Votre Projet Carreaux de Ciment : Le Guide Complet pour une Cuisine Parfaite (et Sans Regrets !)
Transformez votre cuisine en un espace unique et accueillant avec les carreaux de ciment, un choix à la fois esthétique et pratique !

Lors de la rénovation de ma cuisine, j'ai découvert que les carreaux de ciment pouvaient allier tradition et modernité. Leur histoire remonte au XIXe siècle, mais leur charme intemporel continue de séduire. En optant pour ces carreaux, je n'ai pas seulement embellit mon espace, j'ai également apporté une touche de caractère et de chaleur.
Ah, les carreaux de ciment… J’en pose depuis une bonne vingtaine d’années. Franchement, j’ai vu ce matériau passer de trésor oublié au fond des vieilles bâtisses à la star incontestée des magazines de déco. Et je comprends pourquoi ! Ils ont un poids, une texture, une âme. Ce ne sont pas de simples carreaux, ils respirent.
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Aujourd’hui, tout le monde en veut dans sa cuisine, que ce soit pour une crédence, un sol, ou pour habiller un îlot central. C’est un choix magnifique, mais attention, c’est aussi un choix qui ne pardonne pas l’erreur. Une pose ratée ou un mauvais traitement, et c’est le projet (et le budget) qui part en fumée. Alors, oubliez les galeries d’images pour un instant. Ici, je vais vous partager mes secrets d’artisan pour choisir, poser et entretenir vos carreaux de ciment pour qu’ils durent toute une vie.
Avant de commencer : Comprendre le VRAI carreau de ciment
Avant même de penser à la colle, il faut comprendre ce que vous avez entre les mains. Un carreau de ciment n’a rien à voir avec un carrelage en céramique classique. Il n’est jamais cuit dans un four. Sa fabrication est un art ancien, où le ciment durcit simplement au contact de l’eau et sous pression, d’où son autre nom de « carreau hydraulique ».

En gros, des artisans versent des ciments colorés dans un moule en métal qui forme le motif. Cette couche de couleur, la couche d’usure, fait 3 à 5 millimètres d’épaisseur. C’est pour ça que le motif ne peut JAMAIS s’effacer, même avec le temps : il fait partie intégrante du carreau. Le tout est ensuite compressé sous une presse hydraulique et mis à sécher à l’air libre pendant des semaines.
Sa plus grande qualité (et son plus grand défaut) : la porosité
Ce procédé artisanal lui donne son aspect mat et velouté si unique, mais aussi sa principale caractéristique : il est poreux. Très poreux. Faites le test : versez une goutte d’eau sur un carreau brut, elle sera bue instantanément. C’est ce qui le rend magnifique, mais aussi très vulnérable aux taches si on ne le protège pas correctement. Toute la réussite de votre projet dépend de la gestion de cette porosité.

Le saviez-vous ? Un seul carreau de ciment de 20×20 cm pèse souvent plus de 1,3 kg ! Pour une cuisine de 10 m², ça représente plus de 300 kg de carreaux. Votre support a donc intérêt à être costaud !
Authentique ou Imitation : Comment choisir ?
Le succès du carreau de ciment a évidemment fait naître des tas d’imitations, le plus souvent en grès cérame. Honnêtement, il n’y a pas de mauvais choix, juste un choix qui doit correspondre à votre projet, votre budget et votre mode de vie. Décortiquons ça ensemble.
Le vrai carreau de ciment, c’est le choix du cœur. Chaque carreau est unique, avec de micro-variations de couleur qui donnent vie à la surface. Au toucher, c’est doux, presque poudré. Il vieillit, se patine, il raconte une histoire. En contrepartie, il est plus cher (souvent entre 80€ et 150€ le m²), plus lourd, et sa pose est plus technique. Surtout, il exige un traitement imperméabilisant obligatoire et un entretien doux. Sans ça, la moindre goutte de citron ou de vin laisse une marque à vie.

