Je me souviens encore de mon tout premier terrarium, il y a bien longtemps, avant que ça ne devienne la folie qu’on connaît. J’avais chiné un vieux bocal à bonbons chez ma grand-mère, un vrai trésor. J’y avais mis de la terre du jardin, une belle mousse trouvée en forêt et une petite fougère. Une semaine plus tard, tout avait moisi. Catastrophe.
Cette première expérience a été une leçon brutale mais essentielle : un terrarium, ce n’est pas juste une plante qu’on enferme sous verre. C’est un véritable petit monde, un écosystème miniature qu’il faut comprendre pour le voir s’épanouir. Depuis, j’en ai créé des centaines, pour le plaisir, pour des ateliers, en collaborant avec des passionnés et des professionnels du végétal. Ce que je veux partager avec vous aujourd’hui, ce n’est pas une recette piquée sur internet. C’est le résultat d’années d’essais, d’erreurs et, heureusement, de beaucoup de réussites. Mon but ? Vous donner les clés pour que votre terrarium devienne une source de fierté qui vit des années, pas juste quelques semaines.
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Avant tout : choisir son camp, fermé ou ouvert ?
Avant même de penser à la terre ou aux plantes, la première question est cruciale : quel type d’ambiance voulez-vous ? Une mini-jungle luxuriante et quasi autonome, ou plutôt un paysage désertique, très design ? Votre réponse va tout déterminer.
D’un côté, le terrarium fermé est un monde magique qui vit presque en autarcie. Il recrée le cycle de l’eau d’une forêt tropicale. L’eau s’évapore du sol, les plantes transpirent, la vapeur se condense sur les parois en verre (la fameuse buée) puis retombe en fines gouttelettes pour arroser le tout. Un système bien équilibré n’a besoin d’un coup de pouce en eau que quelques fois par an ! C’est parfait pour ceux qui aiment l’observation et qui veulent des plantes de type tropical.
De l’autre, le terrarium ouvert. Lui, c’est le royaume des plantes qui détestent avoir les pieds dans l’eau, comme les cactus et les succulentes. L’ouverture permet à l’air de circuler et à l’humidité de s’évaporer vite. Mettre un cactus dans un bocal fermé, c’est, honnêtement, une condamnation à mort par pourriture. Je vois cette erreur partout ! Le terrarium ouvert est donc plus une composition paysagère qu’un écosystème fermé. Il demandera des arrosages plus réguliers (mais très espacés) et beaucoup de lumière.
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Les fondations : le secret d’un terrarium qui ne pourrit pas
La réussite de votre projet repose entièrement sur ce qu’on ne voit pas : les couches de substrat. Chaque strate a un rôle précis. En zapper une, c’est prendre un risque inutile. Voici la méthode qui a fait ses preuves.
Pour un terrarium fermé (ambiance tropicale)
Ici, on cherche à retenir l’humidité sans que ça devienne un marécage.
La base de drainage (2-4 cm) : Au fond, il faut une couche qui permette à l’excès d’eau de s’échapper des racines. Des billes d’argile (faciles à trouver chez Truffaut ou Gamm Vert) font l’affaire, mais ma préférence va à la pouzzolane, une roche volcanique. Sa structure poreuse crée plus de poches d’air. Attention, cette couche ne fait pas disparaître l’eau, c’est juste une zone de sécurité !
Le séparateur (indispensable !) : C’est l’astuce de pro souvent oubliée. Un simple morceau de feutre géotextile ou de moustiquaire posé sur le drainage empêche le terreau de tout colmater. Sans ça, en quelques mois, votre drainage ne sert plus à rien.
Le purificateur (0.5-1 cm) : Une fine couche de charbon actif. C’est votre assurance anti-odeurs et anti-moisissures. Il absorbe les toxines qui pourraient se développer dans ce milieu clos. Vous en trouverez en jardinerie, mais un bon plan est de regarder au rayon aquariophilie des animaleries, c’est le même produit !
