Quand j'ai décidé d'intégrer du carrelage noir dans ma salle de bain, je ne savais pas à quel point cela transformerait l’atmosphère. Chaque jour, je découvre comment ce choix audacieux allie modernité et sophistication. Les contrastes avec des éléments en bois ou en métal doré apportent une chaleur inattendue à cet espace, et chaque coin devient une œuvre d'art.
Le carrelage noir, c’est la grande classe, on est d’accord. Dans une cuisine moderne ou une salle de bain élégante, ça change radicalement l’ambiance. Mais, soyons honnêtes, c’est aussi un choix qui ne pardonne aucune erreur. Le moindre défaut vous saute au visage.
J’ai vu un paquet de chantiers où le résultat était décevant, pas à cause du carrelage lui-même, mais à cause de la pose. Des joints qui bavent, des carreaux mal alignés, et le pire ennemi du noir mat : ce fameux voile de ciment qui rend tout terne… Franchement, ça peut vite tourner au cauchemar.
Alors, ici, pas de blabla théorique. On va parler concret, avec des astuces du terrain pour que vous réussissiez votre projet, ou que vous sachiez exactement quoi demander à un pro.
Avant de commencer : le noir, c’est plus qu’une simple couleur
On le choisit pour le look, mais ses caractéristiques ont un impact direct sur la pose. Il faut comprendre deux ou trois choses pour éviter les mauvaises surprises.
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1. La lumière, votre meilleure amie et votre pire ennemie
C’est simple : le noir absorbe la lumière. Contrairement à un carrelage beige qui va gentiment masquer les petits défauts, le noir les expose. Chaque imperfection crée une ombre visible. Un minuscule décalage entre deux carreaux (ce qu’on appelle un désaffleur) devient une véritable falaise à l’œil nu.
Ça veut dire quoi pour vous ? Que la planéité de votre sol ou de votre mur doit être IM-PEC-CABLE. On y reviendra.
Petit conseil de pro : pendant la pose, utilisez un éclairage rasant. Posez une simple lampe de poche ou une baladeuse au sol. Vous serez halluciné de voir les défauts que ça révèle. Faites le test ce soir chez vous avec la lampe de votre téléphone, vous allez voir de quoi je parle !
2. Bien choisir sa matière : tout ce qui est noir n’est pas pareil
Sous l’étiquette « carrelage noir », il y a de tout. Votre choix va conditionner la difficulté et la durée de vie de votre sol.
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Le grès cérame émaillé : C’est le plus courant et le plus abordable. On le trouve à partir de 20€/m², mais pour une bonne qualité, visez plutôt la tranche 30-45€/m². Son défaut ? L’émail noir recouvre un « biscuit » souvent clair. Au premier gros choc, l’émail saute et hop, une belle tache blanche ou beige apparaît. Rageant.
Le grès cérame pleine masse : Là, on monte en gamme. Le carreau est teinté dans toute son épaisseur. Un éclat sera quasi invisible. C’est plus cher, oui (comptez entre 45€ et 80€/m²), mais c’est un investissement tranquillité, surtout pour un sol de cuisine ou une entrée. Pour vérifier, regardez la tranche du carreau : si elle est noire comme la surface, c’est du pleine masse.
La faïence : Attention ! La faïence, c’est pour les murs. UNIQUEMENT. N’essayez jamais d’en mettre au sol, elle n’est pas conçue pour résister aux chocs et à l’usure.
La pierre naturelle (ardoise, granit…) : Superbe, noble, mais plus délicat. Ces matériaux sont poreux. Il faut impérativement appliquer un produit hydrofuge (contre l’eau) et oléofuge (contre les graisses) avant de faire les joints, sinon le mortier va tacher la pierre à vie. L’entretien est aussi plus strict : jamais de produits acides comme le vinaigre ou l’anticalcaire !
