Vasque sur Colonne : Le Guide Pas-à-Pas pour Éviter les Galères

On va se parler franchement. La vasque sur colonne, avec son look classique et épuré, a l’air super simple à installer. On la voit en magasin, on craque, et on se dit qu’il suffit de la poser contre le mur. Grosse erreur.

Au fil des années sur les chantiers, j’ai vu de tout : des modèles en céramique hyper lourds, des pierres naturelles magnifiques mais fragiles, et des résines modernes très design. Et ce que j’ai appris, ce n’est pas dans les manuels. C’est en voyant des installations qui tournent mal et en comprenant pourquoi. Beaucoup pensent que la colonne porte tout le poids… mais c’est faux. La colonne, en réalité, ne fait que cacher la tuyauterie et stabiliser l’ensemble. La vraie star, celle qui fait tout tenir, c’est le mur.

Alors, mon but ici, c’est de vous donner les clés pour un travail bien fait, un travail qui tiendra la route pendant des années. Oubliez les galères, on va faire ça bien, ensemble.

Avant toute chose : La liste de courses

Rien de pire que de devoir courir au magasin de bricolage en plein milieu du chantier. Voici ce qu’il vous faut pour être tranquille :

• Les indispensables :
  • La vasque et sa colonne (évidemment !)
  • Un robinet mitigeur avec ses flexibles d’alimentation
  • Un ensemble bonde et siphon (souvent en kit, diamètre 40 mm pour l’évacuation)
  • Des chevilles adaptées à votre mur (on y revient juste après)
  • Une cartouche de silicone sanitaire anti-moisissures (blanc ou transparent)
• L’outillage :
  • Une perceuse-visseuse (avec mode percussion si mur plein)
  • Un jeu de forets (béton, carrelage, etc.)
  • Un niveau à bulle (le plus long possible)
  • Un mètre ruban et un crayon
  • Un jeu de clés plates et une clé à molette
  • Un pistolet à cartouche pour le silicone

  Bon à savoir : prévoyez un budget global. La vasque seule peut aller de 80€ à plus de 500€, mais n’oubliez pas le robinet (50-150€) et tous les petits accessoires qui peuvent vite faire grimper la note de 50€.

  
  

  Étape Zéro : Dites adieu à l’ancienne vasque

  Si vous ne partez pas d’un mur nu, il faut d’abord faire place nette. C’est souvent la partie la moins glamour mais indispensable.

  1. Coupez l’eau ! C’est LE réflexe à avoir. Fermez l’arrivée d’eau générale de la maison.
  2. Ouvrez le robinet de l’ancienne vasque pour vider le reste d’eau dans les tuyaux (prévoyez une bassine et des serpillères).
  3. Dévissez les flexibles d’alimentation en eau et le siphon de l’évacuation. Ça va couler un peu, c’est normal.
  4. S’il y a un vieux joint en silicone, coupez-le au cutter.
  5. Enfin, dévissez les fixations qui tiennent la vasque au mur. Demandez de l’aide, ça peut être lourd et encombrant.

  Voilà, vous avez un mur prêt à accueillir sa nouvelle star. Comptez une bonne demi-journée pour l’ensemble du projet si c’est votre première fois, peut-être 2 heures pour un bricoleur plus aguerri.

  Le mur : le vrai pilier de votre installation

  Le type de mur que vous avez va TOUT changer. Ne zappez pas cette étape. J’ai été appelé en dépannage un nombre incalculable de fois pour des vasques qui bougeaient, et 9 fois sur 10, le mur avait été sous-estimé.

  
  

  • Mur plein (brique, parpaing, béton) : Le rêve. Ça sonne plein quand on toque. Des chevilles en nylon de bonne qualité suffiront pour une fixation à toute épreuve.
  • Carreau de plâtre ou béton cellulaire : Des matériaux plus tendres. On perce sans percussion et on utilise des chevilles spécifiques qui s’ancrent bien sans tout abîmer.
  • Cloison en plaques de plâtre : Le piège classique dans les logements récents. Si ça sonne creux, méfiance. Fixer une vasque de 25 kg directement dans la plaque avec des chevilles à expansion, c’est la catastrophe assurée à moyen terme.

