Mini salle de bain, maxi galère ? Mes astuces d’artisan pour transformer vos 2m²
J’en ai vu, des salles de bain de 2m². Souvent dans de vieux appartements ou des studios où chaque centimètre carré est un luxe. Et franchement, c’est un vrai défi. On se sent vite comme dans une boîte à chaussures. Mais la bonne nouvelle, c’est qu’avec une bonne dose de méthode et les bons choix techniques, on peut faire des merveilles. En tant qu’artisan, ces petits espaces, c’est un peu mon puzzle quotidien. Alors, je vous partage mon approche de terrain, sans blabla, juste de la logique et du concret.
Contenu de la page
- Étape 1 : Le crayon avant la masse
- Les choix qui changent tout : le gros œuvre intelligent
- L’étanchéité : l’étape que vous n’avez PAS le droit de rater
- L’aération : le détail qui sauve votre salle de bain
- Agrandir visuellement : les finitions qui trompent l’œil
- Mobilier et rangements : la chasse aux centimètres
- Le mot de la fin : budget et patience
- Galerie d’inspiration
Étape 1 : Le crayon avant la masse
Avant même de penser à acheter un tournevis, posez-vous avec un mètre et une feuille de papier. Cette phase de conception, c’est 80% du succès du projet. Une erreur sur un plan, ça se gomme. Une erreur sur le chantier, ça coûte cher en temps et en argent. Et dans 2m², il n’y a aucune place pour l’improvisation.

L’objectif est simple : faire cohabiter une douche, un lavabo et des toilettes. Oubliez la baignoire, même une version sabot. Elle dévorerait la moitié de votre espace et rendrait la circulation impossible. Votre plan doit donc organiser ces trois éléments. La contrainte numéro un, c’est presque toujours l’évacuation des WC. C’est un gros tuyau de 100 mm de diamètre qu’on ne déplace pas comme on veut. Son emplacement va souvent dicter tout le reste de l’agencement.
Mesurez tout, et je dis bien TOUT. La largeur de la porte, la hauteur sous plafond, l’emplacement des arrivées d’eau… Notez chaque détail. Pensez à vos mouvements futurs. Pouvez-vous vous asseoir sur les toilettes sans avoir les genoux dans le mur ? Avez-vous la place de vous sécher en sortant de la douche ? Bon à savoir : les pros recommandent de laisser au moins 60 cm d’espace libre devant le lavabo et les WC pour un confort minimal.

Les choix qui changent tout : le gros œuvre intelligent
Une fois le plan validé, on passe aux choses sérieuses. C’est ici que les décisions les plus impactantes sont prises, celles qui sont cachées dans les murs et qui garantissent la solidité de votre installation.
Toilettes : le suspendu, c’est le roi
Pour un petit espace, je ne jure quasiment que par le WC suspendu. Pourquoi ? Parce que son réservoir est planqué dans un bâti-support, lui-même caché dans un coffrage. Visuellement, le sol est dégagé, ce qui donne une impression d’espace incroyable. Et pour le nettoyage, c’est un bonheur ! Le bâti-support est une structure métallique ultra-solide, souvent testée pour supporter plus de 400 kg. Quand c’est bien posé, ça ne bouge pas d’un millimètre.
Alors oui, la question du budget se pose. Franchement, un WC suspendu est un investissement. Comptez entre 200€ et 400€ pour un bâti-support de bonne marque (type Geberit ou Grohe), auquel il faut ajouter le prix de la cuvette. Un WC à poser classique, on en trouve dès 100€. La pose est aussi un peu plus chère. Mais le gain de place et le confort visuel… ça change la vie au quotidien.