Le terreau (5-10 cm) : Surtout, n’utilisez pas un terreau universel bas de gamme. Faites votre propre mélange de luxe : 50% de bon terreau pour plantes d’intérieur, 25% de sphaigne hachée (une éponge naturelle), et 25% de perlite pour l’aération. Humidifiez-le avant de le mettre en place : il doit être frais au toucher, mais si vous en pressez une poignée, aucune goutte ne doit couler.
Pour un terrarium ouvert (ambiance désertique)
Le mot d’ordre est DRAINAGE. Le sol doit sécher à toute vitesse.
La base de drainage (3-5 cm) : On peut être plus généreux ici, avec des graviers ou de la pouzzolane.
Le terreau spécial (5-10 cm) : Les terreaux « spécial cactées » du commerce sont une bonne base, mais souvent un peu trop riches. Je les améliore toujours. Ma formule gagnante : 40% de ce terreau pour cactées, 40% de sable de rivière grossier (pas du sable de construction, trop fin !) et 20% de pierre ponce (pumice) ou de perlite. C’est un mélange pauvre et aéré, parfait pour éviter la pourriture des racines.
La liste de courses pour ne rien oublier
Pour vous faciliter la vie, voici ce qu’il vous faut. Prévoyez un budget global entre 30€ et 60€ pour un premier projet de taille moyenne (5-10L), tout inclus. C’est un investissement raisonnable pour un objet déco vivant qui durera des années.
Pour un terrarium FERMÉ :
Un bocal en verre avec un couvercle (minimum 3-5L)
Pouzzolane ou billes d’argile
Feutre géotextile ou moustiquaire
Charbon actif
Terreau pour plantes d’intérieur, sphaigne et perlite
Mini-plantes tropicales (Fittonia, fougères, etc. – comptez 3 à 8€ par plante)
Optionnel : mousse boule, petits cailloux, un morceau de bois
Pour un terrarium OUVERT :
Un contenant en verre sans couvercle
Graviers ou pouzzolane
Terreau pour cactées, sable de rivière et pierre ponce/perlite
Mini-succulentes ou cactus (Haworthia, Gasteria…)
Optionnel : sable décoratif, grosses pierres
Le casting des plantes : une question de compatibilité
Ne choisissez pas une plante juste parce qu’elle est mignonne. Choisissez-la parce qu’elle est faite pour cet environnement. C’est l’erreur numéro un que je vois dans les magasins de déco : des plantes tropicales mélangées avec des succulentes. Ça ne peut pas marcher.
Pour un terrarium fermé (humide), cherchez des plantes qui aiment l’humidité et une lumière douce : les Fittonia avec leurs nervures colorées, les petites fougères (type Asplenium), les tapis de verdure comme le Soleirolia, et bien sûr, les mousses.
Pour un terrarium ouvert (sec), il vous faut des guerrières qui aiment la lumière et l’air sec : les Haworthia qui ressemblent à de petits aloès, les Gasteria, les rosettes d’Echeveria (très gourmandes en lumière !) ou encore les petits cactus comme les Mammillaria.
L’atelier : on met les mains dans la terre !
C’est parti ! Prévoyez un après-midi tranquille ou au moins deux bonnes heures pour vous y mettre sans stress. C’est un moment de créativité, pas une course.
Le choix du bocal est important. Un vase très haut et étroit est une fausse bonne idée : c’est une galère sans nom pour planter et entretenir. Préférez un contenant avec une ouverture assez large pour passer la main, ou au moins vos outils. Pour commencer, un volume de 3 à 5 litres est idéal.
Préparez les couches : Versez le drainage, le séparateur, le charbon (si bocal fermé), puis le substrat de plantation en créant un petit relief.
Préparez les plantes : Dépotez-les délicatement et enlevez un peu de l’ancien terreau autour des racines.
Plantez : Commencez par la plus grande plante, souvent à l’arrière. Puis disposez les autres harmonieusement. Ne les collez pas trop, elles vont grandir !
Tassez et décorez : Assurez un bon contact entre les racines et la terre en tassant doucement. Ajoutez vos éléments de déco (pierres, bois…).
