Crédence en Verre : Tous les Secrets d’un Pro pour une Pose Parfaite
Transformez votre cuisine avec une crédence en verre, le mélange parfait d’élégance et de fonctionnalité qui rehausse chaque espace.
Il y a quelque chose de fascinant à l'idée qu'un simple panneau de verre puisse métamorphoser l'atmosphère d'une cuisine. En tant qu'amoureuse du design, j'ai toujours été intriguée par la manière dont la lumière se reflète et les couleurs se mélangent. La crédence en verre n'est pas seulement pratique, elle est une véritable œuvre d'art qui invite à la créativité dans chaque cuisine.
J’ai passé une bonne partie de ma vie d’artisan les mains dans le ciment-colle, à poser du carrelage. C’était la norme. Mais franchement, je ne compte plus le nombre de cuisines où j’ai vu les joints, autrefois immaculés, devenir gris et s’encrasser. C’était une bataille perdue d’avance contre la graisse et le temps.
Contenu de la page
- Avant de commencer : on parle du verre, le vrai
- Couleur et Finition : le choix qui change tout
- Où acheter et quoi acheter ? La liste des courses
- La Préparation : 90% du travail se joue ici
- La Pose : le moment de ne pas trembler
- Les Finitions et l’Entretien
- Alors, on se lance seul ou pas ?
- Galerie d’inspiration
Et puis, un jour, un client audacieux m’a parlé de crédence en verre. Au début, j’étais plus que sceptique. Du verre derrière des plaques de cuisson ? Ça me paraissait être une très mauvaise idée, fragile et même dangereuse. Mais j’ai creusé le sujet, et ma première pose a été une véritable claque. La lumière, cette surface parfaitement lisse, la facilité de nettoyage… J’ai tout de suite compris le potentiel.
Aujourd’hui, c’est devenu un de mes chantiers préférés. Ce que je vais vous partager ici, ce n’est pas de la théorie piochée sur le net. C’est le résultat de nombreux projets, d’erreurs qui m’ont coûté cher au début, et de beaucoup de satisfaction. Mon but ? Que vous ayez toutes les cartes en main pour réussir, que vous choisissiez de retrousser vos manches ou de faire appel à un pro.

Avant de commencer : on parle du verre, le vrai
Premier point, et c’est non négociable : le verre d’une crédence n’est PAS du verre classique. On utilise exclusivement du verre trempé (ou verre de sécurité). C’est une obligation légale et de bon sens, surtout si vous avez une plaque de cuisson au gaz.
Pour faire simple, le verre est chauffé à très haute température (environ 650°C) puis refroidi brutalement. Ce processus crée des tensions internes qui le rendent jusqu’à cinq fois plus résistant qu’un verre normal, que ce soit aux chocs ou à la chaleur.
Attention, point crucial : une fois que le verre est trempé, impossible de le couper ou de le percer. La moindre tentative le ferait exploser en milliers de petits morceaux non coupants (c’est d’ailleurs une de ses propriétés de sécurité). Toutes les découpes pour les prises doivent donc être prévues AVANT la trempe. Une erreur à ce stade, et c’est toute la plaque qui est bonne pour la poubelle.

Quelle épaisseur choisir ?
Dans 95% des cas, une épaisseur de 6 mm est le compromis idéal entre robustesse, esthétique et budget. C’est le standard de l’industrie. On peut envisager du 8 mm pour des crédences de très grande longueur (plus de 2,50 m) ou avec beaucoup de découpes, pour plus de rigidité. Mais franchement, ne descendez jamais en dessous de 6 mm. Pour économiser 30 ou 40 euros, vous risquez de casser une plaque à 300€ pendant la manipulation. Mauvais calcul.
Couleur et Finition : le choix qui change tout
L’apparence de votre crédence va dépendre de la technique de coloration. Il y en a deux principales, avec des conséquences bien réelles sur la durabilité et le prix.
Option 1 : Le Verre Laqué (le plus courant)
C’est un verre clair sur lequel on applique une couche de laque opaque au dos. C’est l’option la plus répandue car on peut obtenir quasiment toutes les couleurs imaginables pour un coût maîtrisé.
Le piège à éviter : la laque est sensible à certains produits chimiques. L’erreur de débutant la plus fréquente est d’utiliser une colle ou un silicone bas de gamme (le fameux silicone acétique qui sent le vinaigre). Il va littéralement bouffer la laque par l’arrière, et vous verrez apparaître des taches horribles après quelques mois. La crédence sera alors irrécupérable. On utilise IMPÉRATIVEMENT un mastic-colle neutre ou un MS Polymère, compatible miroir.

