Dessiner sur un Gobelet : Le Guide Complet pour Ne Pas Se Rater (Carton & Plastique)
Découvrez comment un simple gobelet Starbucks peut devenir une œuvre d’art inspirante. Osez personnaliser votre boisson au quotidien !

Chaque matin, en savourant mon café, je ne peux m'empêcher de penser à toutes les façons de rendre ce moment unique. Qui aurait cru qu'un gobelet en carton pourrait devenir une toile d'expression personnelle ? Des artistes transforment ces contenants en œuvres éphémères, alliant créativité et caféine. Plongez dans cet univers où chaque gobelet raconte une histoire.
Plus qu’un simple gobelet, une véritable toile !
On a tous déjà fait ça, non ? Tenir un gobelet en carton vide, un feutre à la main, et commencer à gribouiller sans trop y penser. Pour moi, c’est comme ça que tout a commencé. Un simple dessin par habitude est devenu une vraie passion. J’ai vite compris que cet objet du quotidien, qu’on jette sans y penser, pouvait devenir une superbe toile d’expression.
Contenu de la page
- Plus qu’un simple gobelet, une véritable toile !
- Chapitre 1 : Connaître sa toile, la base de tout
- Chapitre 2 : Le bon matos pour un bon résultat
- Chapitre 3 : La pratique, étape par étape (et sans stress)
- Chapitre 4 : Aller plus loin et trouver son style
- Chapitre 5 : Créer, oui, mais en toute sécurité
- À votre tour de jouer !
- Galerie d’inspiration
Depuis, j’ai testé des dizaines de techniques, de feutres, de peintures… et j’ai fait à peu près toutes les erreurs possibles. Franchement, personnaliser un gobelet, c’est hyper simple, à condition de connaître deux ou trois astuces. Il ne s’agit pas juste de faire un joli dessin, mais de comprendre sur quoi on travaille pour que ça tienne dans le temps.
Alors, dans ce guide, je vous partage tout ce que j’ai appris. Pas de blabla technique, que du concret, des conseils tirés du terrain. On va voir ensemble comment dompter les gobelets en carton pour le café et ceux en plastique pour les boissons froides. Chaque support a ses petits secrets, et je suis là pour vous les livrer.

Chapitre 1 : Connaître sa toile, la base de tout
Avant même de déboucher votre feutre, prenez une seconde pour observer le gobelet. Sa conception est pensée pour contenir un liquide, et ça, ça change tout pour nous. Ignorer ce détail, c’est la garantie d’un résultat qui bave ou qui s’efface en cinq minutes.
Le gobelet en carton (boissons chaudes)
Le gobelet en carton, on se dit que c’est comme du papier. Erreur ! Pour être étanche, il est recouvert à l’intérieur (et souvent à l’extérieur) d’une fine couche de plastique. Pensez-y comme un imperméable invisible. Ce film est lisse et pas très poreux, ce qui est un vrai défi pour beaucoup d’encres qui vont simplement perler dessus. La texture du carton peut être un atout, car elle accroche un peu les pigments, mais elle peut aussi faire dévier la pointe d’un feutre si on n’est pas délicat.
Le gobelet en plastique (boissons froides)
Là, on entre dans un autre monde. La surface d’un gobelet en plastique transparent est ultra-lisse, presque comme du verre. L’adhérence est donc le problème numéro un. Et je ne vous parle même pas de votre ennemi juré : la condensation. Une boisson bien fraîche va créer de l’humidité sur la paroi, et là, c’est la catastrophe assurée pour votre dessin si vous n’avez pas utilisé le bon matériel.

En plus, le plastique est souple. Il faut y aller avec légèreté. Imaginez que vous dessinez sur un œuf. Il faut de la délicatesse pour ne pas tout déformer ou, pire, percer le gobelet.
Et les gobelets réutilisables (tumblers) ?
C’est une excellente option ! Les techniques sont similaires, mais on vise la durabilité. Qu’il soit en plastique dur ou en acier inoxydable, le support est souvent de meilleure qualité. Le gros avantage, c’est qu’on peut prendre son temps pour bien faire les choses, car l’œuvre est faite pour durer. Pour l’inox, il faudra parfois un apprêt spécial pour que la peinture accroche, mais le jeu en vaut la chandelle.
Chapitre 2 : Le bon matos pour un bon résultat
Le choix des outils, c’est 50% de la réussite. Inutile de dépenser une fortune, ce qui compte, c’est de choisir le bon outil pour le bon support. Voici ce qui marche vraiment, testé et approuvé après des dizaines d’essais.

