Créer une chambre dans son salon : Le guide complet pour ne pas se tromper
Découvrez comment transformer votre espace de vie en un lieu stylé et fonctionnel grâce à des séparations astucieuses.

La manière dont nous organisons nos espaces peut changer toute l'atmosphère d'une pièce. En tant qu'amoureuse du design, j'ai toujours cherché des solutions innovantes pour délimiter les zones sans sacrifier le style. Que diriez-vous d'un paravent artistique ou d'une verrière élégante ? Ces options créatives apportent à la fois fonctionnalité et esthétique à votre intérieur.
C’est LA question qui revient tout le temps, que ce soit dans un petit studio en ville ou un loft qu’on veut mieux agencer : comment créer un vrai coin nuit dans le salon ? Avec des années d’expérience dans l’aménagement, je peux vous dire que c’est bien plus qu’une simple question de déco. On parle de fonctionnalité, de lumière, et surtout, de tranquillité.
Contenu de la page
- Avant de commencer : les questions qui sauvent un projet
- Les solutions fixes : pour créer une vraie pièce en plus
- Les options semi-fixes : le bon compromis
- Les solutions mobiles : la flexibilité au quotidien
- Alors, on choisit quoi ? Le récap’ pour y voir clair
- 1 : le SILENCE. Foncez sur la cloison en placo phonique, c’est la seule solution vraiment efficace. Vous sacrifierez la lumière, sauf si vous l’associez à une porte vitrée ou une petite partie en verre. Priorité
- 3 : le BUDGET. Si vous êtes bricoleur, une claustra faite maison ou une cloison en placo sont les plus abordables. La bibliothèque-séparateur est aussi une option économique si vous en avez déjà une. Priorité
- Avant de signer avec un artisan : les 3 questions à poser
- Galerie d’inspiration
Franchement, oubliez les solutions miracles des magazines. Une bonne séparation, c’est une solution réfléchie qui répond à vos vrais besoins. Avez-vous besoin de vous isoler du bruit de la télé ? De garder un maximum de lumière naturelle ? Quel est votre budget ?
Dans ce guide, je vous partage tout ce que j’ai appris sur le terrain. Pas de blabla technique, que du concret pour vous aider à choisir la solution qui va vraiment changer votre quotidien.
Avant de commencer : les questions qui sauvent un projet
Avant même de penser à une verrière ou un paravent, on sort le mètre et un carnet. Un bon diagnostic, c’est 50% du travail de fait. C’est la première chose que je fais avec chaque client.

La lumière : votre bien le plus précieux
La première chose à regarder, c’est la lumière naturelle. D’où vient-elle ? Si vous n’avez qu’une seule fenêtre pour toute la pièce, une cloison pleine est une très mauvaise idée. Vous allez vous retrouver avec une chambre-cave et un salon assombri. Bonjour la facture d’électricité et le moral en berne…
Petite astuce : prenez un grand carton ou un drap, et tenez-le à l’endroit de la future cloison. Observez comment la lumière bouge au fil de la journée. C’est tout bête, mais ça vous donnera une idée très claire de l’impact. Si la lumière est rare, les solutions vitrées ou ajourées sont vos meilleures amies.
Le son : le vrai défi de l’intimité
Une chambre, c’est un refuge. Et le bruit est son pire ennemi. Une séparation juste visuelle ne suffit pas. Imaginez le scénario : l’un veut dormir, l’autre veut regarder un film. Si on entend tout, à quoi bon ? J’ai vu des gens dépenser une fortune dans une superbe verrière pour se rendre compte qu’ils n’avaient aucune intimité sonore. Grosse déception.

