Crédence de Cuisine : Le Guide Complet pour une Pose Réussie (Même Quand on Débute)
Transformez votre cuisine en un espace accueillant avec du carrelage mural unique. Quelle ambiance souhaitez-vous créer ?

Le carrelage mural de cuisine n'est pas qu'une simple finition, c'est une véritable déclaration de style. Je me souviens de la première fois où j'ai choisi des carreaux colorés pour ma cuisine. Chaque repas devient une célébration visuelle. Explorez des motifs audacieux, des textures innovantes et des couleurs qui éveillent vos sens, car votre cuisine mérite d'être aussi inspirante que les plats que vous y préparez.
On me pose souvent la question : la crédence de cuisine, c’est juste pour faire joli, non ? Franchement, si seulement c’était si simple. Après des années passées sur les chantiers, du neuf à la grosse rénovation, je peux vous dire un truc : votre crédence, c’est le gilet pare-balles de votre cuisine. C’est l’élément technique qui va protéger vos murs pour des décennies.
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Une anecdote qui m’a marqué ? Un couple qui venait d’acheter. La cuisine avait été refaite à neuf pour la vente, toute belle, toute propre. Mais au bout de quelques mois, une odeur d’humidité persistante s’est installée. En démontant les meubles bas, on a découvert un cauchemar : le mur derrière l’évier était complètement pourri. La cause ? De jolis carreaux posés à la va-vite, directement sur du placo standard avec un joint bas de gamme. L’eau s’était infiltrée à chaque vaisselle. Tout était à refaire. Une belle crédence, c’est avant tout une crédence BIEN faite. Alors oublions le marketing, et parlons technique, matériaux et gestes de pro.

Pourquoi une crédence, c’est vital pour votre cuisine ?
Avant même de penser couleurs ou motifs, il faut comprendre son rôle. La crédence protège le mur de trois ennemis jurés : l’eau, la graisse et la chaleur. Une simple peinture, même si on vous la vend comme « lessivable », ne fera jamais le poids bien longtemps.
- Contre l’eau : C’est sa mission numéro un. Autour de l’évier, ça éclabousse non-stop. Une crédence bien posée, avec la bonne colle et surtout un bon joint, crée une barrière 100% étanche. Le point faible, c’est quasi toujours la liaison entre la crédence et le plan de travail. Attention ! Un simple joint acrylique, c’est la porte ouverte aux ennuis. Il vous faut un mastic silicone sanitaire de qualité, qui reste souple et résiste aux moisissures.
- Contre la chaleur : Derrière une plaque de cuisson, surtout au gaz, la température grimpe en flèche. Certains matériaux, comme le stratifié ou le vinyle, peuvent se déformer ou jaunir. Des matériaux comme le carrelage, le verre trempé ou l’inox sont faits pour ça. C’est une question de sécurité, tout simplement.
- Contre les taches : Votre cuisine, elle vit ! Les projections de sauce tomate, de vinaigre, les éclats d’huile… tout ça atterrit sur la crédence. Un matériau poreux va boire ces taches, et là, bon courage pour les enlever. La surface doit être facile à nettoyer, encore et encore.

Le Choix du Matériau : Le grand match
Le matériau que vous allez choisir va tout conditionner : le budget, la pose, et l’entretien au quotidien. Pour vous aider à y voir plus clair, voici un petit tableau récapitulatif, suivi de mon avis de terrain sur chaque option.
Matériau | Prix indicatif (€/m²) | Durabilité | Entretien | Difficulté de pose (DIY) |
---|---|---|---|---|
Grès Cérame | 20€ – 80€ | Excellente | Très facile | Moyenne |
Faïence | 15€ – 60€ | Bonne | Facile | Facile |
Verre Trempé | 100€ – 300€ | Très bonne | Très facile (mais traces) | Difficile (mesures critiques) |
Inox | 50€ – 150€ | Excellente | Facile (mais traces) | Moyenne |
Pierre Naturelle | 80€ – 250€+ | Bonne à excellente | Exigeant (traitement) | Difficile (poids, découpe) |
Carreaux de Ciment | 70€ – 150€ | Moyenne | Très exigeant (poreux) | Difficile (fragile, traitement) |
Le Grès Cérame : Le choix de la tranquillité
Honnêtement, c’est presque toujours ce que je recommande. C’est un produit d’une fiabilité incroyable. Il est pressé et cuit à très haute température, ce qui le rend ultra-dense et quasi imperméable. Les taches et l’eau restent en surface. C’est le champion toutes catégories.

