Sérigraphie, Flex, DTG : Le Guide Complet Pour Ne Plus Jamais Rater Vos T-shirts

Franchement, qui n’a jamais rêvé de créer son propre t-shirt ? Pour un événement, pour lancer une petite marque, ou juste pour le plaisir d’avoir un design unique. Sauf que… le résultat est souvent décevant. Le logo qui craquelle après deux lavages, les couleurs fadasses, le t-shirt qui se déforme… Ça vous parle ?

Le truc, c’est qu’un t-shirt personnalisé, c’est bien plus qu’un simple logo sur du coton. C’est un choix technique. Et c’est là que tout se joue. Mon but ici, c’est de vous donner les clés que je partage tous les jours dans mon atelier. Pas de jargon compliqué, juste une discussion honnête sur ce qui marche, ce qui ne marche pas, et surtout, combien ça coûte vraiment.

Considérez ça comme le guide ultime pour ne plus vous faire avoir et obtenir un résultat dont vous serez fier.

Étape 1 : Tout commence par le bon T-shirt (Non, ils ne sont pas tous pareils)

Avant même de penser à l’impression, parlons du support. Choisir le bon t-shirt, c’est 50% du travail. Un textile de mauvaise qualité peut ruiner la meilleure des impressions. La première question à se poser est donc : pour quel usage ?

Coton, Polyester ou Mélange ? La composition, ça change tout !

La fibre de votre t-shirt va directement dicter la technique d’impression possible. C’est la règle de base.

• 100% Coton : C’est le roi pour la plupart des techniques. Il absorbe super bien les encres et offre un rendu incroyable en impression numérique (DTG). Pour une qualité top, cherchez le coton « ring-spun » (filé à anneaux) : il est plus doux, plus lisse, et l’impression est bien plus nette.
• 100% Polyester : Le textile des sportifs par excellence. Il respire, il sèche vite, mais il n’aime pas toutes les encres. Sa technique de prédilection, c’est la sublimation. On en reparle plus bas.
• Les Mélanges (Poly-coton, Tri-blend) : Un 50/50 polyester/coton, c’est un bon compromis entre la douceur et la résistance. Les tri-blends (avec de la rayonne en plus) sont ultra-doux avec un petit côté vintage. Attention, leur impression est plus technique et demande des encres spéciales pour que les couleurs tiennent bien.

Bon à savoir : Pour vous donner un ordre d’idée sur le coût du t-shirt vierge, pour du promotionnel basique, on trouve des marques comme Gildan ou Fruit of the Loom entre 3€ et 5€ pièce. Si vous visez une qualité premium pour une marque, par exemple, on se tourne vers du Stanley/Stella ou B&C, où la pièce peut coûter entre 6€ et 12€.

Le Grammage : L’indice de qualité

Le grammage (g/m²), c’est le poids du tissu. Et oui, ça a un impact direct sur la sensation et la durabilité.

• Léger (130-150 g/m²) : Typique du t-shirt promotionnel. Économique, mais souvent un peu transparent et se déforme plus vite.
• Standard (150-180 g/m²) : Le juste milieu. Bonne tenue, assez durable. C’est le plus courant.
• Lourd (+ de 180 g/m²) : On est sur de la qualité supérieure. C’est épais, ça garde sa forme pendant des années. Idéal pour un produit que vous voulez vendre.

Étape 2 : Les Techniques de Marquage Décryptées (avec un tableau pour les pressés)

Ok, on a le t-shirt. Maintenant, comment on met ce foutu visuel dessus ? Chaque méthode a ses avantages et ses secrets. Pour y voir clair en 30 secondes, voici un petit tableau récapitulatif.