L’imitation en grès cérame, c’est le choix de la raison. C’est un matériau non poreux, donc totalement imperméable par nature. Il ne craint ni les taches, ni les produits d’entretien agressifs. Un coup d’éponge et c’est réglé. Côté prix, c’est bien plus abordable, souvent deux à trois fois moins cher. De loin, l’illusion est parfois parfaite grâce aux techniques d’impression modernes. Mais de près… on sent la différence. Le motif est une image, la surface est plus plate, moins vivante. Il ne se patinera jamais.
Petit conseil de pro : Si vous avez des enfants en bas âge, des animaux, et que la facilité d’entretien est votre priorité absolue, une imitation de bonne qualité est un choix très malin. Pour un projet où vous cherchez l’authenticité et un matériau qui vivra avec vous, rien ne remplacera l’original.
Votre mission, si vous l’acceptez : commandez 2 ou 3 échantillons de vrais carreaux et 1 ou 2 imitations de bonne qualité. Touchez-les les yeux fermés. Vous comprendrez immédiatement de quoi je parle.

La Préparation : 80% du succès se joue ici
On dit souvent qu’un bon peintre passe plus de temps à préparer ses murs qu’à peindre. C’est pareil pour nous ! La qualité de votre installation dépend entièrement du support. Il doit être sain, propre, sec et, surtout, parfaitement plat.
Prenez une règle de maçon de 2 mètres et baladez-la sur votre sol. Vous ne devriez pas avoir plus de 3 à 5 millimètres de vide sous la règle. Si c’est le cas, il faut corriger. Sinon, les carreaux risquent de se fissurer sous le poids d’un meuble. Pour corriger un sol, la solution est le ragréage, un enduit auto-lissant. C’est une opération délicate ; si vous n’êtes pas sûr de vous, c’est une étape qu’il vaut mieux confier à un pro.
Question fréquente : Peut-on poser sur un ancien carrelage ? Oui, c’est possible ! À condition que l’ancien carrelage soit parfaitement adhérent (sondez-le, ça ne doit pas sonner creux), bien dégraissé et qu’on applique un primaire d’accrochage spécifique avant de coller.

La Pose : Les gestes qui sauvent
Une fois le support impeccable, on peut enfin s’amuser. Mais avec méthode !
- Le plan de pose (calepinage) : Ne commencez JAMAIS à coller dans un coin. On trace les axes au centre de la pièce et on fait une pose « à blanc » (sans colle) pour centrer le motif et prévoir les coupes le long des murs.
- Achetez assez de carreaux ! C’est la règle d’or : prévoyez toujours 10 à 15% de carreaux en plus pour les coupes et les éventuelles erreurs. Il vaut mieux en avoir trop que de ne pas pouvoir finir son chantier.
- Le double encollage : C’est OBLIGATOIRE. On met de la colle sur le sol avec un peigne, et on en met aussi une fine couche au dos du carreau. Ça garantit une adhérence parfaite et évite les bulles d’air qui fragilisent la pose.
- La bonne colle : Utilisez une colle de qualité, de type C2S1 (le S1 indique une certaine souplesse, très utile). Des marques comme Weber ou PRB sont des valeurs sûres, disponibles chez les distributeurs pro comme Point P ou dans les grandes surfaces de bricolage.
- La découpe : Oubliez la carrelette manuelle, elle briserait le carreau. L’outil indispensable est une scie à eau électrique avec un bon disque diamant. Pensez à porter lunettes, gants et masque !
Attention ! Nettoyez immédiatement toute trace de colle sur la surface du carreau avec une éponge humide. Une fois sèche sur ce matériau poreux, c’est une catastrophe quasi impossible à enlever.