3. La finition : Brillant, Mat ou Satiné ?
Le look, c’est une chose. Les contraintes d’entretien, c’en est une autre. Voici un petit tableau pour y voir plus clair :
Finition
Look
Niveau d’entretien
Idéal pour…
Brillant
Effet miroir, luxueux
Élevé (traces de doigts, gouttes d’eau, micro-rayures)
Salle de bain d’amis, mur de crédence peu exposé
Mat
Moderne, sobre
Moyen (ennemi n°1 : le voile de ciment)
Sols de cuisine, salle de bain familiale, style industriel
Lappato (Satiné)
Subtil, reflets doux
Facile (bon compromis)
Presque partout ! Sols et murs
La préparation du support : 90% du boulot se joue ici
Je le dis et le répète : la préparation, c’est la clé. Avec le carrelage noir, c’est non-négociable. Le support doit être propre, sec, solide et surtout, parfaitement plan. Les normes professionnelles tolèrent un défaut de 3 mm sous une règle de 2 mètres. Honnêtement, pour du grand format, je vise plutôt 1 ou 2 mm max.
Si votre sol a des bosses ou des creux, n’essayez JAMAIS de rattraper ça avec l’épaisseur de la colle. C’est la meilleure façon de créer des points faibles et d’avoir des carreaux qui sonnent creux.
La seule solution propre, c’est le ragréage. C’est un mortier auto-lissant qui va créer une surface parfaite. Oui, c’est une étape en plus et un coût supplémentaire (comptez 20-30€ pour un sac de 25kg chez Leroy Merlin ou Castorama), mais c’est le secret d’un résultat pro. Bon à savoir : lisez bien les instructions, mais en général, il faut attendre 24h à 48h avant de pouvoir coller le carrelage dessus. Patience !
Et dans une douche ou autour d’une baignoire, n’oubliez pas l’étanchéité sous carrelage (on appelle ça un SPEC). C’est une sorte de peinture en caoutchouc qui empêche l’eau de s’infiltrer derrière. INDISPENSABLE.
La pose : les gestes qui font la différence
1. Le calepinage : votre plan de bataille
On ne démarre jamais la pose dans un coin au hasard. Ça, c’est la garantie de se retrouver avec des coupes ridicules de l’autre côté de la pièce. Tracez les axes au milieu de la pièce et faites une « pose à blanc » (sans colle) sur quelques rangées. Ça vous permet de centrer le tout et de vous assurer que les coupes sur les bords seront harmonieuses.
2. La colle et le double encollage
Pour du carrelage noir, surtout avec un joint clair, prenez une colle blanche pour éviter de tacher la tranche des carreaux. Cherchez la classification C2S1 sur le sac : c’est un bon standard qui garantit une bonne adhérence et une certaine souplesse. Des marques comme Weber ou Parexlanko sont des valeurs sûres.
Pour tout carreau de plus de 30×30 cm, la technique du double encollage est obligatoire. Ça veut dire qu’on met de la colle sur le sol ET on « beurre » l’arrière du carreau. Pourquoi ? Pour assurer un contact parfait, sans bulles d’air. Un carreau mal collé est un carreau fragile.
3. La coupe : précision… et sécurité !
La découpe de carrelage génère une poussière très fine de silice. C’est un vrai danger pour les poumons. Sérieusement, ne prenez pas ce risque à la légère. Un masque FFP3 coûte moins de 5€, c’est le minimum syndical, avec des lunettes et des gants.
Le jointoiement : l’étape qui peut tout gâcher
C’est souvent là que les choses se compliquent, surtout avec le noir.
1. Quelle couleur de joint ?
Noir sur noir : Très minimaliste, effet surface unie. Mais le moindre défaut d’alignement sera flagrant.
Gris anthracite : Mon choix préféré. Il souligne le carreau avec élégance sans être trop agressif et il est moins salissant qu’un joint clair.
Blanc ou clair : Look graphique très sympa, mais attention… c’est très difficile à garder propre et la moindre bavure de mortier noir sur le joint est irrécupérable.
2. Pour un résultat durable : le joint époxy
Le joint ciment classique, c’est bien. Mais le joint époxy, c’est le niveau au-dessus. C’est un produit bi-composant (résine + durcisseur) qui est totalement étanche et anti-taches. Sa couleur ne bouge pas. C’est LA solution pour une douche noire ou une crédence de cuisine.