Technique	Idéal pour…	Avantages	Inconvénients	Coût
Sérigraphie	Grandes séries (+50), logos simples, marques	Ultra-durable, couleurs vives, coût/pièce faible en grande quantité	Frais de démarrage, pas rentable pour les petites séries	Élevé au départ, puis très bas
Transfert (Flex)	Pièces uniques, petites séries, numéros/noms	Pas de frais de départ, rendu net, effets spéciaux (paillettes, velours)	Toucher « plastique », moins durable, pas pour les détails fins	Moyen par pièce, constant
DTG (Numérique)	Photos, visuels complexes, petites séries	Couleurs illimitées, toucher doux, pas de frais de départ	Cher en grande série, idéal sur 100% coton blanc, couleurs moins vives	Élevé par pièce, constant
Sublimation	Maillots de sport, textiles 100% polyester blanc/clair	Indétectable au toucher, ultra-durable, couleurs éclatantes	QUE sur polyester, QUE sur fond clair	Élevé par pièce, constant

La Sérigraphie : La méthode traditionnelle et robuste

C’est la technique reine pour les grandes séries. On crée un pochoir (un écran) pour chaque couleur du visuel, et on fait passer l’encre à travers avec une racle. Simple sur le papier, mais un vrai savoir-faire en pratique.

Les + : Durabilité exceptionnelle (l’impression survit souvent au t-shirt !), couleurs vives, et un coût par pièce qui devient très bas à partir de 50 exemplaires.

Les – : Les coûts de démarrage, qu’on appelle « frais de calage ». Il faut fabriquer un écran par couleur, et ça, ça a un prix. Comptez entre 30€ et 50€ PAR couleur. Donc, pour un logo 3 couleurs, vous démarrez déjà avec une facture de 90-150€ avant même d’avoir imprimé le premier t-shirt. C’est ce qui la rend non rentable pour les petites quantités.

Le Transfert à Chaud (Flex/Floc) : La solution rapide et flexible

Ici, on découpe le visuel dans une feuille de matière thermocollante (le flex), puis on l’applique sur le t-shirt avec une presse à chaud. C’est parfait pour personnaliser un maillot avec un nom ou un numéro.

Les + : Idéal pour les pièces uniques, rendu très net et opaque, et plein de finitions possibles (mat, brillant, velours, paillettes…).

Les – : Le toucher peut être un peu « plastique » et ça respire moins bien sur de grandes surfaces. Et attention aux logos très fins ! L’étape où on enlève le surplus de matière à la main (l’échenillage) peut vite devenir un cauchemar. Si votre design a des détails plus fins qu’un cure-dent, cette technique n’est peut-être pas la bonne.

Attention ! N’utilisez JAMAIS votre fer à repasser pour ça. C’est l’erreur numéro 1. Un fer ne donne ni la bonne température, ni la bonne pression. C’est la garantie d’un logo qui se décolle au premier lavage. Une presse à chaud, c’est un investissement (on en trouve des correctes à partir de 200-300€) mais c’est indispensable.

L’Impression Numérique (DTG) : La photo sur ton t-shirt

Imaginez votre imprimante de bureau, mais pour les t-shirts. C’est le DTG. Elle pulvérise l’encre directement sur le tissu. C’est la solution magique pour les visuels complexes, les photos, les dégradés…

Les + : Aucune limite de couleurs, toucher très doux (l’encre est DANS la fibre), et pas de frais de démarrage. Parfait pour une pièce unique.

Les – : Le coût par pièce est plus élevé que la sérigraphie en grande quantité. Ça fonctionne vraiment bien sur du 100% coton, beaucoup moins sur les autres matières. La durabilité est bonne, mais souvent un cran en dessous de la sérigraphie.

La Sublimation : La technique secrète des sportifs

C’est un peu de la magie. L’encre, sous l’effet de la chaleur, passe de l’état solide à gazeux et vient teinter la fibre de polyester. Le résultat est permanent et totalement indétectable au toucher.

Les + : Durabilité maximale, couleurs éclatantes, et le tissu garde toute sa respirabilité.

Les – : Ça ne marche QUE sur du polyester (ou des supports traités pour) et QUE sur des fonds blancs ou très clairs. L’encre étant transparente, impossible d’imprimer du blanc sur un t-shirt noir.

