Votre tirelire DIY : le guide complet pour créer un objet qui a du sens

Plus qu’une boîte à sous, un véritable objet de mémoire

On pense souvent au cochon rose en plastique qu’on nous offrait enfants, pas vrai ? Pourtant, une tirelire, c’est bien plus que ça. C’est le tout premier coffre-fort, la boîte à rêves pour un projet de voyage, ou même un cadeau de mariage symbolique qui renferme les espoirs d’une nouvelle vie. Dans mon atelier, j’ai vu passer pas mal d’objets en bois ou en métal, mais la tirelire a toujours eu une place spéciale.

C’est cette dimension un peu magique que j’ai envie de partager avec vous. Oubliez les listes d’idées toutes faites. Ici, on va parler concret : les matériaux, les bonnes techniques et surtout, comment insuffler un peu de votre âme dans un objet du quotidien.

Choisir le bon matériau : le cœur de votre projet

Le choix du matériau, c’est le point de départ de tout. Il va définir l’allure, le poids, et même le son des pièces qui tombent dedans. Chaque matière a son propre langage et ses petites manies. Pour vous aider à y voir plus clair, voici un petit tableau récapitulatif.

Matériau	Coût indicatif	Difficulté	Outils essentiels
Bois (Pin)	€ (10-20€ le panneau)	(Facile)	Scie à main, papier de verre
Bois (Chêne)	€€€ (50-80€ le panneau)	(Difficile)	Bons outils de coupe, visseuse
Céramique (autodurcissante)	€ (Moins de 10€ le pain)	(Facile)	Vos mains !
Matériaux de récup’	Gratuit !	(Facile)	Dépend du projet (cutter, lime…)

Le bois : la chaleur et la noblesse intemporelle

Ah, le bois… C’est un matériau vivant, chaleureux, qui se patine magnifiquement avec le temps. Pour une tirelire, plusieurs options s’offrent à vous.

• Le pin ou le sapin : Ce sont des bois tendres, très abordables (souvent autour de 15€ pour un panneau chez Castorama ou Leroy Merlin). Ils sont parfaits pour débuter ou pour un projet avec un enfant car ils se scient et se poncent sans effort. Attention, ils marquent facilement ! Un coup d’ongle peut suffire.
• Le hêtre ou le frêne : On monte en gamme. Plus durs, plus clairs, ils offrent une finition lisse et résistent mieux aux chocs. Le hêtre, avec son grain fin, est idéal pour la gravure.
• Le chêne ou le noyer : Là, on est dans la catégorie des objets qu’on transmet. Ces bois sont denses, lourds et ultra-durables, mais ils demandent de bons outils bien affûtés. Petit conseil de pro : le chêne contient du tanin qui fait rouiller l’acier. Pensez à utiliser des vis en laiton ou en inox.

D’ailleurs, il faut savoir que le bois « respire » : il gonfle avec l’humidité et se rétracte au sec. C’est pour ça que les experts laissent toujours un minuscule jeu dans les assemblages. Une sagesse qui s’acquiert avec l’expérience !

La céramique : entre tradition et fragilité

Le fameux cochon-tirelire vient de la tradition potière. Modeler la terre, c’est une expérience sensorielle incroyable.

• L’argile autodurcissante : C’est la solution facile, disponible dans tous les magasins de loisirs créatifs pour moins de 10€. Pas besoin de cuisson, mais le résultat est TRÈS fragile. Une chute, et c’est le drame. C’est parfait pour un objet purement décoratif. Astuce : faites sécher votre création lentement, loin des courants d’air, pour éviter les fissures.
• Le grès ou la faïence : Ici, on passe au niveau pro. Il faut un four qui monte à plus de 1000°C. C’est un long processus mais le résultat est solide, étanche, et le son d’une pièce qui tombe dedans est juste… parfait. Vous n’avez pas de four ? Renseignez-vous auprès des ateliers de potiers ou des MJC, beaucoup proposent des « forfaits cuisson » pour une dizaine d’euros.

Bon à savoir : à la cuisson, l’argile perd environ 10 à 15% de son volume. Pensez-y en créant votre pièce, surtout pour le trou du bouchon !