L’inconvénient ? C’est plus cher (autour de 40-60€ le pot contre 10-15€ pour du ciment) et bien plus technique à poser, car il sèche vite. Ce n’est pas pour les débutants, mais si un pro vous le propose, c’est un signe de qualité.
3. Le plan d’attaque anti-voile de ciment (spécial carrelage mat)
C’est l’erreur la plus fréquente que je vois. Le mortier-joint laisse une fine pellicule laiteuse qui ruine l’aspect d’un carrelage noir mat. Voici comment l’éviter :
Nettoyez IMMÉDIATEMENT après avoir appliqué le joint, avec une éponge à peine humide (pas détrempée !).
Changez l’eau du seau TOUT LE TEMPS. Je veux dire, toutes les 5 minutes. C’est le secret.
Attendez 24 à 48h que le joint soit bien sec.
Passez un produit spécifique « enlève-voile de ciment » (comme le Deterdek Pro de Fila, par exemple). Et faites toujours un test sur une chute de carreau avant !
J’ai été appelé une fois pour rattraper un sol de cuisine où le client avait attendu le lendemain pour nettoyer… Le voile était incrusté. Le sol avait l’air terne et sale en permanence. Une leçon coûteuse.
Idée Bonus : la liste de courses pour votre crédence
Envie de vous lancer sur un petit projet ? Pour une crédence de 2m², voici ce qu’il vous faut :
Carrelage : 2.5m² (prévoyez toujours 10-15% en plus pour les coupes et les erreurs)
Colle en pâte (plus facile pour les murs) : 1 pot de 5kg
Mortier-joint : 1 paquet de 2kg (la couleur de votre choix)
Croisillons : 1 sachet (2 ou 3 mm, c’est parfait)
Petit matériel : spatule crantée, raclette en caoutchouc, éponge, seau…
Hors carrelage, vous en aurez pour environ 40-50€ de fournitures.
L’entretien au quotidien : la vérité
Oui, un sol noir demande un peu plus d’entretien qu’un sol beige. On y voit plus vite la poussière et les traces de calcaire.
La routine : aspirateur ou balai microfibre, puis une serpillère avec de l’eau chaude et un nettoyant au pH neutre. C’est tout ! Évitez les produits gras comme le savon noir qui peuvent laisser un film. Pour le calcaire dans la douche, une raclette après chaque utilisation reste la meilleure solution.
Alors, on le fait soi-même ou on appelle un pro ?
Poser une petite crédence, c’est un projet sympa pour un bricoleur patient. Mais pour une salle de bain complète ou un sol de 40m² avec des carreaux grand format, je vous conseille vivement de faire appel à un artisan.
Une erreur en carrelage coûte très cher à réparer (souvent, il faut tout casser). Si vous engagez quelqu’un, assurez-vous qu’il a une bonne assurance professionnelle. Méfiez-vous des devis trop bas : ils cachent souvent des économies sur la préparation ou les matériaux. Et à la fin, c’est toujours le client qui paie les pots cassés.
Le carrelage noir est un choix audacieux et magnifique. Il demande de la rigueur, mais avec la bonne préparation et les bonnes techniques, le résultat est spectaculaire. J’espère que ces conseils vous aideront à y voir plus clair !
Galerie d’inspiration
Attention au calcaire : L’ennemi juré du carrelage noir, surtout dans une douche, ce sont les traces blanchâtres de calcaire. Pour un entretien quotidien, une simple raclette après chaque douche fait des merveilles. Pour un nettoyage en profondeur, oubliez l’eau de Javel et préférez un mélange d’eau chaude et de vinaigre blanc, ou un nettoyant spécialisé comme le Antikal Classic pour un résultat sans effort.
Le bois clair : pour réchauffer et apporter une touche scandinave ou organique.
Le laiton ou le cuivre : pour une note Art déco ou luxueuse immédiate sur la robinetterie et les luminaires.
Le béton ciré : pour un total look industriel et minimaliste.