  Pour une cloison creuse, la seule solution vraiment pro, c’est de créer un renfort. Idéalement, ça se fait avant de poser les plaques en fixant une planche de bois solide entre les montants métalliques, pile à la hauteur des fixations. Mur déjà fermé ? C’est plus délicat. Il faut ouvrir proprement la plaque de plâtre, visser un morceau de contreplaqué marine ou un bastaing sur les montants, puis refermer avec un morceau de plaque neuf et de l’enduit. C’est un peu de travail, mais c’est la garantie d’une installation qui ne bougera JAMAIS.

  
  

  Honnêtement, des chevilles spéciales pour charges lourdes peuvent dépanner, mais elles ne remplaceront jamais la rigidité d’un vrai renfort.

  Un détail qui n’en est pas un : un sol bien plat

  La colonne repose par terre. Si votre sol n’est pas parfaitement de niveau, tout sera bancal. Ça va forcer sur les fixations murales et créer une tension sur la colonne qui pourrait, à terme, se fissurer. J’ai déjà vu une colonne en céramique se fendre juste à cause de ça. Prenez une grande règle et un niveau à bulle. Un petit défaut se rattrape avec de fines cales en plastique, mais si la pente est importante, un ragréage (un enduit pour lisser le sol) est quasi obligatoire.

  Quel matériau pour votre vasque ? Le tableau pour y voir clair

  Le choix n’est pas qu’une question de look. Le poids, la fragilité et l’entretien au quotidien dépendent énormément du matériau.

  
  

  Matériau	Fourchette de Prix	Entretien	Points forts	Points faibles
  Céramique	80€ – 250€	Très facile	Résistant aux rayures, durable	Lourd, fragile aux chocs
  Résine de synthèse	250€ – 500€	Facile (attention aux rayures)	Léger, design varié, réparable	Sensible aux rayures, peut jaunir
  Pierre naturelle	400€ et +	Exigeant (traitement régulier)	Look unique et luxueux	Très lourd, poreux (tache facilement)

  Pour la pierre, par exemple, un traitement hydrofuge et oléofuge est indispensable dès l’installation, à renouveler tous les ans. Et surtout, JAMAIS de produits anticalcaires ou de vinaigre dessus, ça la « brûle » instantanément. On nettoie avec du savon noir, tout simplement.

  
  

  La pose, étape par étape : on y va !

  Le secret, c’est la préparation. Prenez votre temps pour le traçage.

  D’abord, la hauteur standard pour le haut d’une vasque est entre 83 et 87 cm du sol. Je vise souvent 85 cm, mais c’est bien de l’adapter à votre taille. Tracez un axe vertical parfait au mur, ce sera votre repère. Présentez la vasque sur sa colonne, alignez-la, et marquez au crayon l’emplacement des trous de fixation. La règle d’or : mesurer deux fois, percer une fois.

  L’ASTUCE DE PRO QUI VOUS SAUVERA LE DOS !

  Franchement, c’est le conseil le plus important que je puisse vous donner. Avant même de présenter la vasque au mur, posez-la à l’envers sur un carton ou des tréteaux et montez le robinet et la bonde DESSUS. Vous aurez toute la place pour bien serrer les écrous. Essayer de faire ça une fois la vasque fixée, coincé entre le mur et la colonne, c’est un cauchemar garanti et une source de fuites.

  
  

  Ensuite, le perçage. Utilisez le bon foret pour ne pas éclater le carrelage (un foret diamanté est idéal, sans percussion). Une fois le carrelage traversé, passez au foret adapté à votre mur. Insérez les chevilles.

  Faites-vous aider pour soulever la vasque et la fixer au mur. N’oubliez pas de mettre une rondelle en plastique ou caoutchouc entre l’écrou et la céramique pour ne pas la fendre en serrant. Serrez progressivement, sans forcer comme une brute. Il faut juste qu’elle ne bouge plus.