Les marqueurs : le choix du roi
Pour faire simple, voici un petit comparatif pour vous aider à choisir :
- Les marqueurs à base d’huile (les plus connus sont souvent de la marque Sharpie) : Ce sont les champions pour les surfaces lisses. Ils sont parfaits pour le plastique et le revêtement des gobelets en carton. Leur point fort : l’encre est opaque et ultra-résistante une fois sèche. Attention : l’odeur est assez forte, donc aérez bien la pièce ! Prix moyen : entre 3€ et 6€ l’unité. Vous les trouverez dans les magasins de loisirs créatifs (Cultura, Rougier & Plé) ou en ligne.
- Les marqueurs à base d’acrylique (type Posca et similaires) : Les rois du carton ! La peinture est couvrante, les couleurs sont vives et on peut même les superposer. Leur point fort : idéal pour le carton, couleurs éclatantes. Leur faiblesse : sur plastique, l’accroche est fragile et peut partir d’un simple coup d’ongle sans vernis de protection. Prix moyen : entre 4€ et 7€ l’unité.
- Les marqueurs à alcool (ceux utilisés par les pros du dessin) : Honnêtement, oubliez-les pour débuter sur des gobelets. Sur plastique, ils ne sèchent jamais vraiment. C’est une source de frustration assurée.
Bon à savoir : Les marqueurs à huile ou acrylique doivent être amorcés. Secouez-les bien, puis pompez la pointe sur une feuille de brouillon jusqu’à ce que la couleur arrive. Ne faites jamais ça directement sur votre gobelet !

Le kit du débutant (à moins de 20€)
Pour vous lancer sans vous ruiner, voici une liste de courses simple et efficace :
- 1 marqueur noir à base d’huile : environ 4€
- 1 ou 2 marqueurs acryliques de couleur : environ 5€ pièce
- De l’alcool à 70° ou isopropylique : 3€ en pharmacie ou supermarché
- Un gobelet réutilisable basique : à partir de 3€
Avec ça, vous avez déjà de quoi faire des merveilles !
Protéger son œuvre : l’étape à ne JAMAIS zapper
Un dessin, c’est bien. Un dessin qui dure, c’est mieux ! Un vernis va protéger votre création de l’eau, des frottements et du soleil. Mais attention, on parle d’un objet qu’on va manipuler et approcher de sa bouche.
ALERTE SÉCURITÉ : Utilisez impérativement un vernis certifié « non toxique » ou « apte au contact alimentaire » une fois sec. Lisez bien les étiquettes. Certains vernis-colles connus (comme le Mod Podge « Dishwasher Safe ») sont une option, mais demandent un temps de séchage complet (on parle de « cure ») de plusieurs semaines avant d’être vraiment résistants. C’est long, mais c’est le prix de la durabilité.

Chapitre 3 : La pratique, étape par étape (et sans stress)
On a le matos, on a la connaissance. C’est parti ! Ces quelques gestes simples feront toute la différence entre un gribouillage et une vraie personnalisation réussie.
Étape 1 : Le nettoyage, le secret des pros
C’est l’étape que 90% des gens oublient, surtout sur le plastique. Nos doigts laissent des traces de gras qui empêchent l’encre d’accrocher. Prenez un chiffon propre, imbibez-le d’alcool et frottez toute la surface. Laissez sécher 1 minute. Faites le test : passez votre doigt dessus avant et après. Vous sentez comme ça « crisse » un peu ? C’est le signe que la surface est prête !
Étape 2 : Dessiner, avec ou sans filet
Si vous n’êtes pas à l’aise à main levée, pas de panique. Utilisez du papier carbone (celui des carnets de factures de nos parents !). Imprimez votre motif, placez le carbone, puis votre dessin par-dessus. Repassez sur les lignes avec un crayon, et voilà ! Le motif est transféré. N’appuyez pas comme un fou pour ne pas marquer le gobelet.