Le recyclage : la créativité à petit budget

Créer ne veut pas forcément dire acheter. Vos placards sont des mines d’or !

• Les bocaux en verre : Le grand classique. Son avantage ? On voit l’argent s’accumuler, c’est super motivant ! Le point délicat, c’est le couvercle. Pour percer la fente, le plus sûr est un outil rotatif type Dremel avec un disque à tronçonner. Attention : lunettes de protection et gants OBLIGATOIRES. Limez ensuite les bords qui seront très coupants.
• Alternative sans Dremel : Si vous n’êtes pas équipé, vous pouvez utiliser un poinçon et un marteau pour percer plein de petits trous les uns à côté des autres pour former la fente. Ensuite, il faut patiemment limer pour relier les trous. C’est plus long, mais ça dépanne !
• Les boîtes en métal : Boîte à biscuits, à thé… Pour peindre dessus, poncez d’abord légèrement pour que la peinture accroche, puis appliquez une sous-couche spéciale métaux (« primaire d’accroche »). Sans ça, votre peinture s’écaillera au premier frottement.

Les techniques clés : le savoir-faire pratique

Une tirelire, c’est simple : un contenant, une fente, un système d’ouverture. La qualité de votre objet tiendra au soin que vous apporterez à chaque détail.

La fente : une ouverture précise et sûre

Une bonne taille moyenne, qui accepte une pièce de 2 euros sans souci, c’est environ 35 mm de long sur 4 mm de large. Dans le bois, la méthode la plus propre consiste à percer deux trous (de 4 mm de diamètre) aux extrémités de la future fente. Ensuite, avec un ciseau à bois bien affûté, on retire la matière entre les deux. Un coup de lime, et c’est parfait.

Franchement, c’est un point sur lequel je suis intraitable. J’ai vu des tirelires du commerce avec des fentes coupantes comme des lames de rasoir. Pour quelques secondes de limage en plus, on évite un drame. La sécurité n’est pas une option.

Le système d’ouverture : une question de philosophie

• La tirelire à casser : La tradition ! Symboliquement, c’est très fort. On attend que l’objectif soit atteint pour la grande « cérémonie ». Idéal pour les créations en argile ou en papier mâché.
• Le bouchon amovible : Le plus courant. Pour le bois, percez un trou de 30 à 40 mm à la base. Vous trouverez des bouchons en liège ou caoutchouc de cette taille chez les fournisseurs de bricolage ou de matériel vinicole.
• Le fond vissé ou coulissant : Plus élégant sur une boîte en bois. Fixer la base avec quatre petites vis en laiton est une solution simple et propre. Le fond coulissant demande plus de technique (usiner une rainure), mais c’est le genre de détail qui fait la différence.

Les finitions : la touche qui change tout

Une bonne finition protège votre création et la rend agréable au toucher.

• Le ponçage : C’est l’étape non-négociable sur le bois. Commencez avec un grain grossier (120) pour effacer les marques, puis passez à un grain plus fin (220). Mon secret pour un toucher « peau de pêche » ? Humidifiez très légèrement le bois entre deux ponçages. Ça redresse les fibres. Un dernier passage au grain fin, et la surface devient douce comme de la soie.
• La protection : Sur le bois, j’adore les huiles naturelles (lin, tung) qui nourrissent en profondeur. Si vous préférez un vernis, surtout pour un objet destiné à un enfant, choisissez impérativement une finition certifiée « Norme Jouet EN 71-3 ». Des marques comme V33 ou Syntilor en proposent. C’est clairement indiqué sur le pot et ça vous garantit qu’il n’y a aucun produit toxique.

Trois projets pour se lancer, du plus simple au plus créatif

Projet 1 : Le bocal à trésors

• Niveau : Débutant total
• Temps : Moins d’une heure (hors séchage)
• Liste de courses : Bocal en verre (0€), outil rotatif ou lime/poinçon (~30-60€ si achat), lunettes et gants de protection (~15€).
• Comment faire : Prenez un joli bocal. Fixez bien le couvercle, protégez-le, et découpez votre fente de 35×4 mm. Limez les bords pour qu’ils ne soient pas coupants. Vous pouvez peindre le couvercle et coller une étiquette : « Pour mon premier vélo », « Fonds secrets pour voyage »… C’est simple, rapide et super visuel !