Étape 3 : Concevoir un Visuel Qui Marche (et qui ne ruinera pas votre imprimeur)

Vectoriel vs. Raster : Le truc à comprendre une bonne fois pour toutes

C’est LA distinction technique à connaître. Imaginez : vous zoomez à fond sur une photo (un fichier .jpeg ou .png). Vous voyez des petits carrés, des pixels, l’image devient floue. Ça, c’est du Raster. Maintenant, imaginez zoomer sur un logo comme celui de Nike. Il reste parfaitement net, même à la taille d’un immeuble. Ça, c’est du Vectoriel (.ai, .eps, .svg).

Pour la sérigraphie et le flex, le vectoriel est OBLIGATOIRE. Pour le DTG, un fichier raster de très haute qualité (300 DPI à la taille d’impression) peut suffire. Fournir le bon fichier, c’est éviter les mauvaises surprises et les frais supplémentaires.

Le Placement : Quelques millimètres qui changent tout

Un logo bien placé, ça fait toute la différence entre un look pro et un look amateur. En général, on place le haut du visuel à environ 4 doigts sous le col pour un logo centré.

Astuce de pro que personne ne donne : Pour centrer parfaitement un logo, pliez le t-shirt en deux verticalement. Passez-le juste 2 secondes sous la presse à chaud (ouverte, pour juste marquer avec la chaleur du plateau). Vous obtenez un léger pli central qui sert de guide parfait. Fini les logos de travers !

Étape 4 : Concrètement, Je Choisis Quoi et Ça Coûte Combien ?

Mettons tout ça en pratique. Voici des scénarios réels avec des budgets estimés.

Pour un cadeau unique (une photo, un dessin complexe) :
Go pour le DTG. Adressez-vous à un service pro en ligne ou local. Pour un t-shirt de qualité, comptez un budget total entre 25€ et 40€.

Pour une équipe ou une asso (20-50 pièces, logo simple 1-2 couleurs) :
La sérigraphie devient très intéressante. Prévoyez un budget global : environ 40€ de frais techniques par couleur + (nombre de t-shirts x 8-12€ pièce). Pour 30 t-shirts avec un logo 1 couleur, on serait autour de 280€ – 400€ au total. Le flex est une alternative si chaque t-shirt doit avoir un nom différent.

Pour lancer une marque de vêtements (+50 pièces) :
La sérigraphie, sans aucune hésitation. C’est la seule option qui garantit une qualité pro et un coût par pièce assez bas pour faire une marge. Pour 100 t-shirts avec un logo 2 couleurs, le coût par pièce imprimé chute drastiquement. Le budget total pourrait se situer entre 700€ et 900€. Et surtout, exigez toujours un BAT (Bon à Tirer), c’est votre échantillon de validation avant de lancer la grosse production.

Derniers Conseils Avant de Lancer : Délais et Questions Clés

Soyons réalistes sur les délais. Pour une petite commande en flex ou DTG, un bon atelier peut vous livrer en 2 à 4 jours ouvrés. Pour une production en sérigraphie, c’est plus long : entre la validation du BAT, la création des écrans et l’impression, comptez plutôt entre 7 et 15 jours ouvrés. N’attendez pas la dernière minute !

Et pour avoir l’air d’un pro et ne pas vous faire avoir, voici les 5 questions à toujours poser à votre imprimeur :

1. Quel type de t-shirt (marque, grammage) proposez-vous pour mon budget ?
2. Avec mon visuel, quelle technique est la plus adaptée et pourquoi ?
3. Y a-t-il des frais techniques ou de préparation de fichier à prévoir ?
4. Quel est le délai total après la validation de l’échantillon (BAT) ?
5. Comment dois-je laver le t-shirt pour que l’impression dure le plus longtemps possible ?

Comment Garder Votre T-shirt Impeccable Pendant des Années

Un bon marquage doit tenir, mais quelques gestes simples peuvent vraiment prolonger sa vie.

• Lavez à l’envers, à 30°C max. C’est la base pour protéger l’impression.
• Le sèche-linge est l’ennemi public n°1. C’est simple : bannissez-le. Il fait craqueler le flex et ternit les encres. Séchage à l’air libre, point.
• Ne repassez JAMAIS directement sur le visuel. Faites-le toujours à l’envers, sinon c’est la catastrophe assurée.