Petit conseil de pro : Si vous voulez une crédence d’un blanc pur ou d’une couleur très claire (beige, pastel…), demandez un verre extra-clair. Le verre standard a toujours une légère teinte verdâtre (regardez la tranche d’une vitre pour voir) qui peut fausser le rendu final des teintes pâles. C’est un peu plus cher, mais ça évite les déceptions.
Option 2 : Le Verre Émaillé (le choix de la tranquillité)
Là, on est sur une autre catégorie. La couleur n’est pas une peinture, mais une poudre de minéraux (des émaux) qui fusionne avec le verre pendant la trempe. La couleur fait donc partie intégrante de la plaque.
C’est la solution la plus durable, insensible aux colles et aux rayures par l’arrière. C’est d’ailleurs la seule que je recommande sans hésiter derrière une plaque de cuisson au gaz, qui dégage une chaleur très intense.
Tableau comparatif rapide : Laqué vs. Émaillé
| Critère | Verre Laqué | Verre Émaillé |
|---|---|---|
| Prix | €€ (Accessible) | €€€€ (Plus cher) |
| Durabilité | Bonne (si bonne colle) | Excellente (à toute épreuve) |
| Risque à la pose | Élevé (erreur de colle fatale) | Faible |
| Choix des couleurs | Quasi infini | Large, mais plus restreint |
Au fait, il existe aussi des crédences imprimées. On utilise une impression UV haute définition au dos du verre pour y mettre une photo, un motif, ce que vous voulez. C’est une super option de personnalisation, mais assurez-vous auprès du fournisseur que les encres utilisées sont bien résistantes à la chaleur.

Où acheter et quoi acheter ? La liste des courses
C’est souvent la première question qu’on se pose. Plusieurs options s’offrent à vous :
- La miroiterie de quartier : C’est ma solution préférée. Vous avez un interlocuteur direct, du conseil de pro, et ils peuvent souvent gérer des projets complexes. Le prix est généralement correct.
- Les grandes surfaces de bricolage (Castorama, Leroy Merlin…) : Elles proposent des formats standards ou un service de découpe sur mesure. C’est pratique, mais le conseil peut être plus limité.
- Les sites spécialisés en ligne : Il y en a de plus en plus. Les prix peuvent être très attractifs, mais vous êtes seul pour la prise de mesures. Idéal si vous êtes sûr de votre coup.
Bon à savoir : La liste de courses complète
- Votre crédence en verre, bien sûr !
- Un pistolet à mastic de bonne qualité. N’achetez pas le modèle à 5€, il vous lâchera au milieu d’un cordon de colle.
- Du mastic-colle NEUTRE (type MS Polymère), compatible miroir. Comptez une cartouche pour 1,5 m² environ. (Ex: Sikaflex-118, Bostik MSP 108).
- Du silicone sanitaire anti-moisissures pour le joint final.
- Des ventouses de vitrier. Ça se loue ou ça s’achète pour une vingtaine d’euros et ça vous sauvera la mise (et votre dos).
- Des gants anti-coupure. INDISPENSABLE.
- Une grande règle, un mètre ruban, un crayon.
- De l’acétone ou de l’alcool à brûler pour dégraisser.
- Du ruban de masquage de bonne qualité.
- Des petites cales en plastique (1 ou 2 mm).