La Faïence : Le charme traditionnel
Plus tendre que le grès cérame, la faïence est protégée par une couche d’émail brillante. Son gros avantage, c’est qu’elle est plus facile à couper et à percer, un bon point si vous débutez. Son défaut ? Sa fragilité. Un choc un peu fort, et l’émail peut sauter. C’est un bon choix pour les budgets serrés, à condition d’être un minimum soigneux.
Les Carreaux de Ciment : La beauté qui se mérite
C’est magnifique, on est d’accord. Mais attention, c’est un matériau poreux, une vraie éponge. Si vous optez pour ça, un traitement de protection est OBLIGATOIRE après la pose. Il faut d’abord appliquer un produit bouche-pores, puis une finition (cire ou vernis). Et ce traitement doit être refait tous les 2-3 ans. C’est un choix qui demande de l’engagement !
La Pierre Naturelle : Le luxe authentique
Marbre, granit, ardoise… c’est le grand jeu. Chaque plaque est unique. Le granit est un excellent choix, car il est très résistant. Le marbre, lui, est magnifique mais craint les acides (citron, vinaigre). Il doit être traité impérativement. Vu le poids et la difficulté de coupe, c’est souvent un projet qui nécessite un professionnel.

Le Verre et l’Inox : Le look pro
Ces matériaux offrent une surface parfaitement lisse, sans joints, hyper facile à nettoyer. Le top de l’hygiène ! Le principal inconvénient du verre, c’est que toutes les découpes pour les prises doivent être faites en usine. Aucune erreur de mesure n’est permise. Pour l’inox, son seul vrai défaut, c’est qu’il marque énormément les traces de doigts et de calcaire. Il faut avoir le chiffon à portée de main.
La Préparation : 90% du boulot se joue ici
Un pro passe plus de temps à préparer qu’à poser. C’est le secret d’un résultat qui dure des années.
Étape 0 : Virer l’ancienne crédence (si besoin)
Souvent, on n’en parle pas, mais il faut bien commencer par là !
- Sécurité d’abord : Coupez le courant au disjoncteur général et démontez les caches des prises et interrupteurs.
- L’attaque : Avec un marteau et un burin plat, commencez par un coin ou un carreau déjà fissuré. Glissez le burin derrière le carreau et tapez doucement pour le décoller. Portez des lunettes de protection et des gants, ça va voler !
- Le nettoyage : Une fois les carreaux enlevés, il restera de la vieille colle. Grattez le plus gros. Le mur sera sans doute abîmé. Pas de panique, on va réparer ça.

Étape 1 : Un mur parfaitement plat et sain
Prenez une grande règle en alu et plaquez-la contre le mur. Si vous avez un écart de plus de 3-4 mm, il faut rattraper le coup avec un enduit de ragréage mural. C’est non-négociable, surtout avec de grands carreaux. Si le mur est en placo standard (blanc/gris), je vous conseille VRAIMENT de le remplacer par du placo hydrofuge (vert) au moins sur la zone de la crédence. C’est une assurance vie contre l’humidité.
Étape 2 : Le primaire d’accrochage, votre meilleur ami
Beaucoup de bricoleurs zappent cette étape. Grosse erreur. Ce produit, qu’on applique au rouleau, permet à la colle de bien adhérer sans que le mur n’absorbe toute l’eau trop vite. C’est une étape qui prend 15 minutes et qui change tout.
Étape 3 : Le calepinage, ou le plan de bataille
Avant de toucher à la colle, dessinez votre plan de pose. L’objectif ? Éviter les mini-découpes horribles dans les coins. L’astuce, c’est la symétrie. Mesurez la longueur du mur, tracez un trait au milieu, et commencez la pose de part et d’autre de ce trait. Vous aurez ainsi deux découpes de taille égale à chaque extrémité. C’est beaucoup plus pro.