Vous avez les cartes en main

Voilà, vous avez maintenant toutes les infos pour faire un choix éclairé. Il n’y a pas de « meilleure » technique universelle, juste la bonne technique pour le bon projet, le bon visuel et le bon budget.

Vous êtes maintenant armé pour poser les bonnes questions, comprendre ce que vous achetez et exiger un travail de qualité. Un t-shirt bien fait, c’est un objet qui porte un message, une histoire… et qui mérite d’être créé avec soin. Alors, lancez-vous !

Galerie d’inspiration

Le fichier de votre design est la fondation de tout. Pour un logo ou un dessin avec des lignes nettes, privilégiez un fichier vectoriel (.ai, .eps, .svg). Il peut être agrandi à l’infini sans perte de qualité. Pour une photo ou un design complexe avec des dégradés, un fichier raster haute résolution (.psd, .png, .tiff) à 300 DPI est indispensable, surtout pour l’impression DTG.

• Retournez toujours le t-shirt avant de le laver.
• Lavez à froid (30°C maximum) avec des couleurs similaires.
• Évitez le sèche-linge, qui est l’ennemi juré des impressions. Préférez un séchage à l’air libre.
• Ne repassez jamais directement sur le motif.

Le grammage (GSM) : Souvent négligé, le poids du tissu, exprimé en grammes par mètre carré (GSM), est un indicateur clé de qualité. Un t-shirt promotionnel se situe autour de 145 g/m². Pour un produit premium, visez au-delà de 180 g/m². Un grammage plus élevé signifie plus de durabilité, un meilleur tombé et une meilleure opacité.

Le marché mondial de l’impression de t-shirts personnalisés était évalué à 3,9 milliards de dollars en 2021 et devrait atteindre 7,5 milliards d’ici 2028.

Une nouvelle technique fait de plus en plus parler d’elle : le DTF (Direct-to-Film). Elle combine la qualité et la polyvalence.

• Impression sur un film transfert, puis pressage à chaud sur le textile.
• Fonctionne sur coton, polyester, mélanges, et même sur des couleurs sombres sans difficulté.
• Offre une grande élasticité et une durabilité impressionnante.

Peut-on imprimer sur les coutures, les cols ou les fermetures éclair ?

C’est techniquement possible mais fortement déconseillé pour un résultat net. La surface inégale empêche une pression et une application d’encre uniformes. Cela crée des manques, des bavures et une usure prématurée du design. Pour un look pro, gardez une marge de sécurité d’au moins 2 cm autour de toute couture ou relief.

Encres plastisol : La norme en sérigraphie. Opaques, vives, durables. On sent une légère surépaisseur au toucher. Idéales pour les textiles sombres.

Encres à l’eau : Plus écologiques, elles pénètrent la fibre du tissu. Le toucher est beaucoup plus doux, voire imperceptible. Le rendu est plus

Un seul t-shirt en coton nécessite environ 2 700 litres d’eau pour sa production, soit l’équivalent de ce qu’une personne boit en 2 ans et demi.

C’est pourquoi opter pour du coton biologique ou recyclé, et des techniques d’impression moins gourmandes en eau comme le DTG avec des encres certifiées OEKO-TEX®, fait une réelle différence pour l’environnement.

• Un look vintage authentique dès le premier jour.
• Les petites craquelures futures se fondront dans le style.
• Parfait pour les logos de groupes de rock, les marques de skate ou un style rétro.

Le secret ? Un fichier graphique qui intègre déjà une texture d’usure. L’imprimeur n’a qu’à reproduire ce

Envie de relief ? La

L’outil sous-estimé : La presse à chaud. Pour le flex, le floc ou le DTF, la qualité du pressage est aussi importante que l’impression. Une bonne presse garantit une température et une pression uniformes sur toute la surface, ce qui est crucial pour que le transfert adhère durablement au textile sans se décoller après quelques lavages. Un fer à repasser ne donnera jamais le même résultat.