Nettoyez : Un petit coup de pinceau sur les feuilles et les parois pour un résultat impeccable.
L’arrosage initial : L’ÉTAPE CRITIQUE. Pour un terrarium fermé, oubliez l’arrosoir. La règle d’or : visez environ 10-15 ml d’eau (de pluie ou déminéralisée) par litre de volume de votre bocal. Pour un contenant de 5L, ça fait 50 à 75 ml, l’équivalent d’un petit verre à shot. C’est TOUT. Laissez ensuite le couvercle ouvert 24h avant de le fermer. Pour un terrarium ouvert, arrosez légèrement à la base de chaque plante, sans détremper.
L’entretien au quotidien : l’art de l’observation
Votre rôle est maintenant celui d’un gardien attentif. Placez votre terrarium à la lumière, mais JAMAIS en plein soleil direct, qui le transformerait en four.
Pour un terrarium fermé, surveillez la buée. Un peu le matin qui disparaît dans la journée ? C’est parfait. De la buée en permanence ? Aérez quelques heures. Jamais de buée ? Il manque un peu d’eau (ajoutez-la à la pipette, goutte à goutte). Pour un terrarium ouvert, n’arrosez que lorsque la terre est sèche sur plusieurs centimètres, soit toutes les 2 à 6 semaines selon la saison.
N’hésitez pas à tailler les plantes qui s’emballent et à retirer les feuilles mortes immédiatement.
Au fait, et les kits tout prêts ?
On en voit partout, et c’est une question qui revient sans cesse. Mon avis ? Ça peut être une bonne base pour se lancer, surtout pour avoir tout le matériel sous la main sans courir partout. Mais (parce qu’il y a un mais), soyez très critique sur le terreau fourni. Il est souvent de piètre qualité. Un conseil d’ami : remplacez-le par le mélange maison dont on a parlé. C’est ce qui fera la différence entre un terrarium qui survit et un qui s’épanouit.
SOS : que faire quand ça dérape ?
Moisissure blanche ? Trop d’humidité et pas assez d’air. Enlevez-la avec un coton-tige et aérez le bocal une journée ou deux.
Plantes qui s’étirent et palissent ? Manque de lumière. Rapprochez-le d’une fenêtre (sans soleil direct) ou investissez dans une petite lampe de croissance LED.
Des moucherons ? Souvent lié à un terreau de mauvaise qualité et un excès d’eau. Laissez sécher la surface et aérez.
Feuilles du bas qui jaunissent et tombent ? 99% du temps, c’est un excès d’arrosage. Les racines suffoquent. Stoppez tout arrosage et aérez. C’est la raison pour laquelle l’arrosage initial doit être si léger.
Alors, prêt à vous lancer et à créer votre propre mini-monde ? N’ayez pas peur d’expérimenter. C’est en mettant les mains dans la terre qu’on apprend le mieux. C’est un projet incroyablement gratifiant, à la croisée du jardinage, de la science et de l’art. Et surtout, amusez-vous !
Galerie d’inspiration
Cherchez l’inspiration au-delà de votre jardinerie locale. Les bocaux de pharmacie anciens, les bonbonnières chinées en brocante ou même une dame-jeanne offrent un cachet inimitable. L’imperfection du verre soufflé à la bouche ajoute une dimension poétique que les contenants modernes peinent à égaler.
Le plus vieux terrarium connu a été scellé en 1960 par David Latimer et n’a été arrosé qu’une seule fois, en 1972. Il continue de prospérer aujourd’hui.
Cela illustre la puissance d’un écosystème parfaitement équilibré. Le secret réside dans le choix initial des plantes et la juste quantité d’humidité de départ pour créer un cycle de l’eau autonome et durable.
Comment savoir quand arroser un terrarium fermé ?
Observez les parois. Une légère condensation le matin ou le soir est un signe de bonne santé. Si les vitres sont constamment embuées, aérez-le une heure ou deux. Si aucune condensation n’apparaît pendant plusieurs jours, il est temps d’ajouter un peu d’eau, de préférence de pluie ou déminéralisée, avec un pulvérisateur pour une répartition fine.
