Le frisson d'Halloween approche, et la magie des costumes s'invite dans nos vies. Je me souviens de mes déguisements d'enfance, des soirées où l'imagination prenait le pas sur la réalité. Cette année, pourquoi ne pas explorer des idées qui transcendent l'ordinaire ? Que vous choisissiez d'incarner des couples iconiques ou de créer votre propre personnage, l'important est de s'amuser tout en surprenant vos amis.
Dans mon atelier, j’en ai vu défiler, des projets de costumes. Pour le théâtre, le cinéma, et surtout, pour des couples qui voulaient plus qu’un simple déguisement. Je me souviens d’un couple, il y a quelques années… ils ne voulaient pas juste deux tenues assorties. Ils voulaient raconter leur histoire. Lui, un peu en retrait, observateur. Elle, pleine de vie et audacieuse. On a fini par créer un gardien de phare et une sirène échouée. Chaque détail comptait : le sel qui semblait incrusté sur sa veste, l’éclat brisé d’un coquillage dans ses cheveux… C’est ça, la magie d’un costume de couple qui fonctionne. Ce n’est pas juste une panoplie, c’est une histoire que vous portez à deux.
Alors oubliez les listes d’idées vues et revues. Ici, on va parler concret. Je vais vous partager mes méthodes de créateur, les trucs de pro pour passer d’une idée floue à une création dont vous serez vraiment fiers. On va laisser de côté les kits en plastique et parler de textures, de maquillage qui tient toute la nuit, et surtout, de sécurité. Parce qu’un bon costume, c’est un costume qu’on peut vivre, pas juste porter.
Étape 1 : L’Idée – Pensez d’abord à votre dynamique
La plupart des gens se demandent : « En quoi on se déguise ? ». Franchement, c’est se poser la question à l’envers. La vraie bonne question, c’est : « Quelle histoire, quelle dynamique on veut incarner ? ». Un costume de couple mémorable, il repose sur l’interaction, sur le lien qui unit les deux personnages.
Trouvez votre duo, votre histoire
Avant même de penser au tissu, posez-vous cinq minutes ensemble. De quoi avez-vous envie ? D’être des alliés, comme deux chasseurs de fantômes à la cool ? Des opposés qui s’attirent, comme le feu et la glace ? Ou un duo plus tragique, comme des amants d’une autre époque séparés par le destin ? Cette dynamique sera votre fil rouge.
Et puis, mettez-y un peu de vous. C’est ce qui rendra le truc authentique. Un couple de gamers pourrait s’éclater en savants fous. Deux sportifs pourraient devenir des survivants post-apocalyptiques. Le costume devient une sorte d’extension de votre complicité. C’est bien plus drôle comme ça !
La règle d’or : le confort, c’est pas une option !
J’ai fait l’erreur une fois. J’ai créé une armure absolument magnifique pour un client. Un chef-d’œuvre. Sauf qu’il pouvait à peine s’asseoir. Il a passé sa soirée debout dans un coin… Leçon retenue : un costume, ça doit être vivable. Posez-vous les bonnes questions AVANT de couper le premier bout de tissu :
Mobilité : Pourrez-vous marcher, danser, vous asseoir ? Une queue de sirène rigide, c’est sublime en photo, mais pour une soirée, c’est l’enfer.
Vision : Si vous prévoyez un masque ou des lentilles, votre champ de vision est-il suffisant ? Une mauvaise visibilité, c’est la porte ouverte aux petits accidents stupides.
Besoins primaires : Comment allez-vous manger, boire, ou simplement aller aux toilettes ? (Oui, il faut y penser !) Des fermetures éclair ou des scratchs bien placés peuvent vous sauver la vie.
Température : La fête est en intérieur ou en extérieur ? Un costume intégral en fausse fourrure dans une pièce bondée et surchauffée, c’est le malaise assuré.
Un budget réaliste pour éviter les mauvaises surprises
Créer un costume, ça a un coût. Soyons honnêtes. Un budget, ce n’est pas une contrainte, c’est juste un guide pour faire les bons choix. On peut faire des merveilles avec presque rien, si on est un peu malin.