• Trop bas : Le logo
  

  
  

  Quelle est la meilleure technique pour imprimer une photo sur un t-shirt ?

  Sans hésiter, le DTG (Direct-to-Garment). C’est l’équivalent d’une imprimante à jet d’encre pour tissu. Elle peut reproduire des millions de couleurs, des dégradés subtils et des détails complexes avec une précision photographique. C’est la solution idéale pour les designs uniques ou les petites séries, directement sur des t-shirts en coton.

  
  

  
  

  L’un des premiers exemples connus de t-shirt graphique promotionnel remonte à 1939, pour le film

  
  

  Gildan Hammer : Un excellent rapport qualité-prix. Coton épais (203 g/m²), coupe classique et robuste, parfait pour un style streetwear ou workwear.

  Stanley/Stella Creator : La référence premium et éco-responsable. Coton bio (180 g/m²), coupe moderne ajustée, toucher ultra-doux. Idéal pour une marque de créateur qui mise sur la qualité et l’éthique.

  
  

  
  

  Le flex, ce n’est pas que du plastique lisse ! Explorez des finitions qui sortent de l’ordinaire pour donner du caractère à un design simple.

  • Le Floc : Un aspect velours, doux au toucher, parfait pour un look rétro ou premium.
  • Le Métallique : Or, argent, cuivre… pour une touche bling-bling ou élégante qui capte la lumière.
  • Le Pailleté (Glitter) : Pour des designs festifs qui ne passeront pas inaperçus.

  
  

  
  

  Le système Pantone permet d’identifier plus de 2000 couleurs codifiées.

  Pour une marque, c’est la garantie absolue de la cohérence. En donnant une référence Pantone (ex: Pantone 18-1663

  
  

  On parle souvent de

  
  

  
  

  • Crée un design plus subtil et intelligent.
  • Réduit la quantité d’encre utilisée, donc potentiellement le coût et la rigidité.
  • Intègre la couleur du t-shirt comme un élément à part entière du visuel.

  Le secret ? Penser non pas à ce que vous imprimez, mais à ce que vous n’imprimez pas. C’est la couleur du tissu qui dessinera les formes.

  
  

  • La couleur : Le rendu est-il fidèle à votre fichier sur écran ? (Attention, un écran est toujours plus lumineux).
  • Le toucher : L’impression est-elle rigide, douce, collante ?
  • L’alignement : Le design est-il droit et bien positionné ?
  • Le test de lavage : Lavez-le une fois pour vérifier la tenue de l’impression.

  
  

  
  

  Pourquoi mon design blanc sur t-shirt noir semble-t-il grisâtre et délavé ?

  C’est probablement un problème de sous-couche. Sur textile foncé, les imprimeurs (en sérigraphie ou DTG) doivent d’abord appliquer une couche d’encre blanche avant d’imprimer les couleurs par-dessus. Si cette base est mal appliquée, trop fine ou absente, les couleurs du design perdent leur éclat car la couleur foncée du t-shirt

  
  

  
  

  DIY (papier transfert A4) : Idéal pour un événement unique. Coût faible (~2-3€ la feuille) mais durabilité très limitée et rendu souvent

  
  

  Le secret du Tri-Blend : Ce toucher incroyablement doux et ce drapé fluide viennent de sa composition unique. C’est généralement 50% polyester pour la résistance, 25% coton peigné pour la douceur, et 25% rayonne. La rayonne est la star cachée : c’est une fibre artificielle d’origine végétale qui donne cet aspect chiné

  
  

  
  

  Un même gris paraîtra plus clair sur un fond noir que sur un fond blanc. C’est le phénomène du contraste simultané.

  Concrètement pour votre t-shirt : un design avec des couleurs de valeur moyenne semblera

  La poitrine est un classique, mais le potentiel créatif d’un t-shirt est bien plus vaste. Pensez à un petit logo discret sur la manche gauche, une phrase percutante dans la nuque juste en dessous du col, ou un grand visuel qui descend le long du flanc. Ces placements inattendus transforment un simple t-shirt imprimé en une véritable pièce de créateur.