La Pose : On passe à l’action !
Tout est prêt ? C’est parti.
La liste de courses type (pour 5m²)
Avant de foncer au magasin, voici une petite idée de ce qu’il vous faut :
- Carrelage : 5m² + 10% de plus pour les découpes et les ratés.
- Colle en poudre : Un sac de colle classée C2TE. On en trouve dans toutes les grandes surfaces de bricolage (Leroy Merlin, Castorama…) pour environ 20-25€. Un sac de 25kg couvre environ 5-7m².
- Primaire d’accrochage : 1L suffit largement (environ 15€).
- Joint en poudre : Un sac de 5kg, hydrofugé de préférence (environ 15€).
- Mastic silicone sanitaire : Une cartouche de bonne qualité (8-10€).
- Outillage : Peigne à colle (dents de 8mm), taloche à joint en caoutchouc, malaxeur pour perceuse, niveau à bulle (ou laser, c’est le top !), coupe-carreaux, croisillons (3mm, c’est un bon standard), seaux, éponge…
La colle : Le bon mélange
Oubliez les colles en pâte toutes prêtes. Une colle en poudre (norme C2TE, c’est écrit sur le sac) sera bien plus performante. On la mélange à l’eau avec un malaxeur jusqu’à obtenir une pâte souple et homogène. Laissez-la reposer 5 minutes, puis remélangez un coup. Elle est prête.

L’encollage : La fameuse technique du pro
Étalez la colle sur le mur avec un peigne à colle. Pour des carreaux de plus de 30×30 cm, appliquez la technique du double encollage : en plus du mur, mettez une fine couche de colle au dos du carreau. Ça garantit une adhérence parfaite, sans aucune poche d’air. Adieu les carreaux qui sonnent creux !
Astuce peu connue : La découpe des prises
C’est la peur du débutant ! Voici la méthode simple :
- Mesurez et tracez précisément l’emplacement de la prise sur le carreau.
- Avec une mèche diamantée (ça coûte une dizaine d’euros), percez lentement un trou dans chaque coin de votre tracé.
- Avec une petite meuleuse d’angle équipée d’un disque diamant, reliez les 4 trous en suivant vos traits. Allez-y doucement, sans forcer. Et voilà !
Les joints : La finition qui change tout
Attendez au moins 24h que la colle soit sèche. Appliquez le mortier à joint en diagonale avec une taloche en caoutchouc, en remplissant bien l’espace. Et maintenant, l’astuce qui sauve la vie :

L’Astuce du Pro : La technique des deux seaux
Quand le joint commence à durcir, prenez DEUX seaux d’eau claire. Le premier seau sert à rincer votre éponge sale. Le deuxième, toujours propre, sert à humidifier l’éponge pour le nettoyage final sur le mur. Grâce à ça, vous ne réétalerez jamais la laitance (le voile de ciment grisâtre) sur vos carreaux neufs. C’est le jour et la nuit, croyez-moi !
Budget et Temps : On se dit tout !
Un projet, ça se planifie. Soyons concrets.
- Le temps : Pour un bricoleur amateur mais appliqué, sur une crédence de taille standard (3-4 m²), comptez un bon week-end. Samedi matin : préparation et dépose de l’ancien carrelage. Samedi après-midi : pose des carreaux. Dimanche après-midi : réalisation des joints. Ne vous pressez pas !
- Le budget : Pour une crédence de 4m² avec un joli grès cérame à 30€/m², voilà une estimation réaliste. Carrelage (avec les 10% en plus) : ~132€. Colle, joint, silicone, primaire : ~55€. Location d’un bon coupe-carreaux pour le week-end si besoin : ~30€. On arrive à un budget total d’environ 220€ pour tout refaire à neuf et avec du matériel de qualité.