Projet 2 : La boîte cubique en bois

• Niveau : Intermédiaire
• Temps : Comptez 3-4 heures de travail + temps de séchage
• Liste de courses : Planche de hêtre ou de pin (~15€), colle à bois (~5€), 4 petites vis en laiton (~3€), papier de verre (~5€), huile de protection (~15€).
• Outils : Une scie à main et une boîte à onglets (un duo qui coûte environ 25€) sont parfaites pour des coupes droites.
• Plan de coupe (pour un cube facile à assembler d’environ 12x12x10,5 cm) : Dans une planche de 1,5 cm d’épaisseur :
• Dessus & Dessous : 2 morceaux de 12 x 12 cm
• Côtés : 4 morceaux de 9 x 9 cm
• Comment faire : Collez les 4 côtés de 9×9 cm pour former un « tube » carré. Une fois sec, collez le dessus (12×12 cm). Réalisez la fente avant. Pour la base, ne la collez pas ! Fixez-la avec vos 4 vis pour pouvoir l’ouvrir. Poncez bien le tout et appliquez deux couches d’huile. Vous aurez un objet sobre, solide et intemporel.

Projet 3 : Le personnage en papier mâché

• Niveau : Créatif et patient !
• Temps : 1-2h de modelage + plusieurs jours de séchage
• Liste de courses : Journaux (0€), farine (<1€), ballon de baudruche (<1€), peinture et vernis (~20-30€ pour un kit de base).
• Comment faire : Gonflez un ballon. Préparez votre colle (1 dose de farine pour 5 doses d’eau). Appliquez 5-6 couches de bandes de papier journal. Laissez sécher COMPLÈTEMENT (c’est le secret). Une fois dur, crevez le ballon. Découpez la fente et un trou pour un bouchon. Ensuite, laissez parler votre imagination : ajoutez des oreilles, des pattes, une trompe… et peignez votre créature !




Un dernier mot… sur la sécurité

Allez, un dernier point, mais c’est sans doute le plus important. Quand on fabrique, on est responsable.

• Les outils : Une scie, un ciseau, un Dremel, ça peut être dangereux. Lisez les notices, portez des lunettes de protection et ne forcez jamais sur un outil. S’il résiste, c’est qu’il est mal affûté ou inadapté.
• Les matériaux : Pour un enfant, vigilance maximale. Pas de petites pièces qui pourraient se détacher. Et je le répète, des peintures et vernis non toxiques (la fameuse norme EN 71-3).
• Vos limites : Soyez honnête avec vous-même. Si un projet vous semble trop complexe, ne prenez pas de risques. Et franchement, il n’y a aucune honte à ça. Demander de l’aide ou acheter une belle pièce à un artisan local, c’est même une preuve d’intelligence !

Fabriquer une tirelire, c’est un projet humble mais incroyablement gratifiant. C’est l’occasion de se reconnecter à la matière, de penser à la personne qui la recevra. Alors, à vos outils. Mettez-y du soin, du cœur, et créez un objet qui contiendra bien plus que quelques pièces : il contiendra des projets, des rêves et l’affection de celui ou celle qui l’a fabriqué.




Galerie d’inspiration







Le « Kakeibo », l’art japonais de tenir un budget, n’est pas qu’une méthode, c’est une philosophie.

Inspirez-vous-en pour votre tirelire ! Au lieu de juste y jeter des pièces, collez une petite enveloppe à l’arrière pour y glisser un carnet où vous noterez la date et la raison de chaque dépôt. Cela transforme un simple geste mécanique en un rituel conscient, renforçant votre motivation.







Quelle est la taille idéale pour la fente ?

C’est le détail qui peut tout gâcher ! Une fente de 35 mm de long sur 5 mm de large est un standard parfait. Elle acceptera la plus grosse pièce européenne (celle de 2€, qui fait 25,75 mm de diamètre) et même un billet plié en quatre. Pour la réaliser proprement dans du bois, utilisez une mèche plate pour percer deux trous aux extrémités, puis reliez-les avec une scie sauteuse ou une scie à chantourner.