Pour une vraie tranquillité, il faut viser une solution avec une bonne isolation phonique, comme une cloison ou une porte de qualité.
La structure et la sécurité : le point non négociable
Attention, on ne peut pas installer n’importe quoi n’importe où. Dans un immeuble ancien, les planchers sont souvent en bois et peuvent ne pas supporter le poids d’une lourde verrière en acier. Les plafonds en plâtre sont fragiles, il faut se fixer dans les poutres (solives), pas juste dans le plâtre ! Dans le neuf, les dalles en béton sont plus robustes, mais méfiez-vous du chauffage au sol qui interdit de percer partout. En cas de doute pour une installation lourde, l’avis d’un pro n’est jamais de l’argent jeté par les fenêtres.
L’aération : le détail qu’on oublie tout le temps !
Voilà l’erreur de débutant par excellence. Créer une pièce fermée sans fenêtre, c’est aussi créer une boîte sans renouvellement d’air. Résultat ? Humidité, condensation, et un air de mauvaise qualité. Pas top pour bien dormir ! Si votre nouvelle chambre est aveugle, il est INDISPENSABLE de penser à la ventilation. La solution la plus courante est de connecter une bouche d’extraction à la VMC existante du logement. Si ce n’est pas possible, il existe des aérateurs individuels. Ne zappez pas cette étape, votre santé est en jeu.

Bon à savoir : le point légal
Officiellement, pour qu’une pièce soit considérée comme une « chambre » (notamment pour la location ou la revente), elle doit généralement faire au moins 9m² et avoir une ouverture sur l’extérieur (fenêtre). Si votre coin nuit ne remplit pas ces critères, il s’agit d’un « espace nuit » ou d’un « bureau », mais pas d’une chambre au sens strict. C’est un détail, mais il a son importance !
Les solutions fixes : pour créer une vraie pièce en plus
Ici, on parle d’un investissement plus conséquent pour un résultat durable et très qualitatif. C’est l’idéal si vous cherchez une isolation et une séparation nette.
La verrière d’atelier : la star incontestée
Elle est partout, et pour cause : elle délimite sans assombrir et donne un cachet fou. Mais attention, toutes les verrières ne se valent pas.
- Matériaux : La vraie verrière d’artisan est en acier, avec des profils fins et solides. C’est le top, mais c’est cher. L’aluminium est une bonne alternative, un peu moins cher et plus léger. Fuyez les imitations en bois qui finissent toujours par travailler et se fissurer.
- Vitrage : Pour la sécurité, on exige du verre feuilleté (type 33.2). S’il casse, les morceaux restent collés. C’est une norme. Pour plus d’intimité, le verre dépoli, texturé ou cannelé est parfait.
- Le budget : Soyons clairs. Pour une verrière en acier sur mesure, posée par un pro, comptez entre 800€ et 1500€ le m². Oui, c’est un investissement, mais ça valorise énormément un appartement.

La cloison en plaques de plâtre avec isolant
C’est la solution championne de l’isolation acoustique. Moins chère qu’une verrière, mais elle bloque la lumière si elle est pleine. On monte une ossature métallique, on insère un isolant (la laine de roche est excellente pour le son), et on visse des plaques de plâtre de chaque côté. Pour une isolation au top, utilisez des plaques acoustiques (souvent de couleur bleue) et posez une bande résiliente sous les rails pour couper les vibrations. C’est un détail qui change tout !
Idée de budget matériaux pour une cloison de 3m x 2,5m (7,5 m²) :
- Rails et montants : environ 70€
- Plaques de plâtre acoustiques : environ 100€
- Isolant laine de roche : environ 60€
- Vis, bandes, enduit… : environ 40€
Total matériaux : autour de 270€. Posée par un professionnel, comptez entre 60€ et 90€ le m², finitions comprises. Prévoyez 2 à 3 jours de travail.

Les options semi-fixes : le bon compromis
Moins de travaux, pour une séparation plus visuelle que phonique. Parfait pour délimiter sans enfermer.
La claustra : l’élégance ajourée
Une paroi faite de tasseaux de bois, c’est hyper tendance et ça filtre joliment la lumière. En pin pour un petit budget, en chêne pour un rendu intemporel. L’espacement des tasseaux est la clé : testez avec 3 ou 4 avant de tout fixer pour trouver le bon équilibre entre intimité et luminosité.
Mini-guide : votre claustra pour les nuls en bricolage 1. Mesurez la hauteur exacte sol-plafond à plusieurs endroits. 2. Coupez vos tasseaux (section 4x3cm par exemple) à la bonne dimension. 3. Fixez un premier tasseau bien droit au mur avec des équerres. 4. Utilisez une cale de bois de la largeur souhaitée pour positionner le tasseau suivant, et fixez-le au sol et au plafond avec de petites équerres discrètes. 5. Répétez l’opération ! C’est un peu long, mais très gratifiant.