La douche : à l’italienne ou extra-plate ?
La douche à l’italienne, de plain-pied, est le rêve pour agrandir visuellement la pièce. Elle crée une continuité parfaite avec le sol. Mais attention, sa réalisation demande un vrai savoir-faire technique pour garantir une étanchéité parfaite et une pente d’écoulement suffisante (au moins 2%). C’est un chantier complexe.
Une alternative plus simple et tout aussi efficace, c’est le receveur de douche extra-plat. Ils ne font que 3 à 4 cm d’épaisseur. J’aime beaucoup travailler avec des modèles en résine composite qu’on trouve chez des marques comme Kinedo ou Jacob Delafon. Leur gros avantage : on peut les découper sur mesure pour s’adapter à un mur qui n’est pas parfaitement droit, ce qui est fréquent en rénovation. Un bon receveur de ce type vous coûtera entre 250€ et 500€. Pour la taille, ne descendez pas sous 80×80 cm, sinon vous vous sentirez à l’étroit.

La plomberie : discrétion et fiabilité
Pour un rendu propre, c’est non négociable : les tuyaux doivent être encastrés. J’utilise quasiment tout le temps des tubes multicouches avec des raccords à sertir. C’est plus souple que le cuivre, plus rapide à installer dans des recoins, et ultra-fiable. Petit conseil de pro : même encastré, chaque raccord doit rester accessible via une trappe de visite. C’est une obligation légale et ça vous sauvera en cas de pépin.
L’étanchéité : l’étape que vous n’avez PAS le droit de rater
C’est le point le plus critique. Une fuite, et c’est la catastrophe assurée pour vous et vos voisins. Je suis intransigeant là-dessus. Les murs de la douche doivent être protégés. Une plaque de plâtre hydrofuge (la verte) ne suffit pas ! Elle résiste à l’humidité, mais elle n’est pas étanche.
Il faut impérativement appliquer ce qu’on appelle un SPEC (Système de Protection à l’Eau sous Carrelage). Pour faire simple, votre liste de courses pour cette étape cruciale est :
- Des plaques de plâtre hydrofuge.
- Des bandes de renfort spéciales pour les angles.
- Un pot de produit SPEC (un liquide bleu ou gris). Comptez environ 50€ chez votre revendeur de matériaux, c’est le meilleur investissement de votre chantier.
On applique le produit en deux couches croisées, en noyant les bandes d’angle dans la première. Et soyez patient ! Cette étape demande du temps. Il faut bien compter 48 heures pour un séchage complet avant de pouvoir carreler. C’est incompressible.

L’aération : le détail qui sauve votre salle de bain
C’est l’oubli classique du débutant ! Une petite salle de bain, souvent sans fenêtre, se transforme vite en hammam, puis en culture de moisissures. La ventilation est absolument essentielle. La solution la plus simple et efficace est d’installer un extracteur d’air. On peut le coupler à l’interrupteur de la lumière pour qu’il se déclenche automatiquement. On en trouve pour 30€ à 80€ dans toutes les grandes surfaces de bricolage. C’est une petite dépense qui préserve la santé de vos murs… et la vôtre.
Agrandir visuellement : les finitions qui trompent l’œil
Une fois la technique maîtrisée, on peut s’amuser avec les finitions pour donner une illusion de volume.
Le carrelage : la règle du « moins il y a de joints, mieux c’est »
L’idée reçue, c’est qu’il faut de petits carreaux dans un petit espace. C’est tout le contraire ! Des grands carreaux (60×60 cm par exemple) signifient moins de lignes de joints. Le regard n’est pas haché, la surface paraît plus grande. Mon astuce : utiliser le même carrelage au sol et sur le mur du fond de la douche. Cette continuité repousse les murs. Optez pour des carreaux « rectifiés » ; leurs bords droits permettent des joints très fins (2 mm). Prenez une couleur de joint la plus proche possible du carreau pour un effet de surface unie.