Le Traitement : L’étape qui protège votre investissement
La pose est finie, c’est magnifique. Mais le plus critique reste à faire : protéger les carreaux. Ne zappez surtout pas cette étape.
1. Le séchage : la patience est votre meilleure amie
Après la pose, il faut attendre au moins une semaine (parfois plus en hiver) que toute l’humidité de la colle s’évapore. Si vous traitez trop tôt, l’humidité restera piégée et créera des taches blanchâtres. J’ai vu un client impatient ruiner son sol comme ça… Ne faites pas cette erreur.
2. Le bouche-pores : la protection en profondeur
C’est la première couche de défense. On applique un produit hydrofuge et oléofuge (qui protège de l’eau et de l’huile) qui va saturer les pores du carreau. Des marques comme Fila ou Lithofin proposent d’excellents produits. On l’applique généreusement jusqu’à ce que le carreau n’absorbe plus, puis on essuie bien l’excédent. Travaillez fenêtres grandes ouvertes, ces produits sont souvent à base de solvants.

3. Les joints : la touche finale
On fait les joints APRÈS le bouche-pores, mais AVANT la finition. Pour la couleur, un gris clair ou moyen est un choix sûr qui ne se salit pas trop. Pour un look moderne, optez pour des joints fins, de 2 mm. Pour un style plus traditionnel, 3 à 4 mm c’est parfait. Attention avec les joints foncés sur des carreaux clairs, les pigments peuvent tacher.
4. La finition : la protection de surface
Après les joints, on applique la dernière couche. La cire donne une belle patine satinée mais demande un entretien annuel. Pour une cuisine, je conseille plutôt un vernis protecteur mat ou satiné. C’est beaucoup plus résistant et vous serez tranquille pour des années.
Astuce : Faites toujours un test des produits de traitement sur une chute de carreau. Ils peuvent légèrement foncer la couleur, autant le savoir avant de faire toute la surface !

Budget, Planning et Entretien au Quotidien
Soyons clairs, un projet en vrais carreaux de ciment est un investissement. En plus du prix des carreaux (80€-150€/m²), comptez environ 30€ à 50€ de plus par mètre carré pour la colle, le joint et les produits de traitement. La pose par un pro sera aussi plus chère que pour un carrelage standard, car elle est plus lente.
Et ça prend combien de temps ? Pour une cuisine de 10m², un pro mettra environ 2 jours pour la préparation et la pose. Ensuite, il faut compter :
- 7 à 10 jours de séchage (incompressibles !)
- 1 journée pour appliquer le bouche-pores, faire les joints, nettoyer, et appliquer la finition.
Au total, votre cuisine sera donc en chantier pendant près de deux semaines, même si le travail effectif ne prend que 3-4 jours.
Pour l’entretien, c’est simple : le plus grand ennemi, c’est l’acidité. JAMAIS de vinaigre, de citron, d’anticalcaire ou d’eau de Javel. De l’eau chaude avec un savon neutre (savon noir, savon de Marseille) est parfait. Si vous renversez quelque chose, épongez immédiatement. C’est votre rapidité qui sauvera le carreau !

Enfin, sachez qu’un sol en carreaux de ciment est compatible avec un chauffage au sol, à condition d’utiliser une colle et un joint souples adaptés (cherchez la mention « flex » ou la norme S1/S2).
Au final, choisir le carreau de ciment, c’est un choix de cœur. C’est opter pour un matériau qui a une personnalité, une histoire. Il demande du soin à la pose et un peu d’attention à l’usage, mais en retour, il vous offrira une cuisine absolument unique et chaleureuse, qui traversera le temps avec une élégance folle.
Galerie d’inspiration




Véritable carreau de ciment : Son charme réside dans sa matière et sa patine qui évolue avec le temps. Il est doux au toucher, mais poreux et demande un traitement hydrofuge et oléifuge.
Grès cérame imitation : Plus résistant aux taches et à l’usure, il ne nécessite aucun traitement. Idéal pour un entretien minimal, mais il n’aura jamais la profondeur et le velouté de l’authentique.
Le choix dépend de votre priorité : l’âme et l’authenticité ou la facilité d’entretien.