La bibliothèque ouverte : la solution 2-en-1
Elle sépare et elle range, c’est malin ! Mais s’il vous plaît, la sécurité d’abord. Une bibliothèque haute doit être impérativement fixée au mur, au sol ou au plafond. J’ai déjà vu une étagère s’écrouler sous le poids des livres… un petit drame évité de justesse. Quelques équerres discrètes peuvent sauver vos meubles (et vos invités).
Les solutions mobiles : la flexibilité au quotidien
Idéal pour les petits espaces qui doivent se transformer au fil de la journée.
Les portes coulissantes : discrètes et efficaces
Il y a deux écoles. Le système en applique, où le rail est visible et la porte glisse le long du mur. C’est simple et moins cher, mais ça condamne un pan de mur. Et le système à galandage, où la porte disparaît dans la cloison. C’est la solution la plus propre, mais c’est un vrai chantier qui demande souvent un pro. Un bon système à galandage seul coûte déjà entre 300€ et 700€, sans compter la porte et la pose.

Les panneaux japonais et le paravent
Les panneaux japonais sont des panneaux de tissu qui coulissent sur des rails. C’est très élégant pour une séparation visuelle, mais l’isolation phonique est proche de zéro. Le paravent, c’est la solution zéro travaux, parfaite pour masquer un bureau le soir. Choisissez un modèle assez lourd pour qu’il ne bascule pas au premier courant d’air.
Alors, on choisit quoi ? Le récap’ pour y voir clair
Oublions les tableaux compliqués, parlons simplement. Pour faire votre choix, tout dépend de votre priorité numéro une.
- Priorité
1 : le SILENCE. Foncez sur la cloison en placo phonique, c’est la seule solution vraiment efficace. Vous sacrifierez la lumière, sauf si vous l’associez à une porte vitrée ou une petite partie en verre.
- Priorité
2 : la LUMIÈRE. La verrière est la reine, sans hésitation. Le son passera un peu, et le budget est élevé, mais l’effet est spectaculaire. La claustra est une excellente alternative, plus économique et chaleureuse, mais avec zéro isolation sonore.
- Priorité
3 : le BUDGET. Si vous êtes bricoleur, une claustra faite maison ou une cloison en placo sont les plus abordables. La bibliothèque-séparateur est aussi une option économique si vous en avez déjà une.
- Priorité
4 : la FLEXIBILITÉ. Les portes coulissantes sont un super compromis. Les panneaux japonais et le paravent sont parfaits si vous voulez une solution modulable et légère, sans travaux.

Avant de signer avec un artisan : les 3 questions à poser
Vous avez trouvé un pro ? Super ! Pour éviter les mauvaises surprises, posez-lui ces trois questions :
- Pour une verrière : « Utilisez-vous bien du verre de sécurité feuilleté, comme le demande la norme ? »
- Pour n’importe quelle installation : « Mes murs et mon sol ne sont pas parfaitement droits. Comment comptez-vous gérer ça pour un résultat impeccable ? »
- La question essentielle : « Avez-vous bien une assurance responsabilité civile professionnelle et une garantie décennale à jour ? »
Un bon artisan répondra à ces questions sans hésiter. Si les réponses sont floues… méfiance !
Au final, la meilleure séparation est celle qui s’intègre si bien à votre espace et à votre façon de vivre que vous finirez par l’oublier. Prenez le temps de bien peser le pour et le contre, et votre projet sera une vraie réussite.

Galerie d’inspiration



Au-delà de l’aspect pratique, délimiter un espace nuit a un impact psychologique fort. Le cerveau associe ce nouvel espace sanctuarisé au repos, favorisant un sommeil plus profond et une déconnexion plus nette avec les activités du salon (travail, écrans, repas). C’est un investissement pour votre bien-être mental.


