Après des années passées sur les chantiers, à sentir l’odeur du bois fraîchement coupé et à conseiller des clients, j’ai une conviction : la plus belle déco pour une terrasse en bois, c’est le bois lui-même. Notre but n’est pas de le camoufler, mais de le sublimer.
Une terrasse qui dure, ce n’est pas une photo de magazine. C’est un espace qui vit, qui respire et qui vieillit bien. Alors, avant même de penser aux coussins ou aux guirlandes, parlons de ce qui compte vraiment : le choix du bois, la qualité de la pose et le bon entretien. Oubliez le jargon technique, je vais vous partager mon expérience de pro, simplement, pour que vous fassiez les bons choix dès le départ.
1. Le nerf de la guerre : choisir le bon bois pour votre terrasse
C’est LA décision qui va conditionner l’aspect, la durabilité et l’entretien de votre terrasse pour les 15, 20, voire 30 prochaines années. Alors, on met de côté l’esthétique cinq minutes et on parle concret.
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La base : la Classe d’Emploi
Vous entendrez peut-être parler de « Classe 4 ». Retenez juste ça : pour une terrasse extérieure, c’est le minimum syndical. Un bois de Classe 4 est conçu pour être en contact permanent avec l’humidité du sol sans pourrir. J’ai vu des terrasses en bois de Classe 3 (moins résistant) être complètement fichues en moins de 5 ans. Une fausse économie qui finit par coûter le double. Ne faites pas cette erreur !
Les grandes familles de bois : avantages, inconvénients et… le prix !
Chaque type de bois a sa personnalité. Voici un tour d’horizon pour vous aider à y voir plus clair.
Les Résineux traités (Pin, Sapin) : le choix malin pour les budgets serrés
C’est l’option la plus économique, et de loin. Le pin est traité en profondeur (on parle de traitement autoclave) pour résister aux agressions. C’est efficace et ça en fait un bon bois de Classe 4. Budget : C’est le plus accessible, comptez entre 20€ et 40€ le m² pour les lames seules. On le trouve facilement dans les grandes surfaces de bricolage comme Leroy Merlin ou Castorama. Mon conseil : Regardez bien les lames avant d’acheter. Moins il y a de nœuds, mieux c’est. Des cernes de croissance bien serrés sont aussi un gage de qualité. Attention, ce bois reste assez tendre. Un meuble traîné, un objet lourd qui tombe, et hop, une marque ! Il demandera un petit coup de saturateur chaque année pour garder une belle allure.
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Les Bois Exotiques (Ipé, Cumaru, Padouk) : le luxe de la durabilité
Là, on change de catégorie. Ces bois sont naturellement ultra-résistants (Classe 4, voire 5). Ils sont si denses et pleins d’huiles naturelles qu’ils sont quasiment imputrescibles. L’ipé, c’est un peu la Rolls des terrasses. Sa durée de vie dépasse souvent 25 ans, même sans traitement. Budget : C’est un investissement. Prévoyez entre 90€ et plus de 150€ le m². Pour ces essences, je vous recommande de passer par des négoces de matériaux professionnels ou des scieries spécialisées pour garantir la qualité. Point de vigilance : Exigez TOUJOURS une certification (FSC ou PEFC) qui garantit une gestion durable des forêts. Une offre trop belle pour être vraie cache souvent une provenance douteuse. L’avantage ? Une fois posé, vous êtes tranquille pour des décennies. Un simple nettoyage annuel, et il prendra une magnifique patine gris argenté.
Les Feuillus Européens (Robinier, Châtaignier) : l’alternative locale et durable
Excellente option pour ceux qui cherchent la performance d’un exotique avec une empreinte carbone réduite. Le robinier (souvent appelé à tort acacia) est un bois local naturellement de Classe 4, très dur et résistant. Budget : On se situe entre les deux, généralement entre 60€ et 90€ le m². Bon à savoir : Ces bois ont un look plus authentique, moins « parfait » que l’ipé. Le robinier, par exemple, a une jolie couleur jaune-doré qui grise superbement avec le temps. C’est un choix de caractère, parfait pour une maison de campagne ou un jardin naturel.
