Passer au Roux : Le Guide Honnête pour une Couleur Réussie (et qui le Reste !)
Franchement, le roux, c’est plus qu’une couleur. C’est une attitude. En tant que coloriste, j’en ai vu, des tendances, mais la fascination pour le roux, elle, ne bouge pas. Mon tout premier grand défi, il y a bien longtemps, a été de transformer un blond décoloré en un roux vénitien qui ait l’air… vrai. J’ai cru que je n’y arriverais jamais ! C’est ce jour-là que j’ai compris : le roux, ça se respecte.
Contenu de la page
- La science derrière le roux : pourquoi c’est une couleur si spéciale ?
- L’étape la plus importante : le diagnostic avant de sauter le pas
- Les grandes familles de roux : trouvez votre style
- En salon : combien ça coûte, combien de temps ça prend ?
- Protéger votre couleur à la maison : votre guide de survie
- Le coin des courageuses : si vous le faites quand même à la maison…
- Un dernier mot : savoir dire non, c’est aussi ça, être pro
- Galerie d’inspiration
Alors, oubliez les galeries de photos sans âme. Ici, on va parler vrai. Je vous emmène avec moi derrière le bac à shampoing pour tout vous dire : la science des pigments, les secrets de pro, et surtout, comment entretenir votre couleur pour qu’elle reste magnifique. L’objectif ? Que vous compreniez cette couleur pour bien la choisir et l’adorer.
La science derrière le roux : pourquoi c’est une couleur si spéciale ?
Avant même de regarder un nuancier, il faut comprendre un truc essentiel. Votre couleur de cheveux, naturelle ou non, c’est une histoire de pigments. Les cheveux naturellement roux sont rares car ils sont blindés d’un pigment spécifique appelé phéomélanine. C’est lui qui donne cette chaleur et cette lumière incroyables.

Quand on fait une coloration, on essaie de copier ça. Mais voilà le hic : les pigments rouges artificiels sont un peu capricieux.
La vérité sur le pigment rouge (et pourquoi il s’en va si vite)
Imaginez que votre cheveu est une maison avec une porte. Les molécules de couleur doivent entrer par cette porte. Les bleues sont toutes petites : elles rentrent facile, mais repartent aussi vite. Les molécules rouges et cuivrées, elles, sont ÉNORMES. Elles peinent à entrer et, une fois dedans, elles ont du mal à s’accrocher solidement.
Bon à savoir : C’est la raison purement physique pour laquelle le roux dégorge plus vite. Ce n’est pas un défaut du produit ou une erreur de votre part, c’est juste de la physique ! Comprendre ça change tout. On ne lutte pas contre, on apprend à gérer intelligemment.
Le charabia du coiffeur, décodé pour vous
Au salon, on ne dit pas « roux carotte », on a un langage plus précis pour créer des nuances sur-mesure. C’est un code à deux ou trois chiffres.

- Le premier chiffre : C’est la hauteur de ton, de 1 (noir) à 10 (blond platine). Un roux foncé sera sur une base 5 ou 6, un roux clair sur une base 7 ou 8.
- Le chiffre après le point : C’est le reflet principal. Pour nous, les plus importants sont le .4 (cuivré) et le .6 (rouge).
- Le dernier chiffre : C’est la petite touche en plus. Un .3 (doré) pour la chaleur, un .5 (acajou) pour une note violine.
Par exemple, un 7.43, c’est un blond (7) cuivré (.4) doré (.3). C’est le fameux blond vénitien. Un 5.64, c’est un châtain clair (5) avec du rouge (.6) et une touche de cuivré (.4). Un auburn profond. Ce n’est pas pour vous embrouiller, c’est ce qui nous permet de ne jamais faire deux fois la même couleur !
L’étape la plus importante : le diagnostic avant de sauter le pas
L’erreur numéro un ? Arriver avec une photo et dire « je veux ça ». Une même couleur peut rendre totalement différemment sur deux têtes ! Un bon diagnostic, c’est 50% du travail. C’est une discussion, une observation. Voilà ce qu’un bon coloriste regarde.