Selon une étude de l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance, un environnement de sommeil sombre, silencieux et dédié peut améliorer la qualité du sommeil de plus de 25%. Créer une séparation physique est le premier pas vers ce sanctuaire.


Une verrière, oui, mais laquelle ?
Pour concilier lumière et intimité, oubliez le verre transparent classique. Le verre cannelé (ou strié) est la tendance du moment : il floute la vue tout en laissant passer une lumière douce et diffuse. Autre option chic : le verre armé, pour un look industriel authentique, ou le verre sablé pour un effet plus doux et uniforme.


Le défi des locataires : séparer sans percer.
- Les claustras ou paravents autoportants sont vos meilleurs alliés. Des marques comme La Redoute Intérieurs en proposent de très esthétiques.
- Les systèmes de fixation par pression, avec des vérins entre le sol et le plafond, permettent d’installer une structure solide sans une seule vis.
- Pensez aux bibliothèques hautes et étroites (comme le modèle IVAR de IKEA en pin brut, à peindre) qui font d’excellentes cloisons réversibles.


Claustra en bois : Ajouré et chaleureux, il laisse passer la lumière et crée un filtre visuel élégant, parfait pour un style scandinave ou Japandi.
Paravent en tissu : Léger, mobile et économique. Idéal pour une solution flexible. Choisissez un velours lourd pour une meilleure isolation phonique et une ambiance cosy.
Notre conseil : le claustra pour une séparation durable, le paravent pour une solution d’appoint ou un budget serré.


Ne sous-estimez pas le pouvoir d’un tapis ! Utiliser un grand tapis pour délimiter visuellement la zone salon et un autre, plus cosy (type shaggy ou imitation peau de mouton), dans le coin nuit, permet d’ancrer chaque espace. Cette astuce simple unifie le sol tout en créant deux ambiances distinctes.


- Une ambiance chaleureuse et naturelle.
- Une excellente absorption acoustique.
- Un matériau écologique et original.
Le secret ? Une cloison en panneaux de liège ! Facile à installer, elle permet aussi de servir de grand tableau d’affichage pour vos inspirations.


L’erreur à éviter : Oublier la ventilation. Une chambre sans fenêtre peut vite devenir étouffante. Si votre cloison est pleine, assurez-vous de laisser une ouverture en hauteur (une imposte vitrée, par exemple) ou d’installer une VMC si les travaux le permettent. La qualité de l’air est aussi importante que l’intimité.


Le saviez-vous ? Les portes coulissantes traditionnelles japonaises, les *Fusuma* (opaques) et *Shoji* (translucides), sont l’inspiration originelle de nos cloisons légères. Elles optimisent l’espace depuis des siècles en étant à la fois porte et mur.


Pensez multifonction ! Une bibliothèque ouverte comme la KALLAX d’IKEA est un classique, mais pour un rendu plus premium, regardez du côté des systèmes modulaires comme String Furniture. Ils permettent d’intégrer des étagères, un bureau rabattable ou des caissons fermés, transformant votre séparation en un meuble de rangement ultra-optimisé.


Comment gérer l’électricité dans le nouvel espace ?
C’est un point crucial à anticiper. Pour la liseuse ou le chargeur de téléphone, prévoyez une multiprise discrète le long de la cloison. Pour un éclairage intégré, certaines cloisons comme celles de la marque Placo permettent de faire passer des gaines électriques à l’intérieur. Sinon, une applique murale à bras déporté fixée sur un mur adjacent peut élégamment éclairer le coin nuit.


Point important : La hauteur de la cloison. Une séparation qui ne monte pas jusqu’au plafond conserve une sensation de volume et laisse l’air et la lumière circuler sur toute la surface. Une cloison à mi-hauteur (environ 1m20) suffit à cacher le lit tout en gardant une vision d’ensemble. Parfait pour les petites surfaces.