Les couleurs et l’éclairage
Le blanc, le beige, le gris clair… ce sont vos meilleurs amis. Ils réfléchissent la lumière. Pour la peinture, une finition satinée ou velours spéciale pièces humides est un must. Elle est lessivable et résiste mieux à la condensation. Côté éclairage, prévoyez plusieurs sources : des spots au plafond pour l’éclairage général, et une applique ou un miroir avec éclairage intégré. Un bon éclairage, ça change complètement la perception du volume.
Mais attention, l’électricité dans une salle de bain, c’est du sérieux. La norme est très stricte. Je vais être direct : si vous n’êtes pas électricien, ne vous y aventurez pas. L’eau et l’électricité, c’est un cocktail potentiellement mortel. C’est l’étape où il faut OBLIGATOIREMENT faire appel à un professionnel qualifié. C’est non-négociable.
Mobilier et rangements : la chasse aux centimètres
Le choix du mobilier est décisif. Il doit être compact et malin.
Comme pour les WC, optez pour un meuble-vasque suspendu. Le sol dégagé en dessous fait toute la différence. Cherchez les modèles à faible profondeur. La norme est à 46 cm, mais on trouve des modèles très fonctionnels de 38 ou 40 cm. Ces quelques centimètres gagnés sont précieux.

Exploitez la hauteur ! La niche de douche est mon rangement préféré. Quand on monte le coffrage du WC suspendu, on peut facilement y intégrer une ou deux niches carrelées pour les produits de douche. C’est hyper pratique et ça ne mange pas d’espace. Pensez aussi à l’armoire de toilette avec miroir, et aux étagères au-dessus de la porte.
Pour la porte d’entrée, si elle s’ouvre vers l’intérieur, c’est une perte de place énorme. La solution idéale est une porte à galandage, qui coulisse dans la cloison. Mais attention, cela n’est possible que sur une cloison simple, jamais sur un mur porteur. Une alternative plus simple est d’inverser le sens d’ouverture vers l’extérieur. Pour la douche, une simple paroi en verre fixe et transparente est parfaite. Elle protège des éclaboussures sans fermer l’espace. Un petit luxe qui vaut le coup : le traitement anti-calcaire sur le verre. C’est un peu plus cher, mais ça vous facilitera l’entretien à vie.

Le mot de la fin : budget et patience
Après des années sur les chantiers, je vois toujours les trois mêmes erreurs revenir : oublier la ventilation, mal calculer le débattement des portes, et choisir un meuble-vasque trop profond qui bloque le passage. Soyez vigilant sur ces points !
Et la question qui fâche : combien ça coûte ? Pour une rénovation complète de 2m² réalisée par des artisans, il faut être réaliste. Prévoyez une fourchette entre 5000€ et 9000€. Le prix varie énormément selon les matériaux et les équipements que vous choisirez. C’est un budget, oui, mais c’est le prix de la tranquillité et d’un travail bien fait qui durera des années.
Mon dernier conseil : soyez honnête avec vos compétences. La plomberie et l’étanchéité, ça ne pardonne pas. Un petit espace bien pensé est une immense satisfaction. C’est la preuve qu’avec de la méthode, on peut créer un lieu confortable et fonctionnel, même dans un mouchoir de poche.

Galerie d’inspiration


Le choix des WC est crucial. Oubliez les modèles au sol massifs. Un WC suspendu, comme le Geberit iCon Compact, libère l’espace au sol et facilite le nettoyage. Son bâti-support dissimule la chasse d’eau dans le mur, offrant un gain visuel et réel de près de 15 cm de profondeur, une éternité dans 2m².


- Utilisez un seul produit nettoyant multi-surfaces pour éviter l’encombrement des flacons.
- Optez pour une raclette de douche design à suspendre pour éviter les traces de calcaire sur la paroi.
- Privilégiez des joints de carrelage colorés (gris, anthracite) qui masqueront mieux la saleté que le blanc traditionnel.

Un mur d’accent, et c’est tout : Dans un petit espace, un seul mur peint dans une couleur profonde comme le « Hague Blue » de Farrow & Ball peut créer une illusion de profondeur saisissante. Choisissez le mur du fond, celui que vous voyez en entrant, pour un effet maximal.


Plus de 60% de l’humidité dans une salle de bain provient de la douche. Une ventilation mécanique contrôlée (VMC) efficace n’est pas une option, c’est une obligation pour la pérennité de votre espace.