  Positionnez la colonne, raccordez les flexibles d’eau et le siphon. Pour les raccords d’eau, serrez à la main puis juste un quart de tour à la clé. C’est le joint qui fait l’étanchéité, pas la force.

  Enfin, ouvrez l’eau doucement et vérifiez chaque raccord avec un papier absorbant. La moindre trace d’humidité, et on resserre un peu. Si tout est sec, faites un beau joint en silicone sanitaire entre la vasque et le mur. C’est ce qui empêchera l’eau de s’infiltrer derrière. Lissez-le avec un doigt trempé dans l’eau savonneuse pour une finition impeccable.

  
  

  Quand ça coince : diagnostic des problèmes courants

  • La vasque bouge un peu. Soit les fixations sont mal serrées, soit le sol n’est pas stable. Essayez de resserrer doucement. Si ça vient du bas, des petites cales sous la colonne feront l’affaire.
  • L’eau s’écoule mal. Si c’est neuf, la pente d’évacuation dans le mur est sûrement trop faible (il faut au moins 1 cm par mètre). Si c’est ancien, le siphon est juste bouché. Un bon nettoyage et ça repart.
  • Ça sent les égouts. Le siphon, qui contient une garde d’eau pour bloquer les odeurs, est peut-être vide ou mal monté. Faites couler l’eau et vérifiez que les joints sont bien en place.
  • Le siphon neuf fuit au niveau des raccords. Une erreur classique ! C’est souvent un joint mal positionné ou un serrage excessif qui l’a déformé. Desserrez tout, vérifiez que le joint est bien plat et propre, et resserrez à la main, sans forcer.

  
  

  Une dernière chose : la sécurité

  On ne plaisante pas avec ça. Avant de percer, utilisez un détecteur de métaux pour être sûr de ne pas tomber sur un tuyau ou un câble électrique. Et portez des gants et des lunettes de protection.

  Soyez honnête avec vous-même. Si le renfort du mur vous semble trop complexe ou si vous n’êtes pas à l’aise, n’hésitez pas. Faire appel à un professionnel pour une pose de ce type coûte généralement entre 250€ et 500€ selon la complexité du chantier. C’est un investissement pour la tranquillité d’esprit, et c’est toujours moins cher qu’un dégât des eaux.

  Voilà, vous avez toutes les cartes en main. Une vasque bien installée, c’est une vraie satisfaction. Elle ne sera pas juste un objet, mais le témoin de votre travail bien fait. Alors, bon courage !

  Galerie d’inspiration

  
  

  
  

  La vasque colonne est une alliée des petites salles de bains. Contrairement à un meuble massif, sa silhouette élancée dégage l’espace au sol, créant une illusion de grandeur et de légèreté. Le regard circule plus librement, ce qui est essentiel dans un espace restreint où chaque centimètre carré compte.

  
  

  • Céramique : Une éponge non abrasive avec du savon noir ou du vinaigre blanc dilué suffit.
  • Pierre naturelle (marbre, granit) : N’utilisez jamais de produits acides ! De l’eau tiède et un savon au pH neutre sont vos meilleurs amis.
  • Résine de synthèse (Corian®, Solid Surface) : Un simple chiffon microfibre et un nettoyant crème doux enlèveront la plupart des taches.

  
  

  Le détail qui change tout : La robinetterie. Ne la considérez pas comme un simple accessoire. Une robinetterie en laiton brossé ou en noir mat peut transformer une vasque classique en une pièce maîtresse contemporaine. Des marques comme Grohe ou Hansgrohe proposent des gammes (Essence, Talis E) qui allient design et technologie d’économie d’eau.

  
  

  Une vasque en céramique standard pèse entre 15 et 25 kg. Sa colonne, entre 10 et 20 kg. C’est un poids conséquent que seules des fixations murales de qualité peuvent supporter durablement.