La tendance est aux formes douces. Fini les angles stricts, les cloisons s’arrondissent. Une arche pour marquer le passage, une verrière avec des vitres en demi-cercle ou un paravent aux lignes sinueuses apportent une touche poétique et organique qui casse la rigidité des petits espaces.


- Budget mini (< 150€) : Un système de rail de rideau au plafond. Le modèle VIDGA de IKEA est très modulable.
- Budget moyen (300-800€) : Une bibliothèque-cloison ou un claustra en bois prêt-à-poser.
- Budget confort (> 1000€) : Une verrière sur-mesure ou une cloison coulissante installée par un professionnel.


Panneaux japonais : Des bandes de tissu verticales qui coulissent sur des rails. Ils offrent un look contemporain et structuré, et permettent de moduler facilement l’ouverture.
Rideau classique : Plus souple et chaleureux, il crée une ambiance boudoir. Idéal pour une séparation totale une fois tiré.
Le choix dépend de l’esthétique : graphique et minimaliste pour les panneaux, doux et romantique pour le rideau.


Pour un effet


« Le luxe ultime dans un petit espace n’est pas un matériau cher, mais une circulation fluide. Chaque centimètre compte. » – Jean-Louis Deniot, architecte d’intérieur.
Avant de fixer votre cloison, simulez vos trajets quotidiens : du lit à la salle de bain, du canapé à la cuisine. Laissez au minimum 70 cm de passage pour ne pas vous sentir à l’étroit.


Et si la cloison devenait un jardin vertical ? Certaines structures ajourées sont parfaites pour y suspendre des plantes grimpantes (pothos, philodendron). C’est une façon vivante et originale de séparer les espaces, tout en purifiant l’air de la pièce.


L’astuce du miroir : Placer un grand miroir sur la face de la cloison côté salon est une technique redoutable. Il réfléchit la lumière, double visuellement la perception de l’espace et efface la présence du mur. L’impression d’avoir perdu des mètres carrés s’envole instantanément.


Créez une rupture visuelle forte en utilisant la couleur. Peignez le mur du fond de l’alcôve (la tête de lit) dans une teinte profonde et enveloppante comme un bleu nuit, un vert forêt ou un terracotta. Le reste de la pièce peut rester dans des tons clairs. Cet accent de couleur suffit à matérialiser l’espace nuit comme un cocon protecteur.


- Une isolation phonique supérieure au verre simple.
- Une sécurité renforcée (difficile à briser).
- Un coût souvent inférieur de 20 à 30%.
Le secret ? Le polycarbonate. Ce matériau plastique, disponible en version transparente ou alvéolaire, est une alternative maligne au verre pour une verrière légère, économique et performante.


Envie d’une séparation bohème et économique ?
Le paravent en macramé ou la cloison en cordes sont des projets DIY parfaits. Il vous suffit d’un tasseau de bois fixé au plafond (ou d’une tringle à rideau) et de plusieurs longueurs de corde de coton ou de jute. Nouées ou simplement suspendues, elles créent un filtre poétique et léger pour une fraction du prix d’une cloison classique.


Bibliothèque ouverte : Elle laisse le regard et la lumière circuler, idéale pour ne pas tasser l’espace. Parfait pour exposer de beaux objets.
Bibliothèque avec fond : Elle offre une vraie séparation visuelle et une meilleure isolation phonique. Son dos peut être peint ou tapissé pour décorer le côté chambre.
Le choix dépend de votre priorité : la sensation d’espace ou l’intimité.


8m². C’est la surface minimum recommandée par la loi Carrez pour qu’une pièce soit considérée comme une chambre. Même si votre coin nuit est plus petit, viser cette dimension lors de la conception garantit un espace fonctionnel où un lit et un petit rangement peuvent cohabiter sans se sentir à l’étroit.

Pour un entretien facile, surtout sur une verrière, le secret est un mélange d’un tiers de vinaigre blanc et deux tiers d’eau chaude, avec quelques gouttes de liquide vaisselle. Vaporisez, passez une raclette en caoutchouc, puis essuyez les bords avec un chiffon microfibre sec. Adieu les traces !