Étape 3 : La couleur et les finitions
La règle d’or : toujours des couleurs claires vers les plus foncées. C’est plus facile de recouvrir du jaune avec du noir que l’inverse. Et surtout, soyez patient ! Laissez chaque couleur sécher avant d’en appliquer une autre. Ça peut prendre 5 minutes pour un trait fin, mais jusqu’à 20-30 minutes pour un aplat de couleur avec un marqueur acrylique. Si vous êtes impatient, vous allez arracher la première couche et faire des traces horribles. Croyez-moi, j’ai testé pour vous…
Petit conseil : Calez votre gobelet dans un gros rouleau de ruban adhésif pour qu’il ne bouge pas. Pour tracer des lignes droites, faites tourner le gobelet plutôt que votre main. Le geste sera bien plus fluide.
SOS : J’ai fait une bêtise, comment j’efface ?
Ah, la question qui angoisse tout le monde ! La réponse dépend du support et de votre rapidité.

- Sur du plastique lisse (avec un marqueur à huile ou acrylique) : Si vous venez de faire le trait, VITE ! Un coton-tige imbibé d’alcool isopropylique et vous pouvez l’effacer net. Si c’est sec, c’est plus compliqué mais l’alcool peut encore fonctionner avec un peu d’huile de coude.
- Sur du carton couché : Là… c’est quasi mission impossible. Le revêtement plastique est fragile et l’encre s’y incruste un peu. La meilleure solution est souvent d’assumer, de laisser sécher, et d’intégrer l’erreur au dessin ou de la recouvrir avec une couleur plus foncée. C’est aussi ça, la création !
Chapitre 4 : Aller plus loin et trouver son style
Une fois les bases acquises, le vrai plaisir commence. Vous pouvez explorer des techniques plus créatives.
Jouer avec le logo existant
Sur certains gobelets de grandes chaînes, il y a des logos très connus, comme la fameuse sirène. Plutôt que de le cacher, pourquoi ne pas l’intégrer ? C’est un super exercice de créativité. J’ai vu des choses géniales : la sirène avec un casque de moto, des lunettes de soleil… La contrainte du logo vous pousse à être plus ingénieux.

Lettrage et calligraphie
Écrire sur une surface conique, c’est un vrai casse-tête. Pour éviter que les lettres paraissent tordues, tracez des lignes de guide très légères au crayon qui suivent la courbe du gobelet. Une astuce toute bête : tendez un élastique autour du gobelet, il vous servira de guide parfait !
Solutions durables pour gobelets réutilisables
Pour un objet qui va être lavé souvent, il faut du solide. Outre le vernis spécial lave-vaisselle, une option très pro est le vinyle adhésif permanent. Avec une machine de découpe (il en existe des modèles grand public très accessibles), vous pouvez créer des motifs d’une précision incroyable. La pose demande un peu de patience, mais le résultat est impeccable et durable.
Chapitre 5 : Créer, oui, mais en toute sécurité
On termine par le point le moins fun mais le plus important. Un créateur responsable est un créateur informé.
LA RÈGLE D’OR NON NÉGOCIABLE : Laissez toujours une marge de sécurité de 1,5 à 2 cm entre votre dessin et le bord supérieur du gobelet où vous posez vos lèvres. Aucune peinture, encre ou vernis ne doit entrer en contact avec votre bouche. Point.

Pensez aussi à bien ventiler votre espace de travail, surtout si vous utilisez des marqueurs à huile ou des bombes de vernis. Une fenêtre ouverte, ça ne coûte rien et ça protège votre santé.
Et enfin, une petite réflexion sur l’objet jetable. Passer du temps sur un objet qui finit à la poubelle peut sembler étrange. Personnellement, je vois ça comme un moment de détente, un art éphémère. Mais cette pratique m’a surtout donné envie de passer aux supports durables. Je vous encourage à faire de même : votre art vivra plus longtemps et c’est meilleur pour la planète.
À votre tour de jouer !
Voilà, vous avez toutes les cartes en main. Vous connaissez les supports, les outils, les techniques et les pièges à éviter. Le plus important maintenant, c’est de vous lancer. N’ayez pas peur de rater, chaque gobelet moche est une leçon précieuse. C’est le parcours normal de n’importe quel créatif.