DIY ou j’appelle un pro ?
Se lancer soi-même, c’est super gratifiant. Mais il faut être honnête sur ses capacités.
Lancez-vous si : Votre mur est relativement droit, vous êtes patient et vous avez choisi un matériau
Galerie d’inspiration


Quelle est la bonne hauteur pour une crédence ?
Il n’y a pas de règle unique, tout dépend de l’effet recherché. La norme fonctionnelle se situe entre 50 et 70 cm de hauteur, entre le plan de travail et les meubles hauts. Pour un look plus audacieux et une protection maximale, osez la crédence toute hauteur qui monte jusqu’au plafond. C’est une solution spectaculaire, surtout avec des carreaux à motifs ou un matériau noble comme le marbre.

Selon une étude Houzz, 87% des personnes qui rénovent leur cuisine changent leur crédence. C’est l’élément qui permet le plus facilement de moderniser l’espace.
Ce chiffre montre à quel point la crédence est perçue comme un élément de style majeur. Plus qu’une simple protection, elle est la signature visuelle de la pièce. C’est l’opportunité d’oser une couleur vive ou un motif graphique sans engager le budget d’un changement de mobilier complet.

Stratifié : Moins cher et facile à poser, il se coordonne souvent au plan de travail. Attention, il craint la chaleur intense et ne doit pas être placé derrière une plaque de cuisson au gaz sans un fond de hotte en inox ou en verre.
Verre trempé : Très résistant à la chaleur et hygiénique car sans joints. Il offre un look moderne et peut être personnalisé avec la couleur RAL de votre choix. Son point faible reste sa sensibilité aux rayures des produits abrasifs.

Ne sous-estimez jamais l’impact du joint de carrelage ! La couleur peut transformer radicalement l’aspect de votre crédence.
- Un joint ton sur ton (ex: blanc sur carreau blanc) crée une surface unifiée et discrète.
- Un joint contrasté (ex: noir sur carreau blanc de style métro) souligne la forme du carreau et donne un style graphique, industriel.
- Un joint coloré est une option audacieuse pour une touche de fantaisie assumée.

- Nettoyage ultra-rapide, en un seul coup d’éponge.
- Absence totale de joints qui pourraient s’encrasser.
- Résistance extrême à la chaleur, aux rayures et aux acides.
Le secret ? La crédence en céramique grand format. Des marques comme Dekton ou Neolith proposent des plaques fines (de 3 à 12mm) qui imitent la pierre, le béton ou le métal avec un réalisme bluffant, pour un look design et une durabilité à toute épreuve.

Point crucial : le fond de hotte. Derrière une plaque de cuisson au gaz, la réglementation impose un matériau incombustible (classé M0). Même avec l’induction, une protection dédiée est plus sûre et plus simple à nettoyer que le reste de la crédence. Une simple plaque en inox brossé ou en verre trempé de 90x70cm est souvent la solution la plus efficace.

Les carreaux Zellige, faits main au Maroc, présentent des irrégularités de surface et de couleur qui captent la lumière de manière unique. Chaque carreau est différent.

Pensez à l’éclairage ! Une crédence brillante (verre, inox poli, faïence lustrée) reflètera la lumière des spots ou des rubans LED placés sous les meubles hauts, agrandissant visuellement l’espace. À l’inverse, une matière mate comme l’ardoise ou le béton ciré absorbera la lumière pour une ambiance plus feutrée et intimiste. Testez vos échantillons sous la lumière de votre cuisine avant de choisir.

Puis-je poser ma nouvelle crédence directement sur l’ancienne ?
Techniquement, oui, à condition que l’ancienne soit parfaitement plane, solide et bien adhérente au mur. C’est une solution rapide pour éviter la démolition. Il faut dégraisser la surface à fond et utiliser un primaire d’accrochage spécifique (comme le SikaLatex). Attention cependant à la surépaisseur créée au niveau des prises électriques et du plan de travail.


