Quels légumes ne pas planter à côté des tomates ? Astuces pour une récolte réussie et sans maladies !
Inspirations et idées
L’eau est-elle vraiment propre sans chlore ?
Absolument. Le secret réside dans la phytoépuration. Une zone de lagunage, plantée de végétaux spécifiques (iris, joncs, menthe aquatique), agit comme un filtre biologique. Les micro-organismes présents sur les racines des plantes et les graviers (pouzzolane, zéolithe) dégradent les matières organiques, assurant une eau limpide et saine, sans aucun produit chimique. C’est un écosystème vivant qui s’autorégule.
Selon la FFP (Fédération des Professionnels de la Piscine), près de 15% des nouvelles constructions de piscines enterrées en France s’orientent vers des solutions écologiques ou naturelles.
Ce chiffre, en constante augmentation, témoigne d’un changement profond des mentalités. Le désir d’un luxe plus durable et d’une intégration respectueuse dans le paysage pousse de plus en plus de particuliers à abandonner le modèle chimique pour une approche vivante et esthétique.
La faune s’invite, mais pas n’importe comment. Si vous craignez les moustiques, rassurez-vous :
- L’eau en mouvement grâce à la pompe décourage leur ponte.
- Les prédateurs naturels comme les libellules ou les notonectes (punaises d’eau) régulent leurs larves.
- Les grenouilles, si elles s’installent, sont le signe d’un écosystème parfaitement sain.
Le point crucial : la membrane d’étanchéité. C’est la base de votre bassin. Optez pour une membrane EPDM (caoutchouc synthétique), comme celles proposées par Firestone PondGard. Extrêmement résistante aux UV et au poinçonnement, elle est aussi élastique, s’adaptant aux mouvements du terrain. Sa longévité dépasse souvent 40 ans, un investissement pour la tranquillité.
- Une eau cristalline où l’on voit le fond.
- Pas de prolifération d’algues filamenteuses.
- Un écosystème sain qui attire la faune (libellules, oiseaux).
Le secret ? Un équilibre parfait entre le volume de la zone de baignade et celui de la zone de filtration. Les experts recommandent un ratio de 50/50 pour garantir une épuration optimale et naturelle.
Option A – Minimaliste : Des lignes pures, un bassin de nage rectangulaire et une zone de filtration déportée et géométrique. Les abords sont souvent traités en bois exotique (Ipé) ou en béton poli pour un look très contemporain.
Option B – Naturaliste : Des formes libres, des courbes douces qui imitent un étang. La zone de baignade et de filtration se fondent, avec des plages immergées de galets et des berges plantées pour une immersion totale dans la nature.
Nager dans une piscine naturelle, c’est l’expérience d’une eau douce et vivante sur la peau. Fini les yeux qui piquent et l’odeur du chlore. On redécouvre le son du vent dans les roseaux et le ballet des libellules.
L’entretien d’hiver est plus simple qu’il n’y paraît. Nul besoin de vider le bassin. Il suffit de couper la pompe, de tailler les plantes aquatiques dont le feuillage a bruni et de retirer les dernières feuilles mortes. La piscine entre alors en dormance, et la glace qui se forme en surface protège l’écosystème aquatique jusqu’au printemps.