Alors, prenez un gobelet, nettoyez-le, et exprimez-vous. C’est un art accessible, peu cher et incroyablement gratifiant. Et je vous parie que la prochaine fois que vous tiendrez une boisson chaude à la main, vous y verrez bien plus qu’un simple gobelet. Vous y verrez une toile blanche qui n’attend que vous.
Galerie d’inspiration


Pour une adhérence parfaite sur gobelet en plastique, la préparation est reine. Avant de dessiner, passez délicatement un coton imbibé d’alcool isopropylique sur la surface. Cela élimine les résidus gras invisibles et crée une base idéale pour que l’encre, notamment celle des feutres Sharpie à base d’huile, se fixe durablement sans perler.


L’artiste malaisien Cheeming Boey s’est fait connaître en réalisant des œuvres d’art incroyablement détaillées sur des gobelets en polystyrène, les vendant parfois plusieurs milliers de dollars.


Votre dessin bave à cause de la condensation ?
La solution est préventive ! Utilisez exclusivement des marqueurs permanents à base d’huile (comme les Sharpie Oil-Based ou les Molotow ONE4ALL) et, surtout, laissez votre œuvre sécher complètement pendant au moins une heure avant d’y verser une boisson froide. Pour une protection maximale, une fine couche de vernis en bombe Mod Podge ou Krylon Crystal Clear est votre meilleur allié.


- Travaillez par zones : Ne tournez pas le gobelet immédiatement après avoir dessiné.
- Haut vers le bas : Commencez par le haut pour éviter de poser votre main sur l’encre fraîche.
- Stabilisez votre main : Posez votre petit doigt sur le gobelet pour gagner en précision.


L’astuce de pro : Le fond blanc. Sur un gobelet en carton de couleur kraft, vos couleurs peuvent paraître ternes. Appliquez une première couche fine de peinture acrylique blanche ou un aplat avec un marqueur POSCA blanc. Une fois sec, ce fond agira comme une véritable toile, faisant exploser l’éclat de toutes les couleurs que vous ajouterez par-dessus.


Jouez avec le logo ! Au lieu de le cacher, intégrez la sirène de Starbucks, le logo de votre coffee shop local ou même le code-barres dans votre dessin. C’est un excellent point de départ créatif qui ancre votre œuvre dans son contexte et crée une interaction amusante entre l’objet commercial et votre touche personnelle.


Feutre fin (type Micron Pen) : Idéal pour les détails et les contours sur le carton, mais peut avoir du mal à marquer sur le plastique lisse.
Marqueur peinture (type POSCA) : Parfait pour les deux surfaces. Opaque, il couvre bien et permet les superpositions. Indispensable pour la couleur.
Le duo gagnant est souvent de commencer les aplats de couleur au POSCA et de peaufiner les détails fins avec un Sharpie ultra-fin une fois la peinture sèche.


- Obtenir des dégradés fluides.
- Faire des superpositions de couleurs sans attendre le séchage.
- Créer des effets d’aquarelle.
Le secret ? Les feutres à alcool comme les Copic ou les Promarker. Sur le plastique, ils se mélangent à merveille. Sur le carton, leur tendance à baver peut être utilisée de manière créative pour des fonds texturés.

Saviez-vous que la surface légèrement cireuse des gobelets en carton est due à une fine couche de polyéthylène (PE) ? C’est ce qui le rend imperméable, mais aussi plus délicat à décorer qu’un simple papier.
Comprendre cela change tout. Les encres à base d’eau vont perler, tandis que celles à base d’huile ou les pigments de marqueurs peinture (acrylique) vont


Ne jetez pas les manchons en carton ! Ils offrent une surface brute, non traitée et facile à travailler. C’est le terrain de jeu parfait pour tester des idées, des palettes de couleurs ou même utiliser des crayons de couleur et des pastels gras, chose impossible directement sur le gobelet. Une fois votre chef-d’œuvre terminé, il suffit de le glisser sur n’importe quel gobelet.