  
  

  Le choix du siphon n’est pas qu’une question technique, il est aussi esthétique, surtout s’il est légèrement visible.

  • Le siphon en PVC blanc : L’option standard, économique et fonctionnelle, mais peu esthétique.
  • Le siphon en laiton chromé ou noir mat : Idéal pour une finition soignée et un look design cohérent avec la robinetterie. Un investissement minime pour un rendu haut de gamme.

  
  

  Puis-je peindre ma colonne de vasque pour l’assortir à mon mur ?

  Oui, mais avec méthode ! Si elle est en céramique émaillée, un simple coup de peinture ne tiendra pas. Il vous faudra d’abord poncer très légèrement la surface pour la dépolir, appliquer une sous-couche d’accroche spéciale carrelage/verre, puis utiliser une peinture pour pièces humides (type résine époxy ou peinture pour sanitaires) pour une finition résistante et durable.

  
  

  
  

  Cheville Molly pour Placo® : Indispensable pour une cloison en plaque de plâtre. Elle s’expanse derrière la plaque pour une prise solide.

  Cheville à frapper pour mur plein : Parfaite pour le béton ou la brique. Rapide et efficace.

  Ne vous trompez pas, la sécurité de votre installation en dépend directement.

  
  

  Selon le Centre d’Information sur l’Eau, un robinet standard a un débit de 12 L/minute. Les mitigeurs modernes équipés d’un mousseur peuvent le réduire à 5 ou 6 L/minute sans perte de confort.

  Cela signifie qu’en choisissant bien votre robinet pour la vasque, vous pouvez diviser par deux la consommation d’eau à ce point d’usage. Un geste simple pour la planète et le portefeuille, qui prend tout son sens dans la salle de bain.

  
  

  • Un cordon parfaitement lisse et régulier.
  • Une étanchéité qui ne noircit pas après 6 mois.
  • Pas de surplus disgracieux sur la vasque ou le mur.

  Le secret ? Utilisez un ruban de masquage de part et d’autre de la future ligne de joint, appliquez le silicone sanitaire (Rubson, Sika), lissez avec un doigt trempé dans l’eau savonneuse, puis retirez immédiatement le ruban. Impeccable !

  
  

  La vasque sur colonne n’est pas démodée, elle est intemporelle. Son grand retour est porté par la tendance Art déco, qui adore ses lignes géométriques et épurées. Associée à un miroir octogonal, des appliques murales dorées et un sol en damier, elle devient la star d’une salle de bains pleine de caractère, digne d’un hôtel de luxe parisien.

  
  

  Point crucial : La hauteur standard de pose pour le rebord d’une vasque se situe entre 85 et 90 cm du sol fini. C’est une hauteur ergonomique pour un adulte de taille moyenne. Mesurez bien avant de percer et utilisez votre niveau à bulle pour tracer un repère parfaitement horizontal sur le mur.

  
  

  « La vasque sur colonne, c’est l’élégance de la simplicité. Elle force à se concentrer sur la beauté de l’objet et la qualité des matériaux. » – Propos attribués à un architecte d’intérieur.

  
  

  
  

  Le mur d’accent derrière la vasque est une formidable opportunité créative. Oubliez le simple mur blanc !

  • Un carrelage Zellige : Pour un look artisanal et des reflets uniques.
  • Un papier peint vinyle : Choisissez un motif tropical ou graphique fort, spécialement conçu pour les pièces d’eau.
  • Une peinture audacieuse : Un bleu canard, un vert forêt ou un terracotta pour faire ressortir la blancheur de la céramique.

  
  

  La vasque sur colonne, c’est joli, mais où ranger mes affaires ?

  C’est l’objection principale ! La solution est de dissocier les fonctions. Flanquée d’une belle armoire de toilette avec miroir, d’une petite étagère murale en verre ou d’une colonne de rangement fine et haute, la vasque conserve sa légèreté visuelle tout en vous offrant les espaces de rangement nécessaires.

