Main courante ou rambarde, le garde-corps de l’escalier

Auteur Laurine Benoit

Tirant son origine étymologique du latin scala, l’escalier accompagne l’élévation de l’homme depuis des siècles. Relégué depuis l’apparition de l’ascenseur au rang de substitut, il se confondit longtemps avec combles, grenier et autre chambre de bonne, autrement dit, gravir ses marches revenait à descendre celle de sa condition sociale. Encore délaissé aujourd’hui au profit de ses descendants électriques, on le boude par avarice d’effort physique, malgré sa volonté de participer au maintien de la forme de tout à chacun. À la maison, sa place tend pourtant à revenir au centre des intérêts, avec la conjoncture des temps modernes, poussant à chercher de l’espace non plus au sol, mais verticalement. Alors que le prix au mètre carré de l’habitat est en augmentation quasi constante dans les grandes villes, la chambre du petit dernier ne viendra plus empiéter sur le jardin extérieur, mais viendra se loger dans ces combles, jadis sans grande valeur, mais aujourd’hui porteuses d’un précieux espace non encore exploité. Prise de hauteur oblige, l’escalier devient soudain le meilleur allié d’un futur à plusieurs étages, à condition d’être sécurisé par un garde-corps escalier.

L’escalier pour tous avec le garde-corps

Le garde-corps permet de sécuriser l'usage de l'escalier pour toutes les générations

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Après des décennies de bons et loyaux services à être monté et descendu, sans loupé d’établir quelques chutes inopportunes au passage de ses marches, l’escalier suit les générations, généralement inégales en matière de sécurité et de prise de risque. L’arrivée de jeunes enfants dans un environnement incluant des marches à gravir ou tout simplement de la hauteur, escalier ou mezzanine inclus, rime avec besoin de sécurisation, le bon sens a cette particularité qu’il ne se discute pas.

Qu’il soit droit ou plus rarement en colimaçon dans nos intérieurs, l’escalier peut rapidement devenir un obstacle insurmontable pour des adultes sujets au vertige, mais aussi et surtout une aventure périlleuse pour les bambins assoiffés de découvertes surélevées. Trop petit pour s’assurer à une simple rambarde, le garde-corps escalier apparaît comme l’alternative la plus sûre afin de parer à toute chute latérale d’un enfant, sachant que la main-courante pour escalier se doit d’être établie à une hauteur d’environ un mètre et son installation soumis à certes normes, NF P01-012 et NF P01-013. Qu’il soit de bois, de verre ou d’inox, plein ou constitué de câbles ou lisses parallèles, celui-ci rassure toute la famille dans ses ascensions, mais pas seulement. Fixé à la manière française, c’est à dire directement au sol, ou à l’anglaise, sur le côté extérieur des marches, le garde-corps joue le rôle d’une réelle rambarde, à l’image de ce que l’on retrouvera pour la sécurisation d’une mezzanine, balcon, terrasse surélevé et même piscine.

Garde-corps escalier et ses lisses en inox

Le garde-corps escalier moderne se retrouve en verre, à câbles ou à lisses

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Si l’écran de sécurité qu’offre le garde-corps escalier permet d’assurer les aventures des plus petits en quête d’élévation, tout en évitant la chute d’objets, la main courante pour escalier s’avère indispensable à toutes les générations. Grâce à sa rambarde, elle accompagne l’usage de ce dernier, assurant l’équilibre lors d’une descente furtive, dans le contexte d’un escalier d’urgence notamment.

Garde-corps en verre et main courante en métal, pour un effet luxe minimaliste

Le garde-corps en verre permet d'apporter une touche de luxe dans on intérieur

Garde-corps avec câbles ou lisses en inox, espacés de moins de 18 cm, selon la norme NF en vigueur

la norme NF impose une hauteur et un espacement minimum pour la main courante et les câbles / lisses

Laurine Benoit

Laurine Benoit a un Master en Journalisme et Communication de la Paris School of Business et une licence en Journalisme de l'Université Paris Dauphine - PSL. Elle est une journaliste passionnée qui aime les animaux et un défenseur actif de la nature. Elle a consacré les dernières années de sa carrière journalistique aux questions politiques et culturelles, avec un intérêt particulier pour l'écologie, les animaux, le jardinage et les énergies renouvelables.