Le Bois Composite : l’option « zéro entretien » ?
Il s’agit d’un mélange de fibres de bois et de résine plastique. Il a des atouts, mais aussi des défauts qu’on oublie parfois de mentionner. Budget : Très variable, de 40€/m² pour l’entrée de gamme à plus de 100€/m² pour des lames de haute qualité. Ce qu’on ne vous dit pas toujours : En plein été, ça peut devenir un véritable barbecue pour pieds nus ! Les lames bas de gamme se dilatent beaucoup et une rayure profonde est irréparable. Franchement, la sensation n’est pas la même que le vrai bois. Si vous optez pour le composite, n’essayez pas d’économiser. Investissez dans une marque reconnue proposant des lames « co-extrudées », bien plus résistantes.
2. La pose : les détails qui font toute la différence
Vous pouvez avoir le meilleur bois du monde, si la pose est ratée, le résultat sera décevant. Une terrasse, ça se construit en pensant à ce qu’on ne voit pas.
La structure : les fondations de votre terrasse
La terrasse repose sur des solives qu’on appelle lambourdes. Elles doivent être aussi solides que vos lames (Classe 4, donc). L’espace entre elles est crucial : pas plus de 50 cm pour des lames classiques, et souvent 40 cm pour du composite (lisez bien la notice !).
L’astuce de pro que tout le monde devrait connaître : L’air doit circuler sous votre terrasse ! C’est la règle d’or pour éviter que l’humidité ne stagne et ne fasse tout pourrir. Ne posez jamais les lambourdes directement sur une dalle béton. Utilisez des plots réglables (très pratiques pour rattraper les niveaux) et laissez toujours un petit espace sur les côtés pour la ventilation. Un détail qui sauve une terrasse !
Fixations : vis apparentes ou clips invisibles ?
Les vis apparentes : C’est la méthode la plus robuste et la plus simple pour changer une lame si besoin. Mon secret pour une finition parfaite : utilisez des vis en inox A2 (ou A4 si vous êtes près de la mer ou d’une piscine), pré-percez toujours les bois durs pour ne pas les fendre, et mettez bien deux vis par appui sur la lambourde.
Les clips invisibles : Très chic, ça donne une surface toute lisse. Le piège ? Les systèmes bas de gamme qui peuvent casser ou grincer. C’est aussi plus galère de remplacer une lame en plein milieu.
D’ailleurs, pour un projet d’une vingtaine de mètres carrés, si vous êtes un peu bricoleur et bien organisé, comptez un bon week-end de travail pour la pose, sans compter la préparation du sol.
3. L’entretien : préserver sans se compliquer la vie
On lit tout et son contraire sur l’entretien. Mettons les choses au clair.
Faut-il accepter le grisaillement ?
Le bois qui devient gris, c’est 100% naturel. C’est juste l’effet des UV sur la surface du bois, ça n’altère en rien sa solidité. C’est purement esthétique. Personnellement, j’adore cette patine argentée qui donne un côté très authentique.
Si vous choisissez de laisser griser, un bon coup de balai-brosse avec de l’eau et un savon noir une fois par an suffit pour enlever les mousses. C’est tout ! Si vous voulez garder la couleur d’origine, il va falloir nourrir le bois.
Le bon produit : le saturateur (et rien d’autre !)
ATTENTION : Fuyez les lasures et les vernis pour une terrasse ! Ils créent un film en surface qui finit par peler. C’est une catastrophe à rattraper, ça demande un ponçage monstrueux.
Le bon produit, c’est le saturateur. Il ne reste pas en surface, il pénètre dans le bois pour le nourrir de l’intérieur et le protéger des UV. Des marques comme Owatrol ou Blanchon sont des valeurs sûres. L’application prend une grosse après-midi pour une terrasse de taille moyenne. Le geste clé ? Après avoir laissé le produit pénétrer 15-20 minutes, il faut impérativement essuyer le surplus avec un chiffon. Sinon, ça va faire une couche collante qui attrapera toute la poussière.