Point important : La finition protège votre création. Une cire naturelle comme celle de la marque Libéron nourrira le bois et lui donnera une patine douce et satinée qui évoluera avec le temps. Pour une chambre d’enfant ou un objet très manipulé, préférez un vernis à base d’eau, plus résistant aux chocs et aux taches, comme ceux de la gamme V33.




• Pour un projet ‘voyage’ : utilisez la technique du découpage pour coller une carte de votre destination.
• Pour une cagnotte ‘mariage’ : optez pour une peinture blanche ou crème et écrivez vos prénoms avec un élégant feutre doré type edding.
• Pour les ‘défis 52 semaines’ : créez une grille sur le côté que vous pourrez cocher chaque semaine.







La tendance est à la transparence. Une simple boîte en bois avec une façade en Plexiglas permet de visualiser la progression, ce qui est incroyablement motivant. Vous pouvez trouver des feuilles de Plexiglas à la découpe chez Castorama ou Brico Dépôt. Fixez-la avec de petites vis pour pouvoir l’ouvrir facilement une fois l’objectif atteint.







Option A (Le bocal) : Un grand bocal en verre type ‘Le Parfait’ est une base idéale et quasi gratuite. Son avantage : le son clair et motivant des pièces qui tombent. Son inconvénient : la fragilité.

Option B (La boîte en métal) : Une ancienne boîte à biscuits ou à thé. Son avantage : sa robustesse et son charme vintage. Son inconvénient : elle nécessite un perçage plus technique pour la fente.

Le choix dépend de l’ambiance que vous voulez créer : transparente et sonore ou mystérieuse et solide.







Seuls 45% des Français déclarent réussir à épargner chaque mois. Une tirelire visible peut faire grimper ce chiffre en matérialisant l’effort.

Placez votre tirelire non pas cachée dans un tiroir, mais sur votre bureau ou dans l’entrée. Le simple fait de la voir quotidiennement agit comme un rappel micro-comportemental, vous incitant à y glisser la petite monnaie qui traîne au fond de vos poches.




Pour un effet ‘vieilli’ ou ‘industriel’ sur une tirelire en bois, ne vous contentez pas de peindre. Appliquez une couche de brou de noix, laissez sécher, puis frottez légèrement les arêtes avec une bougie. Appliquez ensuite une couche de peinture claire (blanche, grise). Une fois sèche, poncez doucement les zones enduites de cire : la peinture s’enlèvera, révélant le bois sombre en dessous pour un look ‘shabby chic’ authentique.







• Un son cristallin et motivant à chaque ajout.
• La satisfaction de voir le niveau monter jour après jour.
• Une décoration minimaliste et moderne.

Le secret ? Une simple boîte-cadre en bois profond, dont vous remplacez le fond par une plaque de verre ou d’acrylique. Simple et terriblement efficace.







Une erreur classique est de sous-estimer le poids final. Une tirelire de taille moyenne remplie de pièces de 1€ et 2€ peut facilement dépasser les 5 kilos ! Assurez-vous que vos assemblages sont solides : privilégiez des vis et de la colle à bois (type Sader) plutôt que de simples clous, surtout pour le fond de la tirelire.




L’ancêtre de la tirelire est le ‘pygg jar’, un pot en argile orange appelé ‘pygg’ dans l’Angleterre médiévale. Ce n’est qu’au XVIIIe siècle que le jeu de mots a conduit à la forme du cochon (‘pig’).







Envie d’une touche de couleur qui dure ? Les peintures acryliques sont vos meilleures alliées. Pour une finition lisse sur bois, poncez la surface avec un grain fin (240), appliquez une sous-couche (un ‘gesso’), puis deux couches de votre couleur. Les marques comme Pébéo ou Liquitex offrent des nuanciers infinis pour trouver la teinte exacte de vos rêves.







Comment créer une tirelire ‘puzzle’ pour un cadeau ?

Utilisez une boîte en bois brut. Sur la face avant, dessinez ou gravez au pyrograveur une phrase à trous, par exemple : ‘Économies pour notre voyage à ______’. Le but est de remplir la tirelire pour financer le projet et de n’inscrire la destination qu’une fois l’objectif atteint. C’est un cadeau qui évolue et raconte une histoire.