1. Votre base naturelle et son histoire
On part d’où ? Châtain, blond, coloré ? Y a-t-il des cheveux blancs ? Un cheveu blanc, c’est une toile vierge, il prend la couleur de façon très vive, parfois trop. Il faut souvent ruser en ajoutant une couleur de base neutre dans le mélange pour un résultat riche et pas flashy.
Et surtout, l’historique de vos cheveux est CRUCIAL. Des restes d’une ancienne couleur ? Un henné ? Une coloration de supermarché ? Il faut tout dire ! Honnêtement, les colorations noires du commerce peuvent contenir des ingrédients qui réagissent très mal avec nos produits pro. Une mèche peut littéralement chauffer et casser. La transparence est votre meilleure alliée.
2. L’harmonie avec votre peau (le fameux test des veines !)
On dit souvent que le roux ne va qu’aux peaux claires. C’est faux. Tout est une question de sous-ton.
Petit test rapide : Regardez les veines à l’intérieur de votre poignet à la lumière du jour. Elles tirent sur le bleu/violet ? Vous avez un sous-ton froid. Elles sont plutôt verdâtres ? C’est un sous-ton chaud. Difficile à dire ? Vous êtes probablement neutre, la plus chanceuse de toutes !

- Pour les sous-tons froids (rosés) : Misez sur les roux qui contiennent une pointe de rouge ou de violine, comme l’auburn ou l’acajou. Un cuivré trop orangé risque de faire ressortir les rougeurs de la peau.
- Pour les sous-tons chauds (dorés) : À vous les roux flamboyants ! Le cuivré intense, le blond vénitien, tout ce qui est lumineux et doré vous ira à merveille.
3. La santé de vos cheveux : la porosité
La porosité, c’est la soif de vos cheveux. Un cheveu abîmé est une vraie éponge : il boit la couleur d’un coup (surtout aux pointes, qui deviennent trop foncées) et la recrache au premier shampoing. Un cheveu sain, lui, boit plus lentement et garde la couleur. Avant toute chose, un cheveu poreux a besoin d’un soin pour « égaliser le terrain ». C’est la garantie d’une couleur uniforme.
Les grandes familles de roux : trouvez votre style
Le mot « roux » cache tout un monde. Plutôt que de vous perdre dans un nuancier, parlons de l’esprit de chaque grande famille. Ça aide, croyez-moi.

Le Blond Vénitien, c’est le poétique, le délicat. Un équilibre parfait entre le blond et le roux, idéal sur une base claire. Son vibe est subtil et lumineux. Côté entretien, il est assez exigeant car il peut vite virer au jaune paille s’il n’est pas chouchouté.
Le Roux Cuivré, c’est le flamboyant, le plein d’énergie. Il imite à la perfection le roux irlandais naturel. C’est une couleur qui demande de l’audace et qui met divinement en valeur les peaux claires et les yeux verts ou bleus. Attention, c’est un des reflets qui s’affadit le plus vite, donc l’entretien doit être rigoureux.
Enfin, l’Auburn et l’Acajou représentent la profondeur et l’élégance. Construits sur des bases plus foncées, ils sont moins orangés, plus dans les tons de rouge et de bois précieux. Ils sont souvent plus faciles à porter au quotidien et sont une excellente option pour les brunes qui veulent se lancer. Leur entretien est généralement un peu plus simple que celui d’un cuivré vif.

En salon : combien ça coûte, combien de temps ça prend ?
Alors, parlons argent. Une belle coloration rousse, c’est un investissement. Pour une transformation complète, surtout si on part d’une base foncée (ce qui implique un nettoyage de la couleur et une pré-pigmentation), comptez entre 150€ et plus de 300€ dans un bon salon. Oui, c’est un budget, mais c’est un travail technique qui peut prendre 3 à 5 heures.
La pré-pigmentation, d’ailleurs, c’est notre technique secrète. Sur un cheveu décoloré, on ne peut pas appliquer le roux directement. On doit d’abord lui redonner des pigments chauds (rouges, orangés) pour créer une base. Ça a l’air compliqué, mais pour vous, ça veut juste dire que le rendez-vous sera un peu plus long, mais que votre couleur tiendra deux fois plus longtemps. Un bon calcul !
Et après ? Pour l’entretien, c’est plus simple. Il faut prévoir un passage toutes les 4 à 6 semaines pour les racines, ce qui coûte généralement entre 60€ et 90€. Une fois sur deux ou trois, on peut ajouter un gloss sur les longueurs pour raviver l’éclat (un supplément de 20€ à 40€ environ).