Une pince longue (type pince à barbecue ou pince aquariophile) pour placer les éléments avec précision.
Un petit entonnoir ou une feuille de papier roulée pour verser sable et terreau sans salir les parois.
Un pinceau à poils souples pour nettoyer les feuilles et les vitres à l’intérieur.
Le secret ? Beaucoup de ces outils se trouvent déjà dans vos tiroirs ou peuvent être bricolés facilement.
Le charbon actif : le héros méconnu. Une fine couche de charbon actif pour terrarium (disponible en granulés) au-dessus de la couche de drainage n’est pas une option, c’est une nécessité. Il agit comme un filtre naturel, purifiant l’eau qui circule et prévenant le développement de moisissures et de mauvaises odeurs, garantissant ainsi la fraîcheur de votre mini-monde.
Option A : l’aspect naturel. Un paysage composé uniquement de végétaux, de bois flotté, de pierres et de mousses. L’accent est mis sur l’imitation d’un véritable sous-bois ou d’un paysage rocailleux.
Option B : la touche de fantaisie. L’ajout de petites figurines (animaux, personnages, petites maisons). Cela peut apporter une touche de malice mais risque de surcharger la composition et de paraître moins intemporel. À vous de choisir votre histoire !
Saviez-vous qu’une plante en bonne santé peut recycler jusqu’à 97% de l’eau qu’elle absorbe ?
Dans un terrarium fermé, ce phénomène, la transpiration, est le moteur de votre écosystème. C’est cette vapeur d’eau qui, en se condensant sur le verre, crée la
Pour un terrarium humide réussi, le substrat est clé. Oubliez le terreau universel, trop dense. Créez votre propre mélange :
50% de terreau de qualité (type Substral ou Fertiligène)
25% de tourbe de sphaigne pour la rétention d’eau
25% de perlite ou de vermiculite pour l’aération
Attention, effet de serre ! Ne placez jamais un terrarium fermé en plein soleil. Le verre agit comme une loupe, la température interne peut grimper en flèche et littéralement cuire vos plantes en quelques heures. Préférez une lumière vive mais indirecte, comme près d’une fenêtre orientée au nord ou à l’est.
Un écosystème qui nettoie lui-même ses déchets.
Une prévention naturelle contre la moisissure.
Des plantes plus saines et vigoureuses.
Le secret ? Introduisez des collemboles et des cloportes nains ! Ces petits détritivores forment une
La taille est un art délicat mais nécessaire pour éviter que votre jungle ne devienne trop envahissante.
Utilisez des ciseaux longs et fins (type ciseaux à bonsaï) pour plus de précision.
Coupez les feuilles jaunies ou abîmées à leur base.
N’hésitez pas à pincer les nouvelles pousses pour encourager la plante à se ramifier plutôt qu’à monter.
Votre Fittonia s’est complètement affaissé ?
Pas de panique ! Le Fittonia, ou
Pour un terrarium de succulentes, inspirez-vous du Karesansui, l’art des jardins secs japonais. Utilisez du sable fin de différentes couleurs (blanc, noir, beige) pour dessiner des vagues avec un petit râteau. Placez une ou deux pierres aux formes intéressantes (les pierres Seiryu sont parfaites pour cela) pour créer un point focal. Le vide est aussi important que le plein.
L’ancêtre du terrarium moderne est la
Pouzolane : Roche volcanique légère et très poreuse, elle assure un excellent drainage tout en retenant un peu d’humidité, ce qui peut être bénéfique pour les plantes tropicales.
Billes d’argile : Plus courantes et économiques, elles sont parfaites pour le drainage mais ne retiennent pas l’eau. Idéales pour les débutants et les compositions qui craignent l’excès d’humidité.
Les deux sont d’excellentes options pour votre couche de fondation.
Pour garder une vue imprenable sur votre petit monde, la propreté des vitres est essentielle. Utilisez un chiffon en microfibre légèrement humide, enroulé autour d’une baguette pour atteindre les recoins. Pour les taches de calcaire, quelques gouttes de vinaigre blanc sur le chiffon feront des merveilles. Évitez les produits chimiques qui pourraient nuire à l’écosystème.