L’éclairage transforme la perception de l’espace. Superposez les sources lumineuses pour éviter les zones d’ombre qui rétrécissent la pièce.
- Un plafonnier principal pour l’éclairage général (norme IP44 minimum).
- Des appliques ou un miroir avec éclairage intégré pour le visage, sans ombres.
- Une bande LED sous un meuble ou dans une niche pour une ambiance douce et un effet flottant.

Le carrelage au sol peut-il être le même que sur les murs ?
Absolument ! C’est même une excellente astuce pour agrandir visuellement l’espace. En utilisant le même carrelage, vous effacez la délimitation sol/mur, ce qui crée une sensation de continuité et un volume plus grand. C’est le principe de la


Receveur extra-plat : Facile à installer, il assure une étanchéité parfaite. Des modèles comme le « Flight Neus » de Jacob Delafon se posent quasi au niveau du sol.
Douche à l’italienne : Esthétique pure et accès de plain-pied. Plus complexe techniquement, elle exige une parfaite étanchéité sous carrelage et une pente précise.
Pour 2m², le receveur extra-plat est souvent le compromis idéal entre style, sécurité et simplicité de mise en œuvre.


Un miroir peut doubler visuellement la taille perçue d’une pièce.
Ne vous contentez pas d’un petit miroir au-dessus du lavabo. Osez un très grand miroir sur mesure qui couvre tout un pan de mur. Placé en face de la porte ou de la source de lumière, il démultipliera la perspective et la luminosité. C’est l’investissement le plus rentable pour donner une impression d’espace.

- Un rangement intégré qui ne prend pas de place.
- Un emplacement parfait pour le shampoing et le gel douche.
- Une touche design personnalisable avec de la mosaïque ou un éclairage LED.
Le secret ? La niche de douche. Creusée dans l’épaisseur du mur (souvent dans le coffrage du bâti-support des WC), elle est la solution la plus élégante pour désencombrer le rebord du receveur.


L’ambiance passe aussi par l’odorat. Dans une petite salle de bain, les odeurs peuvent vite stagner. Un diffuseur de parfum à bâtonnets avec une senteur fraîche et légère (verveine, thé vert) ou quelques gouttes d’huile essentielle d’eucalyptus sur le sol de la douche avant de faire couler l’eau chaude transforment l’expérience.


Erreur fatale : la porte qui s’ouvre vers l’intérieur. Elle condamne près d’un mètre carré d’espace vital. La solution ? Une porte coulissante en applique ou, idéalement, une porte à galandage qui disparaît dans la cloison. C’est un investissement, mais il change radicalement la fonctionnalité de la pièce.

« Dans les petits espaces, chaque élément doit avoir au moins deux fonctions. Le miroir éclaire et agrandit, le meuble vasque range et dissimule la tuyauterie, le sèche-serviettes chauffe et porte les serviettes. » – Propos d’architecte d’intérieur.


La robinetterie est le bijou de votre salle de bain. Dans un espace exigu, chaque détail compte.
- Robinetterie murale : Encastrée, elle libère le plan de toilette, facilitant le nettoyage et offrant un look minimaliste très chic. Un modèle comme le « Grohe Essence » est un classique.
- Robinetterie surélevée : Associée à une vasque à poser, elle apporte de la verticalité et une touche de modernité.

WC à poser compact ou WC suspendu ?
Le WC suspendu est le champion des petits espaces pour son esthétique et la facilité de nettoyage. Cependant, il nécessite une cloison solide. Le WC à poser compact à faible profondeur (moins de 60 cm), comme le « O.novo Compact » de Villeroy & Boch, reste une alternative excellente et plus simple à installer, notamment en rénovation.