Protéger votre couleur à la maison : votre guide de survie
Le travail du salon, c’est 50%. Les 50% restants, c’est vous !
Le conseil le plus important : ne lavez PAS vos cheveux pendant 72 heures après la couleur. C’est le temps qu’il faut aux écailles pour se refermer et emprisonner les pigments. C’est gratuit et radicalement efficace.
Ensuite, adoptez les bons gestes :
- Le duo gagnant : Shampoing sans sulfates et eau tiède (jamais chaude !). Les sulfates décapent, l’eau chaude ouvre les écailles.
- L’arme secrète : Le masque repigmentant, une fois par semaine. Il redépose en surface les pigments que vous perdez au lavage. Pour le choisir, c’est simple : si votre couleur est un 7.44, cherchez un masque « cuivré intense ». Si c’est un 5.62, optez pour un soin « acajou » ou « rouge ». Prévoyez un budget de 30€ à 50€ pour un bon shampoing et un masque pro, qui vous dureront plusieurs mois. On les trouve chez les grossistes en coiffure (ouverts à tous comme La Boutique du Coiffeur) ou sur des sites spécialisés.
- L’ennemi juré : La chaleur ! Sèche-cheveux, lisseur, mais aussi le soleil… Utilisez TOUJOURS un protecteur thermique et un spray anti-UV en été.

Le coin des courageuses : si vous le faites quand même à la maison…
Bon, je ne vais pas vous mentir, je le déconseille fortement, surtout pour une première fois. Mais si vous êtes déterminée, évitez au moins ces 3 erreurs qui mènent à la catastrophe assurée :
- Zapper la mèche de test. C’est la règle d’or. Cela permet de vérifier le résultat final et de s’assurer que vos cheveux supportent le produit.
- Ignorer votre couleur de base. Appliquer un roux cuivré de boîte sur un châtain foncé ne donnera… rien. Ou juste de vagues reflets au soleil. Pour éclaircir, il faut des produits spécifiques, et c’est là que ça devient risqué.
- Superposer les colorations de supermarché. Appliquer une nouvelle couleur sur des longueurs déjà colorées sans savoir ce qu’il y a dessous, c’est la loterie. Le résultat est souvent inégal : racines orange vif et longueurs marronasses.
Un dernier mot : savoir dire non, c’est aussi ça, être pro
Parfois, mon rôle est de refuser. Si une cliente aux cheveux très abîmés me demande un roux très clair, je dirai non. Je lui proposerai d’abord un programme de soins pour reconstruire sa chevelure. Un bon coiffeur pense à la santé de vos cheveux sur le long terme, pas juste au résultat immédiat.

Choisir de devenir rousse, c’est une aventure. C’est une couleur qui vit, qui change à la lumière et qui, bien faite, donne une confiance incroyable. J’espère que ce petit guide vous aidera à vous lancer en toute sérénité !
Galerie d’inspiration


Votre roux semble terne après seulement deux semaines ?
Le coupable est souvent un ennemi invisible : les sulfates. Ces agents nettoyants, présents dans de nombreux shampoings, sont trop agressifs pour les pigments rouges fragiles. Passez à une formule sans sulfates, comme le Bain Chroma Respect de Kérastase ou la gamme Color Extend Magnetics de Redken. C’est le premier geste, non négociable, pour prolonger l’éclat de votre couleur.

Moins de 2% de la population mondiale a les cheveux naturellement roux, ce qui en fait la couleur de cheveux la plus rare.
Adopter le roux, c’est donc choisir de se démarquer. Cette rareté explique en partie la fascination qu’exerce cette couleur, synonyme de caractère unique et d’audace assumée.