Indispensable : la mousse boule. Au-delà de son esthétique luxuriante, elle agit comme une éponge naturelle. Elle aide à maintenir un taux d’humidité élevé et constant, essentiel à la survie des Fittonias, fougères et autres plantes tropicales. C’est l’âme d’un terrarium fermé réussi.
Les Marimo (Aegagropila linnaei) ne sont pas des mousses, mais des boules d’algues. Faciles à intégrer, elles ajoutent une touche de vert profond et une forme douce et originale à votre composition humide. Elles demandent très peu de lumière et se contentent de l’humidité ambiante. Un ajout simple pour un effet maximal.
Une fougère capillaire pour la légèreté.
Un Fittonia pour ses feuilles colorées et graphiques.
Un Syngonium nain (Pixie) pour la structure.
Un Asparagus plumosus pour un effet vaporeux.
Le point commun ? Ces plantes adorent l’humidité et une lumière tamisée, le combo parfait pour un bocal fermé.
Pourquoi ne jamais utiliser de la terre de jardin ?
Elle est trop compacte, ce qui asphyxie les racines dans un environnement confiné. De plus, elle est un véritable cheval de Troie : elle contient des graines de mauvaises herbes, des spores de champignons et une myriade d’insectes ou de vers indésirables qui pourraient rapidement transformer votre éden en champ de bataille biologique.
Le moment le plus magique est souvent le matin. Observez la buée qui se forme sur la paroi la plus froide du verre, puis regardez les gouttelettes se regrouper et ruisseler le long de la paroi pour retourner à la terre. C’est le cycle de l’eau de votre planète miniature en action, un spectacle quotidien et apaisant.
Une étude de la NASA de 1989 a révélé que certaines plantes d’intérieur peuvent éliminer jusqu’à 87% des toxines de l’air en 24 heures.
Même si votre terrarium est un monde clos, les plantes qu’il contient (comme les fougères ou les Syngoniums) sont des championnes de la purification. C’est une belle pensée de savoir que ce petit objet déco est aussi un concentré de bienfaits naturels.
Le contenant spécialisé : Des marques comme Green Factory ou des artisans sur Etsy proposent des bocaux avec des couvercles en liège parfaitement ajustés et un verre de haute qualité. C’est un investissement qui garantit une étanchéité idéale et un look professionnel.
Le bocal de récup’ : Un ancien bocal Le Parfait ou une bonbonne sont plus économiques et ont une âme. Assurez-vous simplement que le joint du couvercle est en bon état ou soyez prêt à l’ouvrir de temps en temps pour réguler l’humidité.
Créez une ambiance préhistorique en quelques gestes. Privilégiez les fougères foisonnantes comme la Davallia (patte de lapin). Ajoutez un morceau de bois flotté sombre et tortueux pour imiter une vieille souche et parsemez le sol de petites roches volcaniques noires. Le décor est planté pour accueillir un dinosaure miniature !
Alerte aux petits points blancs qui sautent ! Pas de panique, ce sont des collemboles. Loin d’être des nuisibles, ils sont les meilleurs alliés de votre terrarium. Ces minuscules arthropodes sont des détritivores : ils se nourrissent des moisissures et des matières organiques en décomposition, contribuant à garder votre écosystème propre et sain. Leur présence est un signe de bonne santé !
Styliste Beauté & Adepte du Bien-être Naturel Ses expertises : Coiffure créative, Soins naturels, Équilibre intérieur
Sandrine a commencé sa carrière dans les salons parisiens avant de s'orienter vers une approche plus naturelle de la beauté. Convaincue que le bien-être intérieur se reflète à l'extérieur, elle explore constamment de nouvelles techniques douces. Ses années d'expérience lui ont appris que chaque personne est unique et mérite des conseils personnalisés. Grande amatrice de yoga et de méditation, elle intègre ces pratiques dans sa vision holistique de la beauté. Son mantra : prendre soin de soi devrait être un plaisir, jamais une corvée.