Peut-on poser des carreaux de ciment sur un chauffage au sol ?
Oui, absolument ! La masse du carreau de ciment lui confère une excellente inertie thermique. Il emmagasine la chaleur et la restitue doucement, offrant une sensation de confort inégalée. Assurez-vous simplement d’utiliser une colle-mortier flexible adaptée et de respecter une mise en chauffe progressive du système pour éviter tout choc thermique.



Plus de 70% des motifs de carreaux de ciment créés au début du 20e siècle étaient floraux ou Art Nouveau. Les motifs géométriques et Art Déco ne se sont popularisés que dans les années 1920.



Le choix de la couleur du joint est aussi crucial que celui du carreau. Un joint clair (gris perle, beige) unifiera la surface et mettra en valeur la continuité du motif. Un joint foncé (anthracite, noir) créera un effet de quadrillage qui accentuera chaque carreau individuellement, apportant un style plus graphique et moderne.



Erreur fatale : N’utilisez JAMAIS de produits de nettoyage acides (vinaigre blanc, anti-calcaire, javel) sur de vrais carreaux de ciment, même traités. L’acidité attaque le ciment et peut laisser des marques mates et blanchâtres indélébiles. Privilégiez toujours un savon neutre comme le savon de Marseille ou le savon noir.



Pour un entretien qui nourrit et protège vos carreaux au quotidien, le secret de grand-mère reste le meilleur.
- Un bouchon de savon noir liquide dans un seau d’eau tiède.
- Une serpillère en microfibre bien essorée.
- De temps en temps, une fine couche de cire naturelle pour raviver les couleurs et renforcer la protection.



Le calepinage, c’est le plan de pose de vos carreaux. C’est une étape non négociable, surtout avec des motifs complexes. Dessinez votre pièce à l’échelle et positionnez vos carreaux pour centrer le motif, prévoir les coupes dans les zones les moins visibles (sous les meubles, dans les coins) et vous assurer que le résultat final sera harmonieux.



- Une surface douce et veloutée sous les pieds.
- Des couleurs qui gagnent en profondeur avec le temps.
- Une résistance aux rayures bien supérieure à un parquet.
Le secret ? L’application d’un traitement bouche-pores juste après la pose, suivi d’une finition cire ou d’un protecteur effet mat comme le Fila Matt pour conserver l’aspect naturel.



Ne jetez pas vos chutes ! Quelques carreaux restants peuvent devenir des objets déco uniques : dessous de plat originaux, plateau de service en y collant des poignées, ou même une petite crédence pour un lave-mains dans les toilettes. Une façon de prolonger le charme de votre cuisine dans toute la maison.



Le saviez-vous ? La couche colorée d’un carreau de ciment, appelée couche d’usure, mesure entre 3 et 5 millimètres. C’est pourquoi le motif ne peut jamais s’effacer avec le passage. En cas de rayure profonde ou de tache tenace, il est même possible de le poncer très légèrement avec un abrasif à grain fin pour lui redonner son aspect d’origine.



Pour donner l’illusion d’un tapis dans une grande cuisine ouverte, délimitez la zone repas ou l’îlot central avec un motif de carreaux de ciment fort. Entourez cette zone d’un carrelage plus neutre ou d’un parquet. C’est une astuce de décorateur pour structurer l’espace sans monter de cloisons.



Un carreau est ébréché, que faire ?
Pas de panique. Si l’éclat est petit, il existe des kits de réparation pour ciment ou pierre, disponibles en plusieurs teintes. Pour un carreau fissuré, le remplacement est possible. Un bon carreleur saura retirer le joint, casser délicatement le carreau abîmé et en coller un nouveau. C’est pourquoi il est VITAL de conserver quelques carreaux supplémentaires après votre chantier.




Point crucial : Commandez toujours 10 à 15% de carreaux en plus de la surface calculée. Ce surplus est indispensable pour couvrir les coupes, les erreurs de pose potentielles et pour vous constituer un petit stock en cas de réparation future. Les bains de couleur peuvent varier légèrement, il est donc essentiel d’avoir des carreaux du même lot de production.