Grands carreaux (60x60cm ou plus) : Moins de joints, donc une surface visuellement plus unie et agrandie. L’œil n’est pas distrait par un quadrillage dense. Parfait pour un look contemporain.
Petits carreaux (mosaïque, métro) : Ils peuvent créer une texture intéressante mais risquent de surcharger l’espace. Idéal en touche décorative dans la douche ou en crédence.
Contrairement à l’idée reçue, le grand format est souvent le meilleur ami des petites surfaces.


Les panneaux muraux pour douche sont jusqu’à 5 fois plus rapides à installer qu’un carrelage traditionnel.
Dans un petit chantier, le gain de temps est précieux. Des solutions comme les panneaux Fibo ou Lazer offrent une surface parfaitement étanche, sans joints. Fini le risque de moisissures ! Disponibles en de multiples finitions (béton, marbre, bois), ils allient praticité et esthétique.

- Évite les éclaboussures dans toute la pièce.
- Apporte une structure visuelle claire à l’espace douche.
- Permet d’installer une douche puissante sans inonder la pièce.
Le secret ? Ne lésinez pas sur la paroi de douche. Une simple paroi fixe en verre transparent (traitement anticalcaire indispensable) est souvent suffisante et plus légère visuellement qu’une porte complexe.


Inspirez-vous des cabines de bateau ou des intérieurs japonais où l’optimisation est un art. Pensez verticalité : des rangements qui montent jusqu’au plafond. Pensez modularité : un petit tabouret qui sert d’assise et de dépose. Utilisez des matériaux clairs et naturels comme le bois blond pour réchauffer le blanc sans assombrir.


Pour votre meuble vasque, pensez efficacité :
- Profondeur réduite : Visez 40-45 cm de profondeur maximum.
- Tiroirs à l’anglaise : Un grand tiroir qui en cache un plus petit maximise le rangement.
- Vasque intégrée : Une surface continue plus facile à nettoyer qu’une vasque à poser.
- Pieds ou suspension : Voir le sol en dessous donne toujours une impression d’espace.

La solution ultime : Le lave-mains avec robinet intégré. Certains modèles, comme le « W+W » de Roca, combinent même les toilettes et le lavabo en recyclant l’eau. Pour les cas extrêmes, un simple lave-mains d’angle, d’à peine 30cm de côté, peut débloquer un aménagement impossible.


La température de la lumière influence notre humeur. Une lumière blanche et neutre (autour de 4000 Kelvins) est idéale pour une salle de bain : elle est fonctionnelle, énergisante et rend les couleurs de façon juste, sans être froide comme une lumière d’hôpital.


Votre budget n’est pas extensible ? Faites des choix stratégiques. Investissez dans ce que vous touchez tous les jours et ce qui garantit la pérennité.
- SPLURGE : Une robinetterie de qualité (Grohe, Hansgrohe) qui durera des années et une paroi de douche bien conçue.
- SAVE : Un carrelage de grande surface au look impeccable, un miroir simple mais grand, et des accessoires que vous pourrez changer facilement.

Comment intégrer un sèche-serviettes dans 2m² ?
Oubliez les modèles larges. Optez pour un modèle vertical et étroit, à placer sur un pan de mur perdu. Certains sèche-serviettes électriques, comme le modèle « Keo » d’Acova, sont très fins et existent en de multiples couleurs pour se fondre dans le décor. Une autre option est le modèle pivotant, qui peut se rabattre contre le mur.


- Une échelle porte-serviettes fine et haute utilise l’espace vertical.
- Des tablettes murales très fines (type « LACK » d’IKEA) placées en hauteur pour les produits peu utilisés.
- Un meuble-colonne de faible profondeur (15-20 cm) offre un volume de rangement conséquent sans empiéter sur la circulation.
Porte pivotante : Nécessite un dégagement important à l’extérieur ou à l’intérieur de la douche, souvent impossible dans 2m².
Porte coulissante : Idéale car elle ne nécessite aucun débattement. Assurez-vous que les rails sont de bonne qualité pour une utilisation fluide et durable.
Pour les très petites douches (80x80cm), une paroi fixe avec un passage de 50-60cm est souvent la solution la plus simple et la plus épurée.