Pour vous donner une idée : un petit budget (moins de 50 €) vous orientera vers les friperies (Emmaüs, Vinted…), la modification de vos propres vêtements et le maquillage. C’est le royaume du DIY et de la récup’.
Avec un budget moyen (entre 50 € et 150 €), vous pouvez commencer à acheter des tissus sympas, des accessoires de meilleure qualité comme une bonne perruque ou des prothèses simples, et du maquillage pro. Ça change tout.
Enfin, un budget plus confortable (plus de 150 €) vous ouvre les portes de matériaux plus techniques comme le thermoplastique pour des accessoires sur mesure, des tissus de grande qualité, et pourquoi pas des prothèses en silicone.
N’oubliez pas d’inclure les petits à-côtés : pistolet à colle, peinture, pinceaux… ces petites dépenses s’additionnent vite !
Étape 2 : La Base – Le Vêtement, votre toile de fond
Le vêtement, c’est 80% du travail. Sa texture, sa coupe et son état en disent bien plus qu’un accessoire clinquant.
L’art de la chine : friperies et fonds de placard
Votre premier réflexe ne devrait pas être le magasin de tissus, mais la friperie du coin ou les plateformes de seconde main. Vous y trouverez des pièces avec une âme. Une vieille veste en cuir déjà patinée, une robe de mariée un peu jaunie, un vieil uniforme… ce sont des pépites. Regardez la matière et la coupe, pas la taille. On peut toujours couper, déchirer, ajuster.
Cherchez des matières naturelles : coton, lin, laine, cuir. Elles prennent mieux la lumière, se teignent plus facilement et vieillissent magnifiquement. Un polyester brillant, ça criera toujours « déguisement pas cher ».
Le secret des pros : donner vie au vêtement avec la patine
C’est LA technique qui fait toute la différence. Un vêtement neuf, ça ne raconte rien. Il faut lui donner du vécu. Dans le milieu, on appelle ça « casser » le costume. C’est ma partie préférée !
Mes méthodes favorites, faciles à faire à la maison :
Le bain de thé ou de café : Pour vieillir n’importe quel tissu clair. Faites infuser une dizaine de sachets de thé noir dans de l’eau bien chaude, plongez le vêtement et laissez tremper. Plus ça reste, plus ce sera foncé. Simple et efficace.
La râpe à fromage et le papier de verre : Parfait pour user un jean, du coton épais ou même du cuir. Frottez sur les zones d’usure logique : les genoux, les coudes, le bord des poches.
Le spray de « saleté » : Prenez un vaporisateur, mettez-y de l’eau et quelques gouttes de peinture acrylique noire ou marron. Vaporisez de loin pour créer des taches de sueur ou de crasse. Tamponnez avec un chiffon pour un effet plus naturel.
Astuce peu connue : Pour un effet poussiéreux ou un grisâtre morbide, essayez de frotter le tissu avec un peu de cendre froide (d’un barbecue par exemple) ou de la poudre de fusain. Attention, ça tache pour de bon, alors faites ça dehors !
Pensez à faire ça dans un endroit aéré et à porter des gants, c’est plus prudent.
Étape 3 : La Transformation – Maquillage et Prothèses
C’est là que le personnage prend vraiment vie. Mais c’est aussi là qu’on peut faire de grosses bêtises si on ne respecte pas quelques règles de base.
La sécurité d’abord ! Le test cutané n’est pas négociable
ATTENTION ! Je le dis et je le répète : n’utilisez JAMAIS, AU GRAND JAMAIS de la peinture d’artiste (acrylique, gouache) sur votre peau. J’ai vu un jeune apprenti finir aux urgences avec une réaction allergique carabinée pour avoir voulu faire le malin. Ne faites pas cette erreur.
La règle est simple : 48 heures avant d’appliquer un nouveau produit sur votre visage (maquillage, latex, colle…), testez-le sur une petite zone de peau, comme l’intérieur de votre poignet. Si ça rougit, ça gratte ou ça gonfle, c’est poubelle.