Et le nettoyeur haute pression ? À utiliser avec une immense prudence. De trop loin (au moins 50 cm) et à faible pression, sinon vous allez abîmer les fibres du bois.
4. Aménager et décorer : la touche finale
Maintenant que la base est saine, on peut s’amuser. L’idée, c’est d’accompagner le bois, pas de lui voler la vedette.
Le mobilier et les plantes
Le métal noir ou anthracite donne un look moderne qui tranche superbement avec le bois. Le mobilier en résine tressée de couleur neutre (gris, lin) est aussi un excellent choix. Pour les plantes, pensez aux contenants ! Des bacs en zinc pour un style contemporain, en terre cuite pour une ambiance méditerranéenne… Le détail qui change tout : surélevez toujours vos pots avec des petites cales. Ça évite de créer une zone d’humidité stagnante qui pourrait marquer ou abîmer votre bois.
L’éclairage pour les soirées d’été
Un bon éclairage, c’est magique. Le plus agréable, c’est l’éclairage indirect : des spots dissimulés qui éclairent un mur ou une belle plante. Pour la sécurité et le style, des petits spots LED encastrés le long d’un passage ou dans les marches d’escalier, c’est parfait. Et bien sûr, les guirlandes « guinguette » pour l’ambiance ! Par contre, pour toute installation électrique, on ne plaisante pas : on fait appel à un pro, c’est une question de sécurité.
Votre petite liste de courses pour démarrer
Pour vous aider à ne rien oublier, voici le matériel de base à prévoir :
Les lames de terrasse (prévoyez 10% de plus pour les coupes)
Les lambourdes (de même classe que les lames)
Des plots réglables ou des cales
Un film géotextile (à poser sous la structure pour éviter la pousse des mauvaises herbes)
Une bande bitumineuse (à coller sur les lambourdes, là où vous vissez les lames, pour une protection anti-humidité supplémentaire. C’est un vrai plus !)
Des vis inox de bonne qualité
Et bien sûr, les outils : scie, visseuse, niveau, etc.
une extension de votre maison
Au final, une terrasse en bois, c’est bien plus qu’un simple aménagement extérieur. C’est une nouvelle pièce à vivre, le lieu des cafés au soleil et des dîners qui s’éternisent. En prenant le temps de bien choisir vos matériaux et en soignant la pose, vous vous offrez un investissement durable qui prendra de la valeur avec le temps. Et honnêtement, ça, ça n’a pas de prix.
Galerie d’inspiration
Au-delà du bois traditionnel, le bois composite est une alternative de plus en plus prisée. Constitué d’un mélange de fibres de bois et de résines plastiques, il offre une stabilité de couleur incomparable et ne produit pas d’échardes. Les marques comme Trex ou Fiberon proposent des finitions bluffantes imitant le Cumaru ou l’Ipé, sans l’entretien contraignant des essences exotiques. Un choix moderne pour une tranquillité durable.
Nettoyage de printemps : Balayez les débris, puis frottez avec une brosse dure, de l’eau tiède et du savon noir.
Inspection des fixations : Resserrez les vis qui auraient pu bouger avec les variations de température.
Test de la goutte d’eau : Versez quelques gouttes d’eau. Si elles sont absorbées en moins d’une minute, il est temps de nourrir le bois avec un saturateur.
Le secret d’une ambiance réussie : la lumière. Pensez au-delà de la simple applique murale. Des spots LED encastrés dans les lames délimitent l’espace avec élégance, tandis qu’une guirlande guinguette apporte une touche festive. Pour un effet plus doux, dissimulez des rubans LED sous les margelles ou le nez des marches.
Le grisaillement du bois n’est pas une dégradation, mais une protection. C’est la lignine en surface qui, sous l’effet des UV, se transforme pour créer un écran protecteur naturel.
Ne jetez pas les chutes de vos lames ! Avec quelques découpes, vous pouvez facilement créer des éléments déco parfaitement assortis à votre terrasse.