Pour une finition impeccable, le profilé de finition est votre meilleur allié. Cette petite baguette en PVC, alu ou inox se place sur les bords extérieurs de votre carrelage. Elle protège les arêtes des chocs, masque les imperfections de coupe et assure une transition nette et professionnelle avec le mur peint.

La grande tendance est à la continuité. Utiliser le même matériau pour le plan de travail et la crédence crée un effet

- Inox : Utilisez une microfibre douce et un produit spécial inox (ou simplement du vinaigre blanc dilué) pour éviter les traces de doigts. Frottez toujours dans le sens du brossage.
- Pierre naturelle (marbre, granit) : N’utilisez jamais de produits acides (citron, vinaigre) qui attaquent la pierre. De l’eau tiède et du savon noir suffisent. Pensez à ré-appliquer un produit hydrofuge tous les ans.
- Verre : Un simple produit à vitres et un chiffon non pelucheux lui redonneront tout son éclat.

- Une pose rapide, souvent en moins d’une heure.
- Aucune colle, aucun joint à faire.
- Idéal pour les locataires car la pose est réversible.
La solution ? Les carreaux adhésifs. Des marques comme Smart Tiles proposent des plaques de gel 3D qui imitent parfaitement le carrelage. Elles résistent à l’humidité et à la chaleur (à distance de sécurité) et se coupent simplement au cutter.

L’erreur du débutant : commencer la pose des carreaux depuis un coin. Pour un résultat harmonieux, le calepinage (le plan de pose) est essentiel. Tracez une ligne verticale au centre de la zone à carreler et commencez la pose de part et d’autre. Ainsi, les coupes, si nécessaires, seront symétriques aux deux extrémités du mur et donc beaucoup plus discrètes.

Attention aux prises ! Avant de coller quoi que ce soit, coupez le courant, démontez les caches de vos prises et interrupteurs. Reportez leurs emplacements sur la crédence. La découpe dépendra du matériau : une scie cloche pour du carrelage ou du bois, une découpe en usine pour le verre ou le quartz. L’anticipation est la clé.

Le bon silicone, c’est la clé de la longévité. Oubliez l’acrylique pour la jonction plan de travail/crédence. Optez impérativement pour un mastic silicone sanitaire anti-moisissures, comme le Rubson Sanitaire Baignoire & Cuisine ou le SikaSeal-109 Cuisine. Il restera souple et étanche malgré les variations de température et l’humidité constante.

Pour une pose de carrelage réussie, préparez votre mur. Il doit être propre, sec, et surtout, parfaitement plat. Passez une grande règle sur le mur : si vous voyez un jour de plus de 5mm, un ragréage mural s’impose avant de commencer. Coller sur un mur bosselé garantit des carreaux qui ne seront pas alignés et des joints irréguliers.

Inox Brossé : Le classique des cuisines pro. Il est mat, dissimule mieux les petites rayures et les traces de doigts. Son look est plus industriel.
Inox Miroir (ou poli) : Très design, il agrandit l’espace en reflétant la lumière et l’environnement. En revanche, il est beaucoup plus sensible aux traces et aux micro-rayures.
Le choix est purement esthétique, les deux offrant la même résistance à la chaleur.

Avant de poser votre premier carreau, réunissez le bon matériel. C’est le secret d’un travail propre et sans stress.
- Un peigne à colle (choisir la taille des dents selon le carreau)
- Une truelle et une auge pour préparer la colle
- Un coupe-carreaux (manuel ou électrique)
- Des croisillons pour des joints réguliers
- Un niveau à bulle et une règle de maçon
- Une raclette en caoutchouc pour le jointoiement
Le marché des crédences adhésives a connu une croissance de plus de 15% par an ces dernières années.
Cette forte progression s’explique par la tendance du DIY et la volonté de relooker son intérieur rapidement et à moindre coût. C’est une solution parfaite pour moderniser une cuisine de location ou pour tester un style avant de s’engager dans des travaux plus lourds.