eau en verre, et c’est tout.