Un petit banc minimaliste pour un coin lecture.
Des jardinières sur mesure pour habiller un angle.
Un chemin de liaison vers le jardin ou un caillebotis pour la douche extérieure.
Ma terrasse devient glissante quand il pleut, que faire ?
C’est souvent dû à la formation de micro-algues. La solution la plus efficace et douce est un nettoyage annuel avec un produit anti-mousse spécifique pour bois extérieur. Après application et un léger brossage, votre terrasse retrouvera son adhérence naturelle. Évitez absolument les nettoyeurs haute pression qui abîment les fibres du bois et le rendent encore plus poreux.
Huile : Elle nourrit le bois en profondeur et lui donne un aspect mat, très naturel, proche de l’effet
Une vis de terrasse en inox A2 peut résister à la corrosion pendant plus de 50 ans en milieu rural. Pour les bords de mer ou les abords de piscine, l’inox A4 est indispensable.
L’investissement dans des vis de qualité est minime par rapport au coût total, mais crucial. Des vis qui rouillent vont non seulement tacher le bois de manière irréversible, mais aussi perdre leur capacité de serrage, entraînant des lames qui grincent et se soulèvent.
Casser la monotonie des lignes horizontales.
Créer une intimité bienvenue sans construire un mur.
Servir de support élégant pour les plantes grimpantes.
Le secret ? Installer des panneaux claustra ou des tasseaux ajourés verticaux. Choisissez la même essence que votre terrasse pour une harmonie parfaite, ou un métal noir pour un contraste industriel chic.
Comment savoir si le bois est la bonne option pour vous ?
Pensez aux sensations. Rien ne remplace la chaleur du bois sous les pieds nus un matin d’été, le son mat et rassurant des pas, ou l’odeur subtile de résine qui se dégage après une averse. Une terrasse en bois n’est pas juste une surface, c’est une invitation à ralentir et à se connecter à un matériau vivant.
La bonne plante pour le bon pot. Pour une terrasse ensoleillée, misez sur des valeurs sûres qui supportent la chaleur et le vent :
Graminées : Stipa, Pennisetum ou Miscanthus pour le mouvement et la légèreté.
Aromatiques : Lavande, romarin ou thym pour le parfum et l’utilité en cuisine.
Vivaces : Gaura, Agapanthe ou Sedum pour des touches de couleur durables.
L’erreur de calcul classique : ne considérer que le prix d’achat au m². Un pin traité, très abordable, demandera un traitement (dégriseur + saturateur) tous les 1 à 2 ans. Un bois exotique comme l’Ipé, bien plus cher, pourra être laissé au naturel et ne nécessitera qu’un simple nettoyage annuel. Sur 15 ans, le coût de l’entretien peut parfois combler une partie de l’écart de prix initial.
Dans l’architecture japonaise, l’
Une cuisine d’été sur une terrasse en bois ? C’est le rêve, à condition d’anticiper quelques points. Pensez à prévoir une zone renforcée pour supporter le poids d’un module de cuisine ou d’une plancha type Forge Adour. Protégez le bois des projections de graisse avec un tapis de sol ignifugé ou en positionnant la zone de cuisson sur une partie carrelée intégrée à la terrasse.
Le bambou, une bonne idée pour une terrasse ?
Oui, mais attention ! On ne parle pas du bambou classique. Il faut choisir du bambou thermo-traité, comme celui proposé par Moso. Ce processus à haute température le rend extrêmement dense, stable et résistant (Classe 4), avec une esthétique proche d’un bois exotique caramélisé. C’est une alternative écologique intéressante, le bambou ayant une croissance ultra-rapide.
Lumière chaude (~2700K) : Elle crée une atmosphère intime et cosy, idéale pour les coins repas et les salons de jardin. Elle sublime les tons dorés et rouges des bois comme le Cumaru ou le Douglas.
Lumière neutre (~4000K) : Plus fonctionnelle et moderne, elle met en valeur les lignes architecturales et les bois grisés ou les composites clairs. Parfaite pour éclairer les circulations ou un escalier.