Envie de textures et de relief ?
Pensez au-delà des feutres. Une pointe de colle et des micro-paillettes peuvent ajouter une touche festive. Un pistolet à colle chaude peut créer des motifs en 3D sur lesquels vous pourrez ensuite peindre. Osez même coller de petits éléments comme du fil ou des morceaux de tissu pour une création multi-matériaux surprenante.


Point important : La sécurité alimentaire. Ne dessinez jamais à l’intérieur du gobelet ni sur la partie supérieure où les lèvres se posent. Même les encres dites


L’art sur gobelet s’inscrit dans la tendance du


- Utiliser un feutre lavable (l’encre partira au premier contact).
- Appuyer trop fort avec un feutre fin sur le carton, ce qui déchire la fibre.
- Oublier de dégraisser un gobelet en plastique avant de commencer.
- Fermer le gobelet avec un couvercle avant que l’encre sur le rebord ne soit sèche.


Gobelet chaud : L’avantage est qu’il n’y a pas de condensation. L’inconvénient est que la chaleur peut légèrement altérer le temps de séchage de certaines encres et rendre la surface plus souple.
Gobelet froid : Le support est plus rigide, mais la condensation est votre pire ennemie. Dessinez toujours avant de remplir le gobelet.
Pour débuter, s’entraîner sur un gobelet vide à température ambiante est de loin le plus simple.


Pour un lettrage parfait sur une surface courbe, oubliez les règles droites. Le secret est de faire tourner le gobelet, pas votre main. Gardez votre poignet stable et utilisez l’autre main pour faire pivoter le gobelet lentement. Cette technique assure des courbes régulières et des lignes bien plus droites qu’en essayant de suivre l’arrondi avec votre feutre.

Les feutres métallisés (or, argent, bronze) de la gamme Edding ou Sharpie Metallic sont spectaculaires sur les gobelets en plastique, surtout sur des couleurs sombres ou transparentes. La lumière s’y reflète, donnant une dimension premium à votre dessin.


Votre gobelet n’est pas qu’une surface, c’est un volume. Pensez à un dessin qui s’enroule tout autour, qui raconte une histoire quand on le fait tourner. Un paysage panoramique, une frise de personnages, ou un motif qui évolue. Cela transforme l’objet en une véritable sculpture miniature.


Peut-on utiliser de la peinture acrylique en tube ?
Oui, absolument ! C’est une excellente option pour couvrir de larges surfaces ou pour obtenir des textures épaisses. Appliquez-la avec un petit pinceau fin. Mélangez votre peinture avec un médium acrylique pour améliorer son adhérence sur le plastique. Laissez sécher complètement avant de dessiner par-dessus avec des marqueurs.


- Un gobelet blanc pour un design minimaliste et épuré.
- Un gobelet kraft pour un style rustique et naturel.
- Un gobelet noir (souvent en plastique) pour faire ressortir les couleurs vives et les encres métalliques.
Le choix de la couleur de base de votre gobelet est la première décision artistique que vous prenez.


Pour immortaliser votre création, la photographie est clé. Placez le gobelet près d’une source de lumière naturelle (une fenêtre). Utilisez un fond neutre (un mur blanc, une table en bois) pour ne pas distraire du dessin. Pour éviter les reflets sur le plastique, ne shootez pas face à la lumière, mais positionnez-vous légèrement de côté.


Pour un budget serré : Un simple marqueur permanent noir de bureau peut déjà faire des merveilles pour du lettrage ou du dessin au trait.
Pour l’artiste équipé : Un set de POSCA de différentes tailles de pointes et un marqueur blanc Gelly Roll pour les rehauts de lumière vous offriront une polyvalence quasi infinie.
L’important n’est pas le prix de l’outil, mais la créativité avec laquelle vous l’utilisez.


L’art éphémère a sa propre beauté. N’ayez pas peur de vous rater. Chaque gobelet est une nouvelle chance, une toile à bas prix pour expérimenter sans la pression d’une œuvre
Le défi du blanc : Dessiner en blanc sur un fond kraft ou coloré est un exercice de style puissant. Il requiert un marqueur très opaque comme un Uni-Ball Signo Broad blanc ou un POSCA. Le rendu est souvent très graphique et élégant, jouant sur le contraste et l’espace négatif.