• Cadeau de naissance : Un cube en bois de hêtre poli, avec le prénom, la date et le poids de l’enfant gravés sur les différentes faces.
• Cadeau de mariage : Une grande bonbonne en verre avec une étiquette personnalisée ‘Pour nos projets, nos folies, notre avenir’.
• Cadeau de départ : Une boîte en métal style cantine militaire avec la mention ‘Fonds d’évasion’ peinte au pochoir.




Ne jetez pas les vieux jouets en plastique ! Un dinosaure ou une voiture un peu grande peut devenir une tirelire unique. Avec une scie Dremel, découpez soigneusement une fente sur le dos et un trou plus large sous le ventre pour la vider. Une bombe de peinture dorée ou mate unifiera l’ensemble pour un résultat design et surprenant.







Le dilemme de l’ouverture : Faut-il une trappe ou non ? Une tirelire scellée renforce l’engagement à long terme. C’est l’option ‘tout ou rien’. Pour une utilisation continue, une plaque de bois vissée en dessous ou un simple bouchon en liège pour un pot en céramique sont des solutions discrètes qui ne gâchent pas l’esthétique.







Pour un look pop et graphique inspiré des images de la galerie (Space Invaders, Batman), les feutres peinture comme les Posca sont parfaits. Ils adhèrent sur le bois, le verre, le métal et la céramique. Leur pointe permet des tracés nets et des couleurs vives et opaques, idéales pour recréer des logos ou des personnages avec précision.




Une étude de l’Université de Cambridge a montré que le simple fait de noter un objectif financier augmente de 42% les chances de l’atteindre.

Ne vous contentez pas de fabriquer une boîte, fabriquez un outil de motivation. Utilisez une peinture ardoise (comme la ‘Tableau Noir’ de Julien) sur une face pour pouvoir y écrire et réécrire votre but à la craie : ‘200€ – Billet de concert’, ‘1500€ – Billet d’avion’.







Et si on intégrait la technologie ?

Pour les plus geeks, il est possible d’intégrer un simple compteur de pièces (disponible sur les sites de composants électroniques comme Gotronic) relié à un petit écran LCD. Chaque fois qu’une pièce passe un capteur, le total s’affiche. Un projet plus complexe, mais qui fusionne parfaitement l’artisanat traditionnel et la technologie.







L’argile autodurcissante (de la marque DAS, par exemple) est fantastique pour débuter sans four de potier. Le secret pour une surface lisse ? Une fois votre forme modelée, passez délicatement une éponge très légèrement humide sur toute la surface avant le séchage. Cela effacera les traces de doigts et les petites imperfections.







• Elle résiste aux chocs et aux chutes.
• Elle offre un look industriel très tendance.
• Elle peut être soudée pour un projet 100% sécurisé.

Le matériau ? L’acier. Une simple boîte de dérivation électrique en métal ou un morceau de tuyauterie en zinc peuvent être détournés pour un résultat brut et original.




La pyrogravure : C’est la technique de personnalisation ultime pour le bois. Les pyrograveurs d’entrée de gamme se trouvent pour moins de 20€ chez des enseignes comme Lidl ou Action lors d’opérations spéciales. Entraînez-vous sur une chute de bois pour maîtriser la pression et la vitesse avant de vous lancer sur votre création finale.







La tirelire la plus chère du monde est une création en porcelaine de la manufacture de Meissen, estimée à plus de 100 000 dollars.







Pensez au son. Le bruit d’une pièce tombant dans sa tirelire fait partie de l’expérience. Un bocal en verre produira un ‘cling’ aigu et satisfaisant. Une boîte en bois donnera un ‘ploc’ sourd et rassurant. Une boîte en métal, un ‘clang’ sonore. Quel son voulez-vous associer à votre effort d’épargne ?

Pour une tirelire-cadre destinée à un grand voyage, imprimez une photo de votre destination en fond. Voir ses économies s’accumuler littéralement ‘sur’ le paysage de ses rêves est une source de motivation visuelle puissante et constante. C’est bien plus efficace qu’un simple mot écrit sur une boîte.