Pensez à l’épaisseur ! Un vrai carreau de ciment mesure généralement entre 16 et 20 mm, contre 8 à 10 mm pour un carrelage classique. Cette différence doit être anticipée pour que le sol fini arrive au même niveau que les autres pièces, pour l’ajustement des portes et des plinthes. Une réservation dans la chape est souvent nécessaire en construction neuve.



Pour un style authentique et intemporel, inspirez-vous des grands noms qui ont préservé ce savoir-faire.
- Carocim : La référence historique, avec des rééditions de motifs du début du XXe siècle.
- Bahya : Des créations plus contemporaines, des couleurs audacieuses et des collaborations avec des designers.
- Mosaïc Del Sur : Un large choix de motifs personnalisables en ligne pour créer votre propre design.



Traitement hydrofuge : Indispensable, il protège contre l’eau et l’humidité. Idéal pour une salle de bain.
Traitement oléofuge : Essentiel pour une cuisine, il protège contre les taches de graisse et d’huile.
La meilleure solution pour une cuisine est un produit combiné hydro-oléofuge, comme le ProtectGuard de Guard Industrie ou le FilaFOB de Fila Solutions, à appliquer impérativement avant le jointoiement.



« Le carreau de ciment, c’est l’anti-industriel par excellence. Chaque pièce a ses propres nuances, ses petites imperfections qui signent son caractère unique. C’est un matériau qui vit et qui raconte une histoire. » – Un artisan carreleur



La tendance est à la crédence qui monte jusqu’au plafond. Sur un seul pan de mur, l’effet est spectaculaire sans pour autant surcharger l’espace. Dans une cuisine blanche ou en bois clair, un mur complet de carreaux de ciment à motifs devient le point focal, une véritable œuvre d’art qui donne tout son caractère à la pièce.



- Les couleurs restent vives et ne ternissent pas.
- Le nettoyage des taches de vin ou de café est un jeu d’enfant.
- L’entretien se limite à un simple coup d’éponge.
Le secret ? Opter pour un grès cérame imitation carreau de ciment de haute qualité. Des marques comme Marazzi ou Porcelanosa offrent des illusions bluffantes, avec un réalisme de motif et de texture qui s’approche de l’original, la durabilité en plus.



Pour marier les carreaux de ciment avec vos meubles, jouez sur les rappels de couleurs. Choisissez une des teintes présentes dans le motif du carreau et utilisez-la pour les façades des meubles, la peinture d’un mur ou les accessoires (chaises, luminaires). Cette astuce simple garantit une palette cohérente et harmonieuse.



Comment savoir si c’est un vrai carreau de ciment ?
Retournez-le ! Le dos d’un vrai carreau de ciment est en ciment brut, gris et rugueux (le mortier). On distingue nettement la couche de ciment de la couche de couleur sur la tranche. Un carrelage en grès cérame aura un dos plus uniforme, souvent strié, de la même matière que sa base (argile cuite).



La fabrication d’un seul carreau de ciment demande en moyenne 3 à 4 minutes de travail manuel à un artisan, avant de passer par une phase de séchage de 3 à 4 semaines. Un processus lent, gage de sa qualité et de sa solidité.



Le charme d’un sol en carreaux de ciment réside aussi dans sa patine. N’ayez pas peur des signes du temps ! Les micro-rayures et le léger polissage dû au passage vont unifier la surface et lui donner une profondeur unique, ce cachet que l’on recherche dans les maisons anciennes. C’est un sol qui s’embellit en vieillissant.



Budget maximal : Un sol complet dans une grande cuisine avec un motif complexe posé par un artisan spécialisé. C’est un investissement qui valorise durablement votre bien.
Budget maîtrisé : Une crédence au-dessus du plan de travail ou l’habillage d’un îlot central. L’impact visuel est immense pour une surface limitée et donc un coût réduit.


Avant de poser les joints, une étape est cruciale : la saturation. Imbibez légèrement la surface de vos carreaux avec une éponge humide. Cela empêche le ciment poreux