Investissez dans du maquillage de qualité cosmétique (marques comme Mehron, Kryolan…). Ça coûte un peu plus cher, genre 10-15€ le petit pot, mais ça vous assure la sécurité et un pot dure une éternité.
Créer une cicatrice facile avec du latex liquide
Le latex liquide est génial pour débuter. On en trouve dans les magasins de fête ou en ligne pour environ 10€. Pour créer une cicatrice crédible :
Nettoyez bien la peau. Important : ne l’appliquez jamais sur des poils (sourcils, barbe), ça arrache ! Protégez ces zones avec de la vaseline.
Appliquez une fine couche de latex avec une éponge ou un coton-tige.
Avant que ça sèche, pincez la peau pour créer un pli. Maintenez quelques secondes.
Séchez au sèche-cheveux (position air froid). Répétez 2 ou 3 fois pour plus de relief.
Une fois sec, vous pouvez maquiller la cicatrice avec des fards rouges, violets et marron pour lui donner un aspect irrité et réaliste.
Le faux sang : fait maison et crédible
Le sang acheté est souvent trop rouge et trop liquide. Ma recette de sang comestible et réaliste : pour une base d’un verre de sirop de maïs (ou de glucose), ajoutez environ 15 gouttes de colorant alimentaire rouge. Ensuite, le secret, c’est d’ajouter 2-3 gouttes de colorant bleu et une cuillère à café de cacao en poudre. Ça va assombrir le sang et lui donner une couleur beaucoup plus réaliste. N’en mettez pas partout ! Une petite coulure bien placée est mille fois plus efficace qu’un grand splash.
Étape 4 : Les Accessoires et les Pièges à Éviter
Les accessoires, c’est la touche finale, ce qui ancre votre personnage dans la réalité.
Fabriquer ses propres accessoires sans se ruiner
Le matériau magique pour ça, c’est la mousse EVA. Vous savez, les tapis de sol de gym qu’on trouve chez Decathlon ou Castorama pour 15-20€ la plaque. Ça se coupe au cutter, se colle à la colle contact (néoprène) et se forme à la chaleur avec un simple décapeur thermique. On peut tout faire avec : des pièces d’armure, des armes factices, des masques… Une fois peint, ça peut imiter le métal, le cuir, tout ce que vous voulez.
Pour les plus avancés, il y a des thermoplastiques comme le Worbla, mais c’est un autre budget et ça se trouve plutôt sur des boutiques en ligne spécialisées dans le cosplay.
Pièges courants et leurs solutions rapides
Au fil des ans, j’ai vu les mêmes galères revenir sans cesse. Voici de quoi les anticiper :
« Ma perruque glisse tout le temps ! » -> Le secret, c’est de porter un wig cap (un bonnet fin) en dessous. Ça maintient vos cheveux et donne une surface sur laquelle la perruque accroche. Fixez-la ensuite avec quelques épingles à cheveux.
« Ma perruque est trop brillante, elle fait ‘plastique’. » -> L’astuce imparable : saupoudrez-la généreusement de shampoing sec ou de talc, puis brossez bien. La brillance disparaît, effet mat et naturel garanti !
« Mon maquillage coule après une heure… » -> Poudrez, poudrez, poudrez ! Après chaque couche de maquillage crème, appliquez une poudre fixatrice translucide. Et à la toute fin, un pschitt de spray fixateur. Ça ne bougera plus de la nuit.
Étape 5 : L’Après-Fête – Comment tout enlever sans s’arracher la peau
On s’éclate à tout mettre, mais on oublie souvent qu’il va falloir tout enlever ! C’est une étape cruciale pour ne pas finir la soirée en se décapant la peau à la paille de fer.
Pour le maquillage tenace et les colles (comme la gomme spiritueuse ou le Pros-Aide), n’essayez pas de frotter avec de l’eau et du savon, ça ne fera qu’irriter. Le mieux, c’est d’utiliser un corps gras. L’huile pour bébé ou l’huile de coco sont parfaites et pas chères. Massez doucement sur la zone, la colle et le maquillage vont se dissoudre. Ensuite, vous pouvez nettoyer avec votre nettoyant visage habituel.