La Préparation : 90% du travail se joue ici
Une pose réussie, c’est avant tout une préparation parfaite. Le verre, lui, ne pardonne rien.
La prise de mesures : la minute de vérité
Un mur n’est JAMAIS parfaitement droit. Jamais. Ma méthode est simple et éprouvée :
- Vérifiez la planéité : Avec une grande règle, vérifiez qu’il n’y a pas de bosses ou de creux de plus de 2-3 mm. Si c’est le cas, un petit coup d’enduit de lissage est nécessaire.
- Mesurez la largeur en trois points (haut, milieu, bas) et la hauteur en trois points (gauche, milieu, droite). Notez TOUJOURS la plus petite des mesures.
- Le jeu de dilatation : De cette plus petite mesure, retirez 4 mm en largeur et 2 mm en hauteur. C’est votre cote de fabrication. Cet espace est vital pour que le verre puisse « respirer » avec la chaleur.
- Les découpes de prises : Pour chaque trou, mesurez la distance depuis le bord gauche du mur JUSQU’AU CENTRE du trou, et la distance depuis le plan de travail JUSQU’AU CENTRE du trou. Soyez précis au millimètre. Donnez aussi le diamètre du trou (souvent 68 mm).
L’astuce qui sauve : Pour une crédence un peu complexe, fabriquez un gabarit en carton ou en contreplaqué fin. Ça coûte 5€ de matériel et 1h de votre temps, mais ça peut vous éviter de jeter une crédence à 500€. Vous l’ajustez parfaitement, vous marquez les trous, et vous donnez ce gabarit à votre fournisseur. Zéro risque d’erreur.

La Pose : le moment de ne pas trembler
On respire un grand coup, et on y va. La pose collée est la plus esthétique et la plus courante.
1. Préparation du mur : Il doit être propre, sec et dépoussiéré. Si vous posez sur un ancien carrelage, dégraissez-le à fond à l’acétone. Faut-il reboucher les joints ? Si le carrelage est bien plat et que votre verre est d’une couleur foncée et opaque, ce n’est pas obligatoire. Dans le doute, un passage rapide d’enduit de lissage pour uniformiser la surface est une bonne assurance.
2. L’application de la colle : Au dos du verre, appliquez des cordons verticaux de mastic-colle, espacés de 10-15 cm. Surtout pas de gros plots ! Les cordons verticaux permettent à l’air de circuler derrière la crédence et assurent un séchage homogène.
3. La mise en place : C’est un travail d’équipe. Ne faites JAMAIS ça seul. Utilisez les ventouses. Posez la crédence sur les petites cales de 2 mm sur le plan de travail, puis basculez-la contre le mur. Appuyez fermement sur toute la surface. Maintenez en place avec du ruban adhésif pendant 24h.

Et la pose sur fixations mécaniques ?
C’est une option qui consiste à visser des plots au mur pour pincer le verre. Je la réserve aux cas où on a besoin d’un accès derrière, ou si le mur est vraiment trop abîmé. C’est moins épuré et un peu plus pénible à nettoyer.
Les Finitions et l’Entretien
La touche finale, c’est le joint silicone entre la crédence et le plan de travail. Il est OBLIGATOIRE pour l’étanchéité. Utilisez du ruban de masquage pour un résultat ultra-propre, lissez avec le doigt trempé dans l’eau savonneuse, et retirez le ruban immédiatement.
Pour l’entretien, c’est un rêve : un chiffon microfibre, de l’eau chaude, et c’est tout. Pour le gras, un peu de vinaigre blanc. Surtout, jamais d’éponge qui gratte !
Alors, on se lance seul ou pas ?
C’est la grande question. Pour un bricoleur appliqué, comptez une demi-journée de travail (hors séchage) pour une pose simple.