L’idéal est souvent de mixer les deux pour délimiter les zones et leurs fonctions.
Un jet de nettoyeur haute pression peut exercer une pression de plus de 120 bars. C’est assez pour
Profiter de sa terrasse sans se sentir observé.
Se protéger d’un vent léger mais constant.
Masquer une vue peu esthétique (mur du voisin, poubelles…).
La solution ? Une palissade ajourée. En posant des lames de terrasse à la verticale avec un espacement de 1 à 2 cm, on crée un filtre visuel qui préserve l’intimité sans bloquer totalement la lumière ni créer une sensation d’enfermement.
L’étape de la finition est celle qui donne toute sa personnalité à votre bois. Pour les résineux comme le Pin ou le Mélèze, un saturateur teinté comme le Textrol de Owatrol peut non seulement protéger mais aussi donner l’illusion d’une essence plus noble, comme le teck ou le chêne clair. Une application au spalter (large pinceau plat) garantit un résultat uniforme et sans surcharge.
Saviez-vous que le bois d’Accoya, issu de pins radiata modifiés par acétylation (un processus non toxique), est garanti 50 ans contre la pourriture ?
Cette technologie lui confère une stabilité dimensionnelle exceptionnelle, limitant fortement le gonflement et le retrait. C’est une option haut de gamme qui rivalise avec les meilleurs bois exotiques et les composites, la durabilité en plus.
Comment créer une ambiance
Puis-je vraiment poser ma terrasse moi-même pour économiser ?
Oui, si vous êtes un bricoleur averti et très méthodique. La pose sur plots est accessible, mais elle ne pardonne aucune erreur d’aplomb ou d’alignement. Le plus gros risque est de mal gérer la pente (2% minimum pour l’évacuation de l’eau) ou la ventilation sous les lames, ce qui peut entraîner un pourrissement prématuré. En cas de doute, confier la structure porteuse à un pro et se réserver la pose des lames peut être un bon compromis.
Visibilité des vis : sur le dessus ou sur le côté ?
Fixation visible : La méthode traditionnelle. Robuste, économique et facile à remplacer une lame. Le choix de vis inox de qualité est primordial pour l’esthétique.
Fixation invisible : Via des clips qui se glissent dans une rainure sur le côté des lames. Le rendu est très épuré et moderne. C’est plus coûteux et légèrement plus complexe à mettre en œuvre. Un système comme le Hardwood Clip de Spax est une référence en la matière.
Pour une intégration parfaite, oubliez les pots posés au hasard. Pensez à intégrer la végétation à la structure même de votre terrasse.
Découpez un espace dans le platelage pour planter un petit arbre ou un arbuste directement en pleine terre.
Construisez des bacs avec la même essence de bois pour qu’ils se fondent dans le décor.
Réservez une ou deux lames sur toute la longueur pour créer une
Redonne un aspect neuf à un bois grisé et taché.
Élimine la couche de surface abîmée et glissante.
Prépare parfaitement le bois à recevoir une nouvelle finition.
Le secret ? Un ponçage en règle. C’est l’opération de rénovation la plus spectaculaire. Une ponceuse à bande pour les grandes surfaces et une ponceuse d’angle pour les finitions vous donneront un résultat quasi-professionnel, prêt à être protégé pour de nombreuses années.
Créatrice DIY & Adepte de la Récup' Ses projets favoris : Transformations créatives, Récupération stylée, Déco fait-main
Gabrielle a toujours vu le potentiel caché des objets abandonnés. Petite, elle transformait déjà les cartons en châteaux et les bouteilles en vases colorés. Cette passion ne l'a jamais quittée. Après avoir travaillé dans l'événementiel, elle s'est tournée vers le partage de ses techniques créatives. Son appartement marseillais est un véritable laboratoire où chaque meuble raconte une histoire de transformation. Elle adore dénicher des trésors dans les vide-greniers du dimanche et leur donner une seconde vie surprenante.