Pour le latex liquide, c’est pareil. Décollez doucement un bord et massez avec de l’huile en dessous pour aider à le décoller sans tirer sur la peau. La patience est votre meilleure amie ici.
Et après tout ça, une bonne crème hydratante pour apaiser votre peau. Elle vous remerciera !
Le plus important, c’est de jouer le jeu
Créer un costume, c’est un processus. Il y aura des ratés, des trucs qui ne marchent pas comme prévu. Ça m’arrive encore. C’est normal, chaque erreur est une leçon. Le plus important, c’est le plaisir que vous prenez à construire ce projet à deux.
Et le soir J, votre travail n’est pas fini. Il faut incarner vos personnages ! Bougez comme eux, interagissez l’un avec l’autre. C’est ça, la touche finale qui rendra vos costumes vraiment inoubliables. C’est votre histoire qui prend vie, le temps d’une nuit.
Maintenant, à vos outils, et surtout, amusez-vous bien !
Galerie d’inspiration
Le maquillage théâtral, ou
Pour donner un aspect usé et authentique à vos vêtements, nul besoin d’investir. La technique du
Votre maquillage de Joker ou de Morticia s’estompe avant minuit ?
Le secret des pros réside dans la préparation et la fixation. Appliquez une base (primer) sur peau propre. Après avoir posé vos fards (privilégiez les fards à l’eau comme ceux de Mehron ou Kryolan), poudrez généreusement avec une poudre translucide. La touche finale : un spray fixateur, comme le fameux
Ne négligez pas la mousse EVA. Ce matériau, utilisé par les cosplayers professionnels, est incroyablement polyvalent et économique. Parfait pour créer des armures légères, des accessoires surdimensionnés ou des éléments de décor rigides, il se coupe au cutter, se colle au pistolet à colle chaude et se peint facilement à l’acrylique une fois scellé avec du Mod Podge.
La Colle à postiche (Spirit Gum) : Idéale pour les applications légères comme les barbes en crêpe ou les petites prothèses. Facile à enlever avec son dissolvant spécifique.
Le Pros-Aide : Un adhésif médical bien plus puissant, parfait pour les prothèses en latex qui doivent tenir toute la nuit. Exige un démaquillant spécialisé.
Pour un couple de zombies avec des plaies béantes, optez pour le Pros-Aide sans hésiter.
Une harmonie visuelle instantanée, même avec des costumes très différents.
Un impact photographique décuplé.
La possibilité de lier deux personnages qui n’ont à priori rien en commun.
Le secret ? Pensez en duo chromatique. Un simple fil rouge (une fleur, une cravate, un fard) peut unir un loup et un chaperon. Un duo Feu & Glace fonctionnera à merveille avec une palette limitée à l’orange et au bleu cyan.
Selon une étude britannique, environ 7 millions de costumes d’Halloween finissent à la poubelle chaque année, créant un désastre plastique.
Pensez
Point important : La sécurité avant tout. Si votre costume inclut des lumières (guirlandes LED), assurez-vous que le compartiment à piles est accessible et bien isolé. Évitez tout contact direct avec la peau ou des tissus synthétiques inflammables. Un petit sac en feutrine peut le dissimuler et le sécuriser.
Le soir de la fête, préparez votre
Comment créer une texture de peau décomposée ou brûlée ?
Le latex liquide est votre meilleur ami. Appliquez une fine couche sur la peau, déposez un morceau de mouchoir en papier dessus, puis saturez-le d’une autre couche de latex. En séchant, vous pourrez
Pensez aux silhouettes. Ne vous concentrez pas que sur les détails de surface. Un costume très anguleux et rigide (un robot) contrastant avec une tenue tout en fluidité et en courbes (un esprit de l’eau) raconte une histoire avant même qu’on ne voie les couleurs. C’est une astuce de designer pour un impact immédiat.