  
  

  Céramique : Le classique indémodable. Très résistante aux rayures et aux produits chimiques, facile à nettoyer, mais peut s’ébrécher en cas de choc violent.

  Résine minérale (Solid Surface) : Toucher plus chaud et soyeux, permet des designs plus fins et peut être réparée en cas de rayure. Elle est cependant plus sensible à certains produits et aux fortes chaleurs.

  
  

  N’oubliez pas l’éclairage ! Un bon éclairage sublime la vasque et est essentiel pour le quotidien. L’idéal est un éclairage double : une applique de chaque côté du miroir, à hauteur du visage. Cela évite les ombres disgracieuses que crée une lumière venant uniquement du plafond.

  
  

  • Serrer les raccords à la pince multiprise comme un forcené. Un serrage modéré à la main puis un quart de tour à la clé suffit pour écraser le joint sans l’endommager.
  • Négliger de faire un joint silicone entre le pied de la colonne et le sol. Il empêche l’eau de s’infiltrer dessous lors du nettoyage.
  • Fixer la vasque sur un mur en carrelage sans foret adapté. Utilisez un foret spécial carrelage/verre pour démarrer le trou sans le fêler.

  
  

  Certaines vasques colonnes, notamment les modèles de créateurs ou en pierre, sont conçues pour être associées à une robinetterie sur pied. Cette option luxueuse, où le robinet sort directement du sol, crée un effet sculptural spectaculaire. Elle nécessite cependant une préparation de la plomberie en amont, directement dans la chape.

  
  

  
  

  Tendance forte : la vasque colonne se colore. Oubliez le blanc sanitaire exclusif. Des marques comme Villeroy & Boch ou Jacob Delafon (avec sa collection ‘Couleurs’) proposent des finitions audacieuses : noir mat, gris ardoise, ou même des teintes pastel. Un excellent moyen de faire de la vasque le point focal de votre salle de bains.

  
  

  Saviez-vous que l’ancêtre de la vasque sur colonne, le lavabo sur pied, est apparu à la fin du 19ème siècle avec la démocratisation de l’eau courante dans les appartements bourgeois ? C’était un symbole de modernité et d’hygiène.

  
  

  Le sol sous la colonne doit être parfaitement plan. Si votre carrelage a des reliefs ou si le sol n’est pas de niveau, la colonne sera instable et la vasque risquera de bouger. Utilisez de petites cales en plastique très fines et discrètes pour corriger un léger défaut, puis masquez-les avec le joint silicone.

  
  

  Puis-je installer une vasque colonne sur un parquet en bois ?

  Techniquement oui, mais avec d’extrêmes précautions. Le bois est sensible à l’humidité. Assurez-vous que le parquet est traité avec un vernis marine (vitrificateur) de haute qualité. Le joint silicone entre la colonne et le sol doit être absolument parfait et vérifié régulièrement pour garantir une étanchéité sans faille.

  
  

  • Les trous pour la robinetterie (monotrou, trois trous).
  • Les dimensions exactes (largeur et profondeur) pour vérifier l’espace disponible.
  • La présence ou non d’un trop-plein (indispensable pour éviter les débordements).

  Avant de passer en caisse, ces trois vérifications vous éviteront bien des tracas et des allers-retours au magasin.

  
  

  Le conseil du pro : Une fois l’installation terminée, ouvrez l’eau et laissez couler pendant une minute. Pendant ce temps, passez un morceau de papier essuie-tout sec sur chaque raccord (sous la vasque, au niveau des arrivées d’eau). La moindre trace d’humidité sera immédiatement visible et vous pourrez ajuster le serrage avant que cela ne cause un dégât.

  Silicone blanc : Idéal pour une finition nette et classique avec une céramique blanche. Il a tendance à mieux masquer les petites imperfections du mur.

  Silicone transparent : Parfait si votre mur est coloré ou a un motif (carrelage, papier peint). Il crée une jonction discrète qui n’interfère pas avec votre décoration.

  Dans les deux cas, optez impérativement pour une formule