Pour un éclat digne d’un salon entre deux rendez-vous, le masque repigmentant est votre meilleur allié. Il ne remplace pas une coloration, mais dépose un voile de couleur en surface pour raviver les reflets.
- Pour un cuivré intense : Le Masque Variation de Couleur
Le secret d’un roux qui dure : la préparation. Une semaine avant votre rendez-vous, offrez à vos cheveux un masque hydratant profond. Une chevelure saine et bien hydratée retient mieux les pigments. Évitez les shampoings clarifiants qui pourraient créer une base trop poreuse et nuire à l’uniformité de la couleur.
- Une couleur qui reste vibrante plus longtemps.
- Une brillance miroir instantanée.
- Une fibre capillaire gainée et protégée.
Le geste pro ? Le rinçage final à l’eau froide. Cela referme les écailles du cheveu, emprisonnant les pigments et l’hydratation à l’intérieur. C’est simple, rapide et redoutablement efficace.
Cuivré : Lumineux, orangé, plein de peps. Il sublime les teints clairs et dorés. Pensez à la flamboyance d’une Julianne Moore.
Acajou : Plus profond, avec des sous-tons rouges et bruns. Idéal pour les peaux mates ou olivâtres, il apporte une chaleur sophistiquée.
Le premier est solaire et audacieux, le second est plus mystérieux et élégant.
Le passage au roux modifie subtilement votre palette. Votre fond de teint habituel pourrait paraître trop rose. Privilégiez des tons neutres ou dorés. Sur les joues, un blush pêche ou corail crée une harmonie parfaite, tandis qu’un trait de liner vert émeraude ou kaki fera magnifiquement ressortir l’iris de vos yeux et la chaleur de vos cheveux.
Le piège à éviter : Le henné. Si vous avez utilisé du henné, même il y a plusieurs mois, signalez-le impérativement à votre coloriste. Les sels métalliques contenus dans certaines préparations de henné peuvent réagir violemment avec les colorations d’oxydation, provoquant une casse importante ou des résultats de couleur imprévisibles (verts, oranges criards).
Peut-on obtenir un roux vibrant sur une base très foncée ?
Oui, mais cela demande une étape cruciale : une décoloration ou un nettoyage de la base. Pour que les pigments cuivrés puissent s’exprimer, il faut d’abord éclaircir le cheveu pour enlever les pigments foncés existants. C’est une opération technique qui se fait en salon pour garantir un résultat uniforme et préserver la santé de la fibre.
La tendance
- Un shampoing sans sulfates format voyage.
- Un masque ou soin repigmentant pour raviver la couleur après la plage.
- Un spray protecteur UV pour cheveux, comme ceux de la gamme Soleil de Kérastase.
- Un chapeau stylé. C’est la meilleure protection qui soit !
Gloss en salon : Un service rapide (environ 20 minutes) qui utilise une coloration semi-permanente pour rafraîchir la couleur, neutraliser les faux-reflets et apporter une brillance intense.
Soin repigmentant à la maison : Un masque à appliquer soi-même qui dépose des pigments en surface pour un coup de boost hebdomadaire.
Le gloss est plus durable et correctif, le soin est idéal pour l’entretien régulier entre deux visites.
Les rayons UV du soleil sont l’ennemi numéro un de la couleur rouge. Ils dégradent les pigments artificiels encore plus rapidement que ceux des autres couleurs.
En été, ou en vacances au soleil, un geste simple change tout : vaporisez un protecteur capillaire anti-UV avant de sortir. C’est l’équivalent d’une crème solaire pour vos cheveux, un bouclier indispensable pour préserver l’intensité de votre roux.
Le premier lavage post-coloration est stratégique. Attendez au moins 48 à 72 heures avant de faire votre premier shampoing. Ce délai permet aux cuticules du cheveu de se refermer complètement et de mieux sceller les pigments. Un geste de patience qui vous fera gagner des semaines d’éclat.
Le roux adore les contrastes. Votre garde-robe est un terrain de jeu formidable pour le mettre en valeur.