Les plantes vertes : pour un contraste vivant et un effet jungle chic saisissant.
Le secret ? Associer le noir à des matières qui captent la lumière ou apportent de la chaleur.
Le choix du joint peut faire ou défaire votre projet. Un joint noir ou gris anthracite (comme le Weberjoint design en couleur
Le carrelage noir absorbe-t-il vraiment la chaleur ?
Oui, et c’est un atout formidable si vous avez un plancher chauffant ou une baie vitrée orientée au sud. En hiver, le sol emmagasine la chaleur gratuite du soleil, la restituant doucement. L’été, il faudra prévoir des stores ou des rideaux pour éviter la surchauffe. C’est un détail de confort thermique à ne pas négliger lors de la conception.
Grès cérame teinté dans la masse : Les pigments sont mélangés à l’argile avant la cuisson. En cas de choc, l’éclat est quasi invisible car le corps du carreau a la même couleur que la surface.
Grès cérame émaillé : Une couche d’émail noir est appliquée sur le biscuit (le corps du carreau), souvent de couleur claire. Un impact révèle la couleur du biscuit en dessous, créant un point disgracieux.
Pour une cuisine ou une entrée à fort passage, le teinté dans la masse est un investissement plus sûr.
Selon une étude du fabricant de carrelage Marazzi, les carreaux de grand format (plus de 60×60 cm) peuvent faire paraître une pièce jusqu’à 15% plus grande, car la réduction du nombre de lignes de joint unifie l’espace visuel.
Cela s’applique particulièrement au carrelage noir. Moins de joints signifie une surface plus lisse et monolithique, ce qui amplifie la sensation d’espace et de luxe, contrairement à l’idée reçue qu’une couleur sombre rétrécit systématiquement une pièce.
Pensez au-delà des carreaux carrés ou rectangulaires pour donner du caractère à votre sol ou mur noir.
Hexagonal : pour un look graphique et moderne, façon ruche. Parfait pour une crédence de cuisine ou le sol d’une petite salle de bain.
Écailles de poisson (ou
Le détail qui change tout : La finition des profilés. Pour les angles de murs ou les seuils de douche, évitez le profilé en PVC blanc ou en alu chromé basique. Optez pour un profilé noir mat, comme ceux de la gamme Schlüter-JOLLY en coloris TS (noir texturé), pour une finition invisible et haut de gamme qui respecte l’uniformité de votre surface.
Une surface visuellement unifiée et spectaculaire.
Des lignes de joint parfaitement droites, même pour un débutant.
Aucun risque de désaffleur (différence de niveau) entre les carreaux.
Le secret ? Utiliser un système de croisillons autonivelants (type Raimondi ou Pavilift). C’est l’outil qui a démocratisé la pose de grands formats et de carrelages rectifiés.
L’ardoise véritable, une roche métamorphique, est naturellement antidérapante et possède une texture unique. Contrairement au grès cérame imitation ardoise, chaque carreau est différent, offrant une profondeur et une authenticité inégalées.
Comment éviter l’effet
Tendance Zellige : Le zellige noir n’est pas un noir uniforme. C’est une mosaïque de nuances, du gris profond au noir bleuté, avec des imperfections de surface qui captent la lumière de manière unique. Contrairement à un carrelage industriel parfait, ses irrégularités pardonnent les petits défauts du mur et apportent une âme et une chaleur artisanale incomparables. Idéal pour une crédence de caractère.
Ne pas tester la porosité : Certains carreaux noirs, surtout en pierre naturelle, sont poreux et doivent être traités avec un hydrofuge avant le jointoiement pour éviter les taches.
Utiliser une éponge sale : Pour lisser les joints, utilisez une éponge propre et rincez-la constamment. Sinon, vous étalerez les résidus de ciment sur les carreaux.
Faire les joints en plein soleil : Le mortier sèche trop vite, ce qui le rend friable et difficile à nettoyer.