Astuce de pro pour perruque : Une perruque bon marché peut avoir l’air incroyable. Le secret est de réduire sa brillance synthétique. Saupoudrez-la généreusement de shampoing sec ou de fécule de maïs, secouez bien et brossez. L’effet
Pensez à l’ambiance de la fête ! Si une lumière noire (UV) est prévue, vous pouvez créer un effet spectaculaire.
Utilisez des maquillages réactifs aux UV (la gamme
L’erreur fatale : choisir des chaussures stylées mais impraticables. La conséquence : vous finissez pieds nus au bout d’une heure, ruinant votre allure. La solution : intégrez le confort au design. Modifiez des baskets pour les faire ressembler à des bottes, ou créez des sur-chaussures en feutrine ou mousse EVA à placer par-dessus vos chaussures de tous les jours.
Facile à fabriquer avec du carton et de la peinture.
Crée une cohésion instantanée pour votre duo.
Devient un accessoire de photo génial et interactif.
L’idée ? Créez un cadre de type Polaroid. Un couple peut se déguiser en
L’un de vous est un pro du DIY, l’autre a deux mains gauches ?
Capitalisez sur cette asymétrie ! Le concept du
Le Sang Frais : Vif, liquide. Parfait pour les éclaboussures et les plaies récentes. Souvent à base de sirop de maïs, il peut être collant.
Le Sang Coagulé : Épais, sombre, en gel. Idéal pour remplir de fausses blessures et donner un effet de croûte. Le
On les oublie souvent, mais les mains finalisent un personnage. Des gants longs, des ongles peints en noir, des faux ongles pointus, des mains
Faites un essai général une semaine avant. Portez le costume complet pendant 30 minutes chez vous. Vérifiez la mobilité : pouvez-vous vous asseoir ? Passer les portes ? Danser ? Testez le maquillage sur une petite zone du bras pour déceler toute réaction allergique. C’est la seule façon d’éviter les mauvaises surprises le soir J.
Le détail qui unit : Parfois, un seul accessoire partagé suffit. Imaginez un couple d’explorateurs maudits. Elle porte un médaillon ancien, et la gravure de ce médaillon se retrouve tatouée (au feutre cosmétique) sur le bras de son partenaire. C’est subtil, élégant, et cela montre une réflexion bien plus profonde qu’un simple
Option A : Le Miroir. Deux costumes quasi identiques (les jumelles de Shining, deux agents secrets). L’impact vient de la symétrie parfaite et du mimétisme dans le jeu d’acteur.
Option B : Le Contraste. Un costume très élaboré et un autre très simple (Cruella et un dalmatien, un apiculteur et une abeille). L’impact vient de l’équilibre, où l’un met l’autre en valeur.
Choisissez en fonction de vos envies et de vos compétences. Il n’y a pas de mauvaise réponse !
Un costume n’est pas que visuel, il peut être sonore. Un couple de fantômes enchaînés peut intégrer de petites chaînes légères en plastique qui cliquettent à chaque pas. Un duo de robots peut télécharger quelques bruitages sur leur téléphone et les jouer de temps en temps via une petite enceinte Bluetooth dissimulée. L’immersion n’en sera que plus forte.
Le secret d’une peinture corporelle qui ne craquelle pas ? L’application. Utilisez une éponge à maquillage humide plutôt qu’un pinceau pour les grandes surfaces. Tapotez la couleur (les fards à l’eau de type
Architecte d'Intérieur & Passionnée de Rénovation Ce qui l'anime : Mobilier sur mesure, Projets cuisine & bain, Solutions gain de place
Marion a grandi entourée d'artisans – son père était ébéniste et sa mère décoratrice. Cette immersion précoce lui a donné un regard unique sur l'aménagement intérieur. Aujourd'hui, elle partage son temps entre la conception de projets pour ses clients et l'écriture. Sa spécialité ? Transformer les contraintes en opportunités créatives. Chaque petit espace cache selon elle un potentiel insoupçonné. Les week-ends, elle restaure des meubles anciens dans son atelier niçois, toujours accompagnée de son chat Picasso.