- Les verts : Émeraude, sapin, kaki… ils créent un contraste complémentaire sublime.
- Les bleus : Le bleu marine ou le bleu roi offrent une élégance intemporelle.
- Les tons neutres : Le crème, le beige et le camel adoucissent et illuminent la couleur.
Erreur courante : Négliger la protection thermique. Les appareils chauffants (sèche-cheveux, lisseurs, boucleurs) ouvrent les écailles du cheveu pour le modeler, créant une porte de sortie idéale pour les grosses molécules de pigments rouges. Un bon spray thermo-protecteur, comme le Ciment Thermique de Kérastase, est essentiel avant chaque coiffage.
Envie de booster votre après-shampoing ?
Pour un entretien sur-mesure et économique, créez votre propre soin repigmentant. Mélangez une noisette de coloration semi-permanente rousse ou cuivrée (type Crazy Color ou Manic Panic) à votre masque ou après-shampoing habituel. Laissez poser 5 à 10 minutes avant de rincer. Ajustez la quantité de couleur pour un résultat plus ou moins intense.
- Des cheveux plus doux au réveil.
- Moins de frisottis et de nœuds.
- Une couleur qui reste brillante plus longtemps.
Le secret ? Une taie d’oreiller en soie ou en satin. Contrairement au coton qui absorbe l’humidité et crée des frottements, la soie laisse le cheveu glisser, préservant ainsi son hydratation et l’intégrité de sa cuticule. Un luxe qui protège votre investissement couleur.
La piscine est un champ de mines pour le roux. Le chlore est un agent décolorant qui peut non seulement affadir votre couleur, mais aussi lui donner des reflets verdâtres indésirables. Le bon réflexe : avant de piquer une tête, mouillez vos cheveux à l’eau claire et appliquez un peu d’huile ou de soin sans rinçage. La fibre, déjà gorgée d’eau, absorbera moins l’eau chlorée.
Point important : La fréquence des retouches dépend de la nuance choisie. Un roux pastel ou très vibrant demandera un passage de gloss toutes les 4 à 6 semaines pour rester parfait. Un roux plus naturel ou un balayage cuivré peuvent tenir 8 à 10 semaines avant de nécessiter une retouche en racines et un ravivage des longueurs.
Les pigments rouges sont les plus grosses molécules de couleur. C’est pourquoi elles ont plus de mal à pénétrer au cœur de la fibre capillaire et s’en échappent plus facilement au fil des shampoings.
Comprendre cette réalité physique, c’est accepter que l’entretien n’est pas une option, mais une partie intégrante de l’expérience rousse. Il ne s’agit pas de lutter contre, mais d’accompagner la couleur avec les bons gestes.
Votre roux a viré au châtain fade ?
C’est souvent le signe que la couleur a dégorgé et que votre base naturelle (souvent plus cendrée) refait surface. Les pigments rouges étant les premiers à partir, ils laissent place aux pigments sous-jacents. La solution : un gloss en salon ou un masque repigmentant à la maison pour redéposer les reflets cuivrés qui manquent.
Option budget : Les gammes pour cheveux colorés de grande surface, comme celles de John Frieda Radiant Red ou L’Oréal Elvive Color-Vive, offrent une protection basique et accessible.
Option pro : Des lignes de salon comme Shu Uemura Color Lustre ou Davines MINU sont formulées avec des ingrédients plus concentrés et des technologies ciblées pour une protection anti-dégorgement maximale.
L’investissement se justifie par une meilleure longévité et un soin plus profond de la fibre.
Au-delà de l’entretien, il y a le plaisir. Le plaisir de voir la lumière jouer dans les reflets cuivrés, la sensation d’une chevelure saine et brillante, et l’assurance que procure une couleur qui vous ressemble. Embrassez le rituel : le moment du masque devient un instant pour soi, le choix d’une tenue une nouvelle façon de jouer avec les couleurs. Le roux est une expérience sensorielle complète.