Oui, vous pouvez le faire si :
Votre crédence est un simple rectangle sans découpe, votre mur est droit, et vous avez un ami pour vous aider.
Faites appel à un pro si :
Il y a des découpes, des angles, ou si vous n’êtes tout simplement pas rassuré. Le coût de la pose par un professionnel (généralement entre 300€ et 500€) est aussi une assurance : s’il casse la crédence, c’est lui qui la remplace. Si c’est vous… vous la recommandez. Parfois, la tranquillité d’esprit, ça n’a pas de prix.
Galerie d’inspiration


Pour un rendu des couleurs parfait, notamment avec des teintes claires comme le blanc ou le beige sable, demandez un verre extra-clair (parfois appelé

- Un chiffon microfibre humide : suffisant pour les traces de doigts et les éclaboussures d’eau.
- Vinaigre blanc dilué : votre meilleur allié contre les traces de calcaire tenaces.
- Raclette de douche : un passage rapide après la vaisselle pour éviter les dépôts.
Le secret d’un verre toujours impeccable ? La simplicité. Oubliez les produits chimiques agressifs.

Attention au silicone ! N’utilisez JAMAIS de silicone acétique standard pour coller ou jointoyer votre crédence. Ses composants acides peuvent attaquer et décolorer le laquage au dos du verre avec le temps. Optez impérativement pour une colle ou un mastic-colle neutre, explicitement recommandé pour les miroirs et le verre laqué.

Selon une étude sur les tendances en aménagement de cuisine, 85% des personnes rénovant leur cuisine cherchent avant tout des matériaux faciles à nettoyer. La crédence en verre, sans joints, répond directement à cette priorité.


Une crédence en verre derrière une plaque à induction ou vitrocéramique ?
Absolument, c’est même idéal ! La chaleur dégagée est principalement verticale et le verre trempé de 6 mm y résiste sans aucun problème. C’est avec une plaque au gaz que la vigilance est maximale : une distance de sécurité (généralement 10 cm) entre les feux et le verre est indispensable pour éviter tout choc thermique.

Le verre laqué offre une finition brillante qui capte la lumière, mais la tendance est aussi au verre dépoli ou satiné. Des gammes comme le Matelac de AGC Glass Europe proposent une surface mate, incroyablement douce au toucher, qui ne marque pas les traces de doigts et diffuse la lumière pour une ambiance plus feutrée et contemporaine.

Verre Laqué (type Lacobel) : Une plaque de verre dont une face est recouverte d’une couche de laque de haute qualité. Offre des couleurs profondes et brillantes. C’est le standard de la crédence colorée.
Verre Imprimé : Une image, un motif ou une texture est imprimé numériquement au dos du verre avant la trempe. Permet une personnalisation totale, de l’imitation marbre à votre photo de vacances préférée.

- Un sentiment d’espace et de profondeur, même dans une petite cuisine.
- Une surface lisse et continue qui apaise le regard.
- Le plaisir d’un nettoyage ultra-rapide, sans jamais devoir frotter un joint.
Le secret ? L’absence de rupture visuelle. Le verre crée un plan unique qui agrandit et modernise instantanément la pièce.

L’éclairage est le meilleur ami de votre crédence en verre. Un bandeau LED placé sous les meubles hauts ne se contentera pas d’éclairer votre plan de travail. Il glissera sur la surface du verre, révélant toute la profondeur de sa couleur et créant une atmosphère digne d’une cuisine de chef à la nuit tombée.


Le saviez-vous ? Le processus de trempe ne rend pas seulement le verre plus résistant à la chaleur et aux chocs. En cas de casse (extrêmement rare), il se fragmente en centaines de petits morceaux non coupants, ce qui en fait un véritable verre de sécurité, obligatoire pour cet usage.

Pour choisir la teinte idéale, ne vous fiez pas uniquement à un écran. Demandez des échantillons réels et observez-les dans votre cuisine à différents moments de la journée. La couleur d’un

Peut-on poser une crédence en verre sur un ancien carrelage ?
Oui, c’est un des grands avantages de la rénovation ! Si votre carrelage est propre, dégraissé et bien adhérent, vous pouvez coller directement le panneau de verre dessus. Cela vous évite la poussière et les désagréments de la dépose. Assurez-vous simplement que la surface est relativement plane.