Point important : La norme de glissance. Pour une salle de bain, ne vous contentez pas de l’esthétique. Vérifiez la norme de glissance pieds nus (notée A, B ou C). Un carrelage classé B est un minimum pour le sol d’une douche. Pour le sol de la salle de bain, la notation R (résistance à la glissance pieds chaussés) est aussi un bon indicateur : visez au moins R10.
L’éclairage est crucial. Pensez à la température de couleur de vos ampoules. Une lumière chaude (autour de 2700K) donnera au carrelage noir des reflets doux et une ambiance cosy. Une lumière froide (plus de 4000K) accentuera son côté graphique et design, mais peut rendre l’atmosphère plus clinique. Testez avec différentes ampoules avant de finaliser votre choix d’éclairage.
Les premiers sols en damier noir et blanc ne datent pas des années 50, mais de l’Antiquité romaine, et ont connu un immense succès dans les demeures hollandaises du 17ème siècle, comme on peut le voir dans les peintures de Vermeer.
Carrelage noir brillant : Il reflète la lumière et agrandit visuellement l’espace, mais il est impitoyable avec les traces de doigts, les gouttes d’eau et la poussière. Un enfer dans une cuisine familiale, mais sublime dans une salle de bain d’amis peu utilisée.
Carrelage noir mat : Plus tendance et moderne, il masque mieux les petites salissures du quotidien. Attention cependant aux traces de gras et au voile de calcaire, qui peuvent être plus visibles que sur une finition brillante.
Le choix dépend donc plus de votre mode de vie que de vos goûts.
Pour un effet spectaculaire et maîtrisé, inspirez-vous de la technique du
Un carrelage noir est-il plus fragile ?
Non, sa robustesse dépend de son matériau (le grès cérame est l’un des plus résistants) et de sa classification. Recherchez la norme PEI, qui indique la résistance à l’abrasion (de I à V). Pour un sol de salon ou de cuisine, un PEI III est correct, mais un PEI IV est recommandé pour une durabilité maximale face aux rayures et à l’usure.
Moins de découpes : Un grand carreau de 120×120 cm peut couvrir à lui seul tout le sol d’un petit WC.
Pose potentiellement plus rapide : Moins de carreaux à poser, c’est moins de gestes (si le support est parfaitement plat).
Moins de joint : Le joint est souvent cher et long à réaliser. Réduire sa longueur totale diminue le coût et le temps de travail.
L’astuce ? Investir dans un bon système de nivellement pour garantir un résultat parfait.
Ne jetez pas les chutes ! Les morceaux de carrelage noir peuvent être réutilisés de manière créative.
Concassez-les pour créer une mosaïque personnalisée sur un plateau de table ou un pot de fleurs.
Utilisez un carreau entier comme un dessous de plat chic et indestructible.
Taillez-les en petites plaquettes pour border un miroir.
L’alternative vinyle : Si la pose de carrelage vous effraie, les sols vinyles ou LVT haut de gamme (comme ceux de Gerflor ou Quick-Step) offrent des imitations bluffantes de carrelage noir, ardoise ou béton. L’avantage ? Une pose plus simple (souvent clipsable), une meilleure isolation acoustique et une sensation plus chaude sous le pied.
Le Terrazzo noir, très populaire dans les années 70, fait un retour en force. Composé de fragments de marbre, de quartz ou de granit agglomérés avec du ciment, il offre une surface noire ponctuée d’éclats de couleurs. Chaque dalle est unique et les éclats masquent efficacement la poussière et les petites imperfections.
Architecte d'Intérieur & Passionnée de Rénovation Ce qui l'anime : Mobilier sur mesure, Projets cuisine & bain, Solutions gain de place
Marion a grandi entourée d'artisans – son père était ébéniste et sa mère décoratrice. Cette immersion précoce lui a donné un regard unique sur l'aménagement intérieur. Aujourd'hui, elle partage son temps entre la conception de projets pour ses clients et l'écriture. Sa spécialité ? Transformer les contraintes en opportunités créatives. Chaque petit espace cache selon elle un potentiel insoupçonné. Les week-ends, elle restaure des meubles anciens dans son atelier niçois, toujours accompagnée de son chat Picasso.