Fixation par collage : C’est la méthode la plus courante et la plus épurée. La crédence est maintenue par des cordons de mastic-colle neutre au dos. Le résultat est parfaitement lisse, sans aucune fixation visible.
Fixation par vis : Des perçages sont effectués dans le verre avant la trempe. La crédence est ensuite vissée au mur avec des fixations décoratives. C’est une option plus

L’erreur la plus coûteuse est une mauvaise prise de mesures. Utilisez un mètre rigide, mesurez la hauteur et la largeur à trois endroits différents et retenez toujours la plus petite des cotes. Pour la position des prises, mesurez toujours depuis le même point de départ (le coin gauche du mur, par exemple) pour éviter les erreurs d’accumulation.


- Oublier de déduire 2 mm sur la hauteur et la largeur totales pour le jeu de dilatation.
- Mal mesurer l’axe des prises (mesurez toujours le centre du trou, pas les bords).
- Ne pas vérifier l’équerrage des angles de votre mur.

Alternative économique : le fond de hotte. Si une crédence sur toute la longueur est hors budget, concentrez-vous sur l’essentiel. Un fond de hotte en verre trempé, placé uniquement derrière la plaque de cuisson, protège la zone la plus exposée. Vous pouvez compléter le reste du mur avec une peinture lavable de qualité.

Pensez au-delà de la couleur unie. La tendance est aux crédences en verre à effet miroir. Un miroir gris ou bronze, par exemple, agrandit l’espace et reflète la lumière de manière douce, sans l’effet parfois froid d’un miroir classique. C’est une touche de sophistication discrète mais très efficace.

Votre mur n’est pas parfaitement droit ? Pas de panique. Lors de la commande, précisez les mesures exactes de votre niche. Un bon miroitier saura réaliser une crédence légèrement trapézoïdale qui épousera parfaitement la forme de votre mur. C’est là que le sur-mesure prend tout son sens.

Le conseil du pro : Une fois la crédence posée, le joint de finition en silicone transparent entre le plan de travail et le verre est crucial. Appliquez un ruban de masquage sur chaque surface, faites votre joint, lissez-le avec un doigt trempé dans l’eau savonneuse, puis retirez délicatement les rubans. Résultat net et professionnel garanti.


Envie d’une crédence vraiment unique ? Certains fabricants proposent des crédences en verre magnétique. En plus d’être design et faciles à nettoyer, elles vous permettent d’y fixer vos listes de courses, des dessins d’enfants ou des recettes avec de jolis aimants. Un deux-en-un pratique et ludique.

La gamme de verres laqués Lacobel d’AGC Glass Europe est une référence pour les professionnels. Elle propose un nuancier de couleurs tendance et garantit une uniformité parfaite entre les différents lots de production, un détail crucial pour les grands projets.

Crédence basse : Hauteur de 15 à 25 cm. C’est une protection minimale, discrète, qui souligne la ligne du plan de travail. Souvent utilisée en complément d’un fond de hotte.
Crédence standard : Hauteur de 50 à 70 cm. Elle remplit l’espace entre le plan de travail et les meubles hauts, offrant une protection et un impact visuel maximaux.

Pour les découpes complexes (multiples prises, interrupteurs, angles sortants), ne prenez aucun risque. Fabriquez un gabarit grandeur nature en carton ou en contreplaqué fin (isorel). Validez-le en le positionnant sur votre mur. C’est cette maquette que vous fournirez au miroitier pour une fabrication sans la moindre erreur.
Et la durabilité ?
Le laquage est appliqué sur la face arrière du verre, celle qui sera collée au mur. Il est donc totalement protégé des rayures, des produits d’entretien et des chocs. Une crédence en verre bien posée ne bougera pas pendant des décennies, sa couleur restera